,I Jtq Rasoiv (ycEEEE.'-1'''
{‘J^ricHthfs umécellatiisƒ Spix, L. V . ) .
IiëS ’ineïs d’Amérique nourrissent ;|îlûrieurs; ïasün's à
joues''nuë^V élHjjbbtir la plupart ttè#séijiblabiés’ à cirai de
la Mediterraiiëlvii^
,.jïn d!eu#a le profil .en^re. plus.cqnriixe que le Jt^ngpacula.
Sa hautçurjpiit le,tiers de la longueur du corps, sansj y comprendre
lajcauxMe; qui ^e* cpinpteque pour un: septième .dans la longueur
totale. Les dents,en crochets font plus^gro.fses et les laté^lesqalus
^ f i n q s , , . , .
Les rayons a e ’la dorsale ressemhlênt jrar leur nombre él" par
leur dureté à ceux de notre r^sdfi.\.La' caudale eskjpiïs Arrondie.
I û . 9 j W ï V
M ÿ a vingt-cin(ÿ rangées .^’écailles entre fouie et lâ'd'àudale^la
ligné latérale est inferrompqe. .
La couleur est un fauve^opgeâtrè^ -tèiuté^dé; mollet, garce qu’une
tache ’ dhlongùe vérfaeàlë ''ëriste'l’&ur la'* hÏÏsèF de^ Arnaqué'’écaille.
A peu près au tiers du- jcpjps ,13s t une »grande tache, plongée et
oblique d’ayapt en ^rriète fit de^haut- enr ba|. plut rouge’que le
fpud ducorps, et dont les taches. violqtteS sont rfussi plus cdpréçs.
La tète est couvérte' ae 'lignés verticales bleues ouyrolette#,' un
peu plus'JM ^ ^ mais dis^üf^f cum^tuMe's 'df^n^ifasonS européens.
La dorsale et l’anale sont d’un rouge plus v if que ferilorps ;
la caudale et les ventrales sont,qrangé,es: Entre ie sixirèiUeaet le
septième rayon épineux de Mdorsale.on voit’une tache,.
fbncéë, entourée d’un pkit cercle lilas, qui férmcun fbrt joli petit
ocelle sur la nageoire, ,
Nos individus ont près- de sept pouces. .Ils mo,üs. sont
venus de Bahia avec: les autres poissons que. le .Muséé
de Genève avait reçus* de M. Blanche* et qu’il a: cédés au
Muséum,
L e RàSOW,;DE LA Martinique.
( J0rip^tM^,Mdjpriicerisis\ nob.)
Lai; Martiniqu'er;ej probablement toutes les Antilles,
produisent uner,f | pèqe dont M. Plée nous a envoyé des
échantillons. /
tc(p eM,~ùn;peu moins,.él-evee et-son profihun peü moinsi.vèri-
(. jUcâl que ?daps içespj^ce^ d Europe, rtfÿélfe est .aussi un. peu moins
. haute, èrqn, peu pUfajjbjtbgfi a proportion, sa hauteur étant quatre
fois* dans Ajto lq n g u fù ^ en, agrfe q u f flé ' se rapproche u n peu
' dàvlmage'1 des igiTpps-. Mars d aillitrsi elle ressemble beaucoup au
Tason ,d Europe, <t to i-^ o it de même un lrajt Vertical sur chacune
de ses!é‘qailles, cepéndant sa' tête n’a p o in ro e lignes. Les nombres
d’e ses r.aypfts^ sont pareils , quoiqiuer toutes ses épines dorsales
Hp spienliJ‘fl|pi|'ifsr ,
Dans la liqueur’elle parait1 fauve ,/aveç des teintes violâtres sur
la tête* et ^inte-de1 devant .de la d d f^ tè r^
?‘hî||)S individus n’ont que cinq pouces Mè longueur.
,Ce poisson 'p'Ôrt’ë ,à1b.i'Martinique le nom de patate,
qui lui est commun avec plusieurs labres et'gîreliës.
L e Rasoit ÈAvk
, ( Xyrichthy.s lineatus, nob.j) . t.
• Les collections de feu M. Richard nous ont procuré un
autre rason de la Martinique , semblable au précédent
pour la coupe du profil, mais
beaucoup plus cqmprimé. D’après’ la description laissée par le
savant botaniste qui s’était occupe àvéc tant de zèle des différentes
branches de la zoologie-, ce rason a le corps d’un gris brunâtre,
tirant au rouge vers les bords. Il y a de chaque côté de la poitrine
une tache d’un blanc de lait, d’où descendent des lignes alterna