son abdomen fest ’fefeuèoup plus' conVéxe que cellé^de^'sota dls!#Sa
hauteôFa«iailfeu; In-endqirès du t^e^èe^sal longttgnr ; la l@îj§»Iur
de sa tête n!ep,||it le quart^|% elle, est d’un fiers moins
liauteque Ipngtï^., , t
Le nom aauritus vientoê ce que'Tangle de son opercule, Quoique
obtus, est plus saillant en arrière que dans la plupart desoeujr^.
Les épines de sa dorsalé sont flexibles ; sa\coolèur dans la liqueur
parfit d’un vert Aoirâtre m^lêjdë jaune. Sur le corps sont des'taches
éparses d’un bean blanc mat, et sous la lèvre inférieure un ruban
de la même couleur^Sa dorsale est-tachetée de noir et sa Jjase.tbut
du lq f g d’un beau blanc de lait. L’anale est rayée de brun} la caudale
verdâtre, faibleipentvayée et plus faiblement encore ocellée de gris;
les pectorales petites, arrondies et noirâtres; les ventrales jaunâtres
avec deux taches rousses.
L’individjU est longue huit pouces.
• L e ■ S gareWde B loch.a | -
Bi ÇScnrus Bloùhii, noîÿ)' 7
jSSffigji d-onnerous à- _©ètt% çspèçq % nom j*dç., Bloch,
quoiqu’il le mérite peu; car son scare vert^^X. 22MÎ)lïtàr la
plate duquel nous mettons- celui -cûyxego&è ,sur upe c'Ôn-
fusion qu’il a laite d’individus ve n usensemble d ^ l’ardhipel
des In d ts, mais- qui appartenaient Jt „plusjetii-s,^espèces
différentéè. Sa figure même, quoique prise principalement
de l’une d’elles, a. quelques traits 'Empruntés dés auÉfés,
et nous en trouvons4a preuve- dans lesmj’ècès qui lui;pnt
servi d’original ; aussi suppose-t-fl dans sa description que
cé scarè iVàrîé pil#fié nombre des dents lafémeâf*et par la
disposition.des .baad ^ s u r les nageoires-; 'supposition qui
n’est fondée que sur c^fmélaageiiîD’ailleurs, l’épithète de
vert qu’il donne à cette espèce factice, ne lui convient pas
plus qu’à beaucoup d’autres. Nous restreignons donc' le
n om d e s c a r& d e B lo c h à u n e e s p è c e -d o n t la m âchoire
supérieure n’a d e chaque c ô té qu ’u n e d en t sa illan te, d o n t
lâ càudale e s t‘ êb iip ée carrément,’d o n t la ligne latérale n’est
presque, m s rameuse, d o n t la d o r s a le , l’anale et la caudale
on!t les b o id s'Ju p é r îeu r e t ïn f^ ie u r v e r ts , ou plutôjt b leu s.
^ o u s , la d écriv on s sur le se c d ’après^un des. in d iv id u s
d e B lo c h , e t p rob ab lem ent f a i l l i qtfïs a l e ï v i ‘d ’original
principal à sa p lan ch e 222.
Sa hauteur'ést H>Mîs'fois; et -un. cinquième dans ’ sa ’Ton giieur ; sa
têteî-y'éât près de trois fois et demie. Il a vingt;et une Ou vingt-deux
’'décaille* sur unelÿgqè longitudinale, huitnoii neuf sur une vertical^,
t toutçs p bord mince et comme, déchiré, ^sfcrfape marquée de lignes
trèsffm^|,^longitudinales, peu régu|ière§, fL’â$|;CTV.alle cj,es yeux et
le museau n’efi ont point. Ses mâchoires., pont bombées, à surface
l^C^atjbord marqué de çbaque côted'en haut de dix ou onzeTen bas
de sept ou buit crénelbres rondes ; au%qfé sfimâiÉmlWsupérieure
est une dent ou' épine fconique, aiguë, forte, d iri|p ; un peu en
arrière. Sa caudale est coupée Carrément ; lés- arbuscùl’es "de sa ligne
latérale ont un tronc simple, terminé par quelques branches-cpu-rtes.
' 'D, 9/10 j A .H ®
Sa , couleur (dans le se’c) paraît jaunâtre, teinté d’olivâtre vers
le dos.Les trois rangées supérieures d’écàilles sont bordées de vert.
Gette bordure s’affaiblit sur la quatrième et disparaît sur les autres.
Sur le milieu ide chaque rangée longitudinale d’écailles règne une
bande étroite,-plus grise que le-fond- Autour-dé la lèvre supérieure
; est une ligne verte, qui à fe-commissure se: recourbe vers la mâchoire
inférieure ;èt«e termine à a n g l e , mais donne une autre
- brancbe, qui entoure la lèvre en .dessous.-De la ligne supérieure,
à l’enpllïoit oq elle seîrecourbe, en part une autre, qui passe sous
l’oeil et traverseHfopercule jusqu’à son angle; de là elfe descend en
; suivant le bord de l'opercule, et sè péÊusur •leî sous-.opereulè. On en
'•i'vdït aussi des traces dfiriesur le bord ^montant du préopercule,
et il y en a >une en avant -du bord supérieur de l’orbite, qui se*