L e SCARE RAYÉ DE JAUNE.
ti (Sèarus Jlayà-marginatus> nob.)
Sdüs ce même nom de perroquet,-qui parait générique
dans nos Antilles, et a¥ec le ptécédentfHÉ?Bey ÂdbS a
envoyé un scare
a Jes;mêmes mâchoires, la même ligne latérale, la même causale,
les mêmes éçailles; mais qui est un peu plus ovale et a la
tête un peu plus obtuse.
Dans la liqueur il paraît d’un brun fauve ^ saps bandes nâilipies
: SW’ la corps Qu sur la tête. Sa dorsale est tachetée çl,e violâtre et a
une ligne jaune près, du bord eç une autre le long de sa base, Ou
plutôt' son bord est’ dé la couleur de ses taches. L’anale est à peu
près de même; je ne vois pas. de taches à sa caudale.
M. Pley indique sai couleur en termes généraux comme
d’un vert jaunâtre y êt'dit qu’il attèint le poids dé deux ou
trois livres et que sa chair est peu estimée; mais je crains
que dans ses articles sur les scares il n’ait souvent rqéhj*
des attributs de plusieurs espèces.
L e S care vert d’eau.
(Scarus virem , nob.)
Le même zélé collecteur nou? a envoyé de Porto-Rico,
sous le nom ào ç.otorra ou perruche, et $L Achard de
la Martinique, sous le nom de perroquet bleu, un scare
qui nous paraît le même, ou peu s’en Faut, que céluide
Parra, pl. 28, fîg. 3 , dont Bloch (Sÿst. posth., 289,,n/g )
a fait son scarus clitoris.
Sa hauteur et la longueur de sa tête sont trois fois êt trois quarts
dans sa longueur totale; sa mâchoire supérieure est lisse, sans
-m t'm È m n* pointes à.l’angle, et son bord-est si finemenUcrénelé,
l: le regarder^Çÿ©mme entier,: Des crénelures de la mâchoire.;
iüférieure sont!plus marquées, et laisùrlaceiest ^ ân u lé e par.
les vestiges des dents;|fca, .caudale est coupée! carrément; ! les arbus-
cples ,de sa ligne latérale .n ’cint .qu’ùpe ûge jecmrteiet cachée, et
trois ou quatre branches longues et droites, qui n ’en ont que fort
peu de petite».
SMiP 'M»Dley,,saiCopï)ftur est Wîtrd^W, et il a ies ventrales et la
caudale fougéâtres. iA.'l’état sec il paraît d’un gris verdâtie^avec
: dpj teintes.brunâtres, des peeterhles,et dés ventrales jaaMâtres.. On
Aperçoit su^sa caudale dê£ restesdêpejtiM(tâchés brunâtres; qui y
- tfdpment des espèees*dé baadèé ÿéüs VégîMIèrèsiété
L’csp^pe. de Parra,, pl. 28^ fig. 3 (scarus chions,. BL
Sdin.juest a toutes les fpa^epirejsv|ô^câtr<PiS, excepté
lés bords supériçur^aL inférieur de. la é^adalej qui
sont y^ts. L’auteur semble lui atfrjbucÿjdes granulations
aux deux Rg. 4
(sc^jtovescms, Rl. Schn.)i, auquel i l men donne qmà l’inférieure.'
vr i
Le S care rameüx.
( Scatiis frohdüàtis ndb.'ÿ' '!
¥%jecare rapporté du Brésil par Lalande 1 et que nous
appellerons sc. frondosus, a beaucoup de rapports avec
le vêït d’eau| ^éTr Bes ‘mâéhîÆrüS, qui’ Sôrit Séinblablës,
d’ëst-lL-dire' sà’jis epine^^ate^lés;
la ..supérieure lisse ..et.à crénelures du; bord presque insensibles,
f inférieure a cf'énèîures plus marquées et têtes de dents plus sensibles
% : sur pa; surface; mais il en diffère par sa caudale un peu taillée en'
croissant et surtout par les arbuscules de sâ ligne latérale, qui
ont la. $ig(|jçadhée:!et sept et* jnsqu?k huit branches, la plupart
indivises et étalées en éventailsur toute l’écaille. Son profil descend