A La vésicule^lu fiel est demédiocre grandeur, en ovale alôngé;
dîg est placée so^s l’oesophage ; «lie débouche très -peu en amère
du pharynx * par un canal ^^olédoqiàè un peu renflé; a
son insertion dansv l’mfesân » «st-^qfcû;- reçoit plusieurs vaisseaux
hépato-^PËqùês; dont ufSonflong suit un repli entier de l’in-*
testin.
1# canal intSfinàl est àmme . sam aucun rènfléïnen^ui indiqué
l’cstoTna'c. Sps 'parois sont t^ -m â te s j ï&t> veloutée entre de nombreuses
papilles1' serrées^et disposes fen rubai^^ongitudinaüx et
i- onduleux II se replie quatre f^Sts- sui^lui-mlme ^deS^CSpaces
Inégaux, (Kprngquë'de la longueur !de. ^Sdooeexîi 1k-diamètre du
rectum est pras petit que celui d ^ ’oeso^age.
iSl- vessielfeetatoire est petit^ anrerfie en avant et pointue en
î*amèr& Sa lOngtietP’égid^ à pemè là tiw tié de mtflêide la cavité
m a tdo fil^ le, Se£ t t a f ^ ^ a t tri^-fortes, fibreuses, et d’une belle
couleur^’argent mat.
ïies ’tmis sont g rp^ ^ â s se flo h^ ils flbn.nemîun uretère grêle,
qui derrièrealtenus parHaan #ou uui^ûe -très -petit. De
eBac^fe émé de^pçtte ouverture uir voàwans-le d^^que une uuvër^
turc as^ez'•grande, ««lle dies' organq^de*^1 génération. Pans
que nqus saw#3 vus ïkinjgfeaient pas du tout dive-
* ■ l0ppé§, P ;
■ * 11601 ce que nous allons pu treftver dJalipebs dans lintestin
# éta^Mellement br^#, qu’il est*diffiie de reconnaître à quel r$g}e
‘ ^appartenaiqpt cês subsmncesjj^naî’s^nous «»»oyons que ce eonitndfes
vegéf%ux, plutôt animaux, ’ '
Le^q i^lp e re^njble à celui du' scèprw fr&n'dû8u$% aux Itères
différences prègV qui&lÿoût annonoÉgsfcar celles «j|gï formes extérieures.
il a d e même vingt^inq -Vertèbres. dont la didèm#<pm-
mence la queue ÎEn m a y «St disposé de mꮩ'; ce qui
nous fampenser qiMji’o st^ q& k ie s scares n’est pas moins un^ftne
que leurs caractères ex$gr|eurj&
*Lâ longueur d e nos iudivitïus v a .d e sept à n e u f pouteesJ
* Ils viennent tous d u J k é s il, so it pur feuX a Ia n d e ‘, «toit
pîwüjkdo due de; Rivcdi , W il e$» assez singulier qu’il n’y
en- dit de ti'âtfeS les recueils de
Më’rifèel 'et d u prince Maurice.^
■^Lïlstf iT^ette Wpifcè aquet|e cgpfs pouvoir rapporter la
figure de Se|?a.;( I I I , pl. qjppt ü^nOTOK (Zooph.
1 5 p. S „ ij° a44);.a,Jqt un synonyme de*Sop çgllyodon,
le callyocÜÊk lineatus^e^i^^i ,^2t dont Bloch» Syst. posth.,
p. 3 kâê, en fak^uné vâriétéf j
” 'île ( Ê .L L Y d pO N ‘ JAUNÂTRE. ' g
{(filjodo'^^lmescens:^ nob.) ^
;Qü p o urra i croire yjue icest e |tte espècer ’que Parça* a
représentéewpl. «a8, fig. 4> $ t dont Bloch (Syst.1 posth.*
p. 29b) à fait son sçarus ÜàvëScens. m:
---fefip ré cepéndant monun des pontes plus aiguës *a bf caudale ;
elfe ëst enluminée d%tnf roax jaunât^miiformej niais la déscription
rose ^fismiri un corps
jaune,' avec des taches^ncarnates; des nageoires^roses, et une tache
npire à la base des pectorales : elle Ajoute qye sa Mâchoire infé-
rieui% est grenue,'mais neparle pas des^dents qur couvrent ksupé-
»..'rieure;
Le Gallÿodon a .potNîs “ dorés.' |
XCalfyo^yn âürb-pujicîdtus, -jiob.5^H
I l^ Q D l o u g . è t vqroltiSfe'copame .l^s pr^édeûs'.
# Sa hauteur ne fait que le quart oe sa longueur; sa têtè^a quelque
-üose de qflus en longueur, mais est d’urn^iart moins, haute que
lqngue. Son profil eSt légèrem^fit arqué, «t sa pâudale carrée ou
m^me un peu 4rrpqdie. Ses écailles sont à peu près lisses, et il a
à sèsdrbuScüles une branche principale et quatre ou cinq branches
latérales /‘elles-mêmes peu branchues.