y voit est bientôt prïsbDéjà Ml&Mwlc quinzième sîèclé ils
y ëtateiit fà%i ;8^èÉ %b\^éteîÉrque' utie 'taptïifë ^ e trois
gràffldf| qui tant lieu étf îMÎÔ'prfes/ftë Rheinec&, et ën
1786,? làn prise d’un seul, qui fût porte à Zurich;, donna
lieu à un- article de Journal.1 *
IJ faut remarquer que eessdacs du Hégau ^ co u le n t dans
le Danubte. Dans, le Rhin lubn^me.-ët, dans la plupart »de
ses affluens , le silure est au moins fort rare. BaMner,
danS ïSon manùsfcrity' e u rë p r^ e ü tè un long
qui fut"pràs: dans l’ïll, {prës/d’fie^sëtfh%iai, “ènf'
ap p o rté à ’ Strasbourg, ^ il-‘sé^^^sëtVâ dans un vicier
jusqu’en 1620, qu’un temps Orâgpûx le fit demp^Pendant
cès^cinquante et un ans il avait acquis une taille de cinq
pieds. Baldnpr le -.croît meme un poisson^ de^m^%;*|*eu
M. de Dietrich, mméraipgiste bien connu, en^yaifc^faist
venir du Fedêrséeÿ J’un des'Jarcs^u Hégau#^t yles> i avait
inftndMts dans quelques}etangs de. la Basse—Alsaee^' mais
dësdnpndations ,et~ des gelées J e ^ y .ont détruits*. En&pre
aujourd’hui c’est du Eedçrs^e que les. mârchandg <||jypj%is-
$pms de Strasbourg font..venir çeux;iqu’ils t jennent,ijans
leurs cajssqi, Au voyage :.de Charles^^X. dans cette ville,
en 18,28.*, il |lui en fu£ ,së|yi un venu de, eelac> et jo^g de
trois piedf, dont le squefetbfeest; maintenant a»yèabinet
de la faculté des ^sciences de ; Strasbourg.
Il n’est question, de s ce poisson ni dans le Gataldgue
des poissons du Rhin de Sander3, ni dans; celui de.'NauA,
et quoique P lin e , en ait placé dans lé Meiny IVÏ. Rpnüer-
Biïehner neh parle ppint dans s.on.Catalogué des, pierres
et rdësianimaùx .de^Il^lMpns deiEilancfort1 j aussi quelques
uns : ; êroient-ilsj .quil faut lire dans cet endroit de
Pline.^.î’n iû iïîo ^dans l’In n ), au lieu d’m Moeno (dans
le B&ein^} j,
Cependant , le lac .salé d’Hârleni) qui communique avec
lé« Rkiny en-!a. Déjà ^ ro tio v iu s.l’avait • annoncée et^M.
T.emminck non®'a jÉnêriiCïdo nn é le squelette d’un individu
pris dansl ce lac- Æl
communs, Je n’ai pu en .obtenir que Éjgp-. difficilement
des^pêcheursgfeü plusieurs de eerfx à.qui je>-me;suis adressé’,
m’ont êic'ne pas le connaître. Cependant , j’ai pu en* voir
de* tapis pieds, de long. Peut--êtreJlèpbissrîn ylaet-il été
transpeptë, pomme dans quelques-uns de ceux de Suisse.
. En<e$ët,â<Ie niest que-âanstl©’ î) anuj> ey d’une part y. dans
l’Elbe^ de l’autre, ret dans leurs affluens, que le silure
commence., « ê t r e «bondant. Les affluens du Darûibe en
ont .jusque- très~prè&j d e leurs sources 3, et l’on eW^rend
dan®''tôul W eiioefe de ^ ^gmndfleuve 4. E n <-1793 , il s’en
prit d*es quantités immenses dans toutes,les rivières de la
Homgrîé. ab
Il p e n a de>fért grands dans le, lac. Balaton et dans le
làe de îBuèusiedel, qui est salé comme la mer d’IIarlem.
Dans le Th’eiss, qui a beaucoupTt.d’eaux bourbeuses,
ils arrivent jusqu’à huit coudées;3 .<•
■. Pâusahia&®; nie qu’il s’eri trouve‘dans les rivières de la
Grèce, ce qui peut bien êtrë à. cause de leur*petitesse;
1. Enallemand; Erancfort-sur-le-Mein, 1827, in 8.,° — 2. Mus. ichihyol., I,p. 6 ,
n-o 2 g>_8 . Pour le lad de Feder, vid. supra; pour leiac deStarenbeig, Schranck,
Voyage-ten Bavière, p. a En; p«wr le.Stàffel-Seè, hbid. 11&* r r A Meidinger, n.4 9 ;
Cramer, Ebmch.,^ 388} Mârsigti, Dan.,Vf $ é|4. m Bï Grossiflger, Unit.phys.
■ Ua?ngni'Mmgan, — ^,Messen. ,lV.: