202 l i y*Ev3pn.,. lab a a i d e s.
jSiÇARE BjOÇpÉî
• (Scarus limbalus,nob.) ■
■ M- Gêraaert^consufgçjiéral dè.JFranc^eu Chine /nous
a; .envoyé Ma’caq.iin sqar.q^. ;
. à màch'oirçs listes en désire* saQ^denjs 'vers l’angle, mais dentelées
fS^r:lei^,hpr4 .'LajUgnre. latérale*.gst-,simpï,e, et non^ rameuse: Les
t éçaiUesJ-sont finement' grenüesjÿ- ^
D. J/f2- I:,-2/10 £0*44; P. 13 ;
Le eorps du poisson* desséché est ^ ’nne i couleuruniCorme, s^ns
aucune trabe'de^ignes-, de bandes' du dp taches. Les mâchoires; épient
ver-tesV-Ct l’on voit.qpe toutes .l'es, pageoirp^ la peptorale exceptée,
étaient hordée$}de verfcy ** ,/• - a f ^ ,, ' * j
L ’in d iv id îi a près. d £ quatorze p o n c e s !’
. Jë“ tïouyé; uri dësôm jd e OTM'.^ùîil e t ^ a n ,'ÉfaSsèÏÉj< q u i
s e , Rapporté pa’i* t | ) ^ ^ e s r>;poants'! ^rfncipèuX, t ïr é |; ( îe la
forme è t d e c b u f ë t ir ^ ^ Ç e f it s , *de Ge|ld d e la cau d a le1,
des bQrduresode4’analé q,t dejla!'dnrsa-le ^^âu'poisson que
je décris, Pt ie dessin fart ^dapfè^M^varit nous apprend
que<.^
le;. dos ^ést’dië^d^Wrti. fdncé^fayé-dê "pourpre • le ventre voüge
brillant; la dorsale et Fanafé s&iii couleur de minium; les Ventrales
’de carmin, la caudale de violet'où de lîeBe vin. Des points'j^erts
sont’ autour des yéùx)èt.surJ.â"'nu'qup;^
L’in d iv id u , aîg^té dessiné à Java.;., ■
L e "S CARE AUX MAEROraW ysERT;E§., -
•«(Scûr’üç.prasîogrMthos, nob.)’’ 't
MM. Q u o y e t Gaimard on t pris à là N o u v e lle -Ir la n d e
u n Sdtre* q u i * g >-, -** ?
■ CÎBAP. XVI. S CARES.- 205
a le corps assez large èt en ovale régulier, dont la hauteur est un
i: neu moins du tiers de* fa longueur .totale. La caudale a ses pointes
prolongées, et rinféninr^l!êst.pjust;que la supérieure; la pectorale
est assez grande; elle a les rayons supérieurs cpurbés.
’ L f etÇ|
Tout lepoislsqn est d’une couleur uniforme f i l ne montre aucun
vestige de tâches ou de raies. “La teinte c&æervéë dans l’alcool est
rou'geâtref les machpirè^cTht èncÔre’ùné belle couleur verté. Leur
bord est p.eu crénelé,, et il n’y aL;pas de dents dans l’angle de la
bouche. SE
L ’individu-jësl long d’un’ pied^V.
? L?' ^C’iRÉ 'DE Q1jï)Y.*
J^Sçàrus Quqfti, nob.')., .
LcS -mers5 de la Nouyelle-lriande -ont énepre fourni aux
naturalistes d.è l’expédition -commandée par M. d ’Urville,
sur l’Astrolabe, une -espèce i^emarqiiable
paF sfes-formes’ courtes .et^ trapues, par sa caüdale carréej son oèil
petit, ses mâchoires àébords lisses, garnies}de Beux dents à l’angle
de l’inférieure' comme de J a supérieure.
’a, M ^ L 2/8 s
Leporps, ^écoloré/mQntre |ncore sur le bord de chaque écaille
un croissant, rougeâtre. Les d.epx lèvres oht conservé une belle
couleur citron,-qui s’étend en qpn grande -plaque de même couleur
bor/îànt; l’oeil et cachant de scrus-o'rbitàire.' De <son angle antérieur
et, inférieur cette,tache donne une bride qùi,va. dessous la mâchoire
inférieure, mais sans.la dépajSse^ jr
Sous la.symphyie'ÇSt un ovalpdont la.pirconférence est jaune;
des lignes onduleuses,soüt aussi sur, l’interopercqle; enfin, quelques
traits de te mêm& beau jaune soufr„e restent autour de foeiL On
Vblt éiissh que Ihèalg- âlaitdPoord'jlrai%/eif'jl Improbable que
' la dorSàle avait akdsi ùn*liséfé1 “plus*.pâle?'J*
Les écailles sont striées, mais non grenues. P