2 3 2 BÏVRÉ DIX-SEPTIÈME?
sons osseux, sans'scapulaire, saris ôbïaeoïdiëns, saift sous-
opercule, les siluïQïdes présentent %dans leur ostéoïogie
beaucoup de particularités, soit par ïabsemee t o i le r ie
certains os, soit par l’extraordinaire'développement qu’en
prennent qfrelqufesaiifresr w •
La cavité cérébrale èst HMj latéralement, comme c^lle
f j f t p j f l i des âiîès * orbltéîrès B | j P J g M M g P
antérieur, qui: se joidnaux^ffdhlai% â^terM^i^ e t éoncM'it
ainsi ‘cette câvké^jusqu’à Fétbmuïd^iWs lkisSei d^SpâJe
membraneux entre les*brBîtès; elle manqué gétîéMfentfeiiÊ
dè l’os que nous avons ndmrtiéVocÆer dans fe^acanthôpre-
rÿgféns, et cértainés' ès^èT^'norîf ‘pas frfë ^ € ë Jp âtîétal
En revancffef l’interpariétal ^dévelOpî)è ^BufetiÊ beaucoup
'x lés surscapulaires s’unissent 'Aiêmë, dans, ub. ^rànd
'nombre ,"pM-vuneâs é t ^ i : aux ' éôtëS du -gîfèë, *ef W y éîi
a’même quelquês-uns oii ic*étte ckvit^ 6s^è\rSe
latéralement par la fixitiôn'èé siÏTte'mporlüx tr%f-a^rtüdis.
Le développemérrt'dù cr^è^èn’ arHèrë^éëtt'Ê'*fôrme d’un
gfàWd "casque quil prend trè’s-lbuvènty ^krn^ur^ qni le
cdàtinùe' quelquefois ’sur la nuque1, depèndetri
angles, ffë la fiiâtio'ri’des 'sufscapuîkires, 'éi; ari milietf, dp la
gfatidlùÿ de la porât# jfôstérieurB’ de* l’interpari#al, qui va
réjéindre dès'plaques osséusW^Appartenant aux 'prémiers
intérepineux. ■* ... .• .
4p L’interpariétal, généralement très-grand, s articule en
avant avec les frontadx principaux, êriâè porte en arrière
entre les frontaux postérieurs, les mastoïdiens,les pariétaux
et les surscapulaires, qu’îl dépasse tous, lorsqu’il doit *sfe
prolonger sur la nuque. Les mastoïdiens5 arrivent jtisqua
lui | en s’intercalant 'entre les : frontaux pèstépeursiretite
pariétaux,- en sorte que ees derniers, très-réduits pour le
.volumey sont rej e tés jusqu’à Tarrière du crâne,, et dispar
raissent même ■ quelqimC@M.
Le sursçapulaire.}slpnit le plus souvent au smastoïdien
par,une suture immobile, qui embrasse.le pariétal quand
jl existe ,:Ct ^étend mème jusquà ïinterp ariétalj -il donne,
en outre, deux branches,,dont l’une Ya;§’app,uyer,et;som-
vent s’engreUerà|’o#eipltai Ité ra i Ùtiau basilaii%4eitii’autre
à la première veptèfereyi y a même quelquefois une lame
provenue de l’occipital externe, qui va«s’appuyer à la même
vertèbre g.#
Celle-ci, quoique son corps soitd>ien continu en dessous,
en représente,. en réalité^deux, et même ^quelquefois .trois
ou quatre , ainsi que l’on peut en juger par les arêtes, ou les
crêtes de ses apophyses transverses, par les cercles dont sa
partie annulaire ?e§t ; iseleiée, et par les trous dont elle est
percée pour le passage dès nerfs. J
,, I l y, a beaucoup de tvariété aussi dans la manière dont
les crêtes et les apophyses soutiennent l’intérpariétal ou
les surscapulalres f et quelquefois d’autres: os dU crâne.
Il n’y en a pas moins dans le développement et Igs
connexions des trois premiers interépineux.
En général, dans les espèces qui ont une forte opine
dorsale, le deuxième et le troisième s’unissent enune pièce,
que nous appellerons le bouclier , et; qui est plus ou moins
approchante de la forme d’un oroiasautj la grande épine
s’articule avec le troisième, et le. deuxième ne porte qu’une
épine, très-courte ou plutôt ; un ^vestige djépiney petit os
ovale et fourchu en dessous, dont lusage est de fixer
la grande épine à l’état de redressement, quand le poisson
veut s’en, faire une arme offensive.
L ’épine eller-même s’articule par un anneau avec un
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