• arrière. “L’intervalle entre l ’anale et la -caudale est .de moins-'du
• vingtième de la longueur totale. La caudale en a le sixième et: est
divisée en deux lobes obtus, dont le supérieur est un peu plus
long.
B. 8 ; D. 1/5; A. 65, 56 on 63?:C, 13?. P, 1/85^ y. l/6>-.t-;f
La ligne latérale marche droit au tiers à peu près de la hauteur
* au milieu.
(Ce poisson est argenté, plombé vers le dos; les çôtés' de ’ sa
tête ont des reflets dorés. Il y à des teintés rougeâtres l é Içng
de la base dé l’ànalé.
Nous en avons des individus longs d’un pied, \et
d’autres plus petits.
Ce poisson est commun dans le Nil, et sa chair passe
pour moins mauvaise que celle&tdes autres silures db ce
fleuve. M. Geoffroy Saint-Hilaire, et plus récemment
MM. Ehrenberg et Chérubini, en ont rappol|é plusfëurs
individus d’après lesquels nous avoh| rédigé d§scription.
La figure du grand ouvrage d’ÉgypteJ^qpp^nte
assez exactement; cependant les épines ;de Ja dorsale et
de l’anale devraient être plus fortes. Ceist par Ml Riffaud
que nous apprenons son épithète spéciale de schérîfié
(noble). Elle annonce probablement la supériorité'de
l’espèbe pour le goût.
L e ScHILBÉ A TÊTE ÉTROITE
(Schilbe aràbi des Egyptiens, Schilbe lsidori, nob.)
a, comme le précédent, la mâchoire inférieure proéminente,
mais les proportions de sa têtê sont différentes ;
les barbillons sont plus petits, et on lui compte dix rayons
de plus à l’anale et deux aux ouïes;-