braneux. Les deux ouvertures de lanarine sont très^difficiles à voir ;
...'Ja postérieure est cependant entourée$’un® j^ t l^ ^ p ilb relevée,
qui aide à la faire repqnn.aîl^p au.rd^vant est'<1’oijy^ftui|e antérieure,
fine qomme un trou d’aiguille déliée,; seljes^sprit éloignées de l’peil
d’une, distance égale au diamètre. Ces dpux trous donnent dans
une qâVîté qfisalé très-petite, dont'la Wernbrane pituitaire, quiièn
'' èyïU|re le fond, n’a que 'quelques lames rayonnantes autour du
point central. On né-peut douter que le séns* de l ’tèdoràt ne’sdit
presque nul dans ces poissons. ,Npu§ retrouverons t cette même
organisation dans L ies Épibules. La-bouche est .peu fendue;;, ses
lpY^es^o^t ^aisae^lljfrueuf plis en dessous; elles recouvrent des
dents fortes et coniques; sur un seul rang aux côtes? de la bouche;
; sur lejd^ï|tf<sonti4eu^ gtrè#es caifmes umpe^foiirbéeS j féppslM
;;ptir;:dettxSpêléî^satfet'ettidpdans on.en ;voàt deux ourtrois-jauties; je
ji*Oômpte' d’ailléurs neuf Ou dix dents à; la rangée -externed;en haut
, ' et~ onze-enthas;i entre-lesdeixxreroiehet-s mitpyensrinférieurs^
en a pas de petits. Le palais est,:hss;e,-son voile membraneux -est
large;-icelui 4 e la mâchoire inférieure est aussi-grand et reqOÛYre
la pointe. Se- la J^ngue,iiqni; é§.t grande, .lat^ê^et^asgfadlhffl.AXies
m îçjents, pharyngiennes sont j grenues et peu ;gijasstefÿipsaisi^|gs?4|at
entourées d’un veloüté Jo tï^ ap jJb.rwé par la .réunion des papilles,
grosses' effjj fortes, déppi^éeS:,sUr îïfeu^.'bofd^^ qui garnissent la
i muqueuse à l’entrée du pharynx. Les. râtejuies dés .branchies sont
| très-petites ; la membrane branebiostège est-entièrement ç,acb)ée.s§i?us
l’appareil operculaire; ejle est;-coloréé comme la partie externe;- et
| soumisé' à raotionndireçte de la' Ifüpière.ÆesirjayonSïbrancbiostèges
i .sont ;§ft;SLQ|nfir j|.de :cinq.
La dorsale est basse dans sa région épineuse -elle- a neuf rayons
épinqux, ;tous très-forts; puis vient.une portion molle, soutenue
par onze rayonsL,«feflge&iut branchus, s’aloflgeant ; successivement
jusqu’au sixième, qui devient une sorte de faux, dont la longueur
' égale le cinquième de la longueur totale, et : qui atteint jusqu'au
tiers de la caudale; L’anale a neuf rayons mous , dont le sixième
s’alonge comme celui de la dorsale et le dépasse peut-être même.
Le tronçon de queue, laissé en arrière de ces’ deux nageoires,
fîesréa&ssi haUt^q®e4 #rig et n& pas-‘totei-à^feit mOitiéde la hauteur
•dm ebrps caûdateîqui y*-es« a^âèhe'el est* atu contraire-très^-large
et très-grande, car sçS! rayons égalent le, tiers de la longueur totale.
Cette Càudale a d’ailleurs, ub^fornie à'SSez rare dans les-poissons,
niais dont- le cen¥ro-pf^ste-1,noir- nous a déjà fourni urt exemple. Les
ideùx ^rayok^hextrêmes et ‘ les^tmV du' milieU^sont âfongés- 'en
dépassent d’un tièrs^fê^yons intermédiairesyw'qui
divise1 l'a’ caudale etftfoïs ÈS^esï La peèÉ)iâïé est laégeytnais cèurte;
- sOnibOFd*’pOs«é'fSèUr est sküéux. La ventrale est 'tïès-alongéeîp.car
, elle atteint au - delà du “premier4 rayon Ideâ l’a-Uale; >son - épine | n!a
que le tiers - duurayotff üsfùu’ qui le- Soit* et -qui est le plus long.
I B. 17) PM'2'fV.Hf/& -
■ Tout le corps et presquet-èute la tête Sont couverts de-grandes
et ia'pges^étMfesf^feid’êUble plus, hàtétes-* dans" ‘là partie' visible
- qu’tesSte' sbn{;l6n^es‘;^fïi^binpte vingt rsfhgêés entre l’ouie et la
fcàucfôle) une’ au-déSsuS- de-éelë 'àur'&qtfellè^la 'ligné lâtérale’ est
réi&déê, et shé O’u'sepP àu-dessous ; une' écaille a spn bord radical
"lisSe-ou o'ndtfê, mais non crénelé; l’év&ntail est Composé de*Vei-
-nulés -irrégulièrteS' plutôt que de rayons ; la-portion: nüè- est • plus
régulièrement striée. :
La ligne latérale •* est- formée d’-uhé suites de-'petits arbuscules ;
i éll#îà’irîter-r©mpÉ sous- la -fin* de la dorsa-leV Sur la quatorzième rangée
d’écailîes*f%iaîs ‘elle reprend aù - dessous - et* par- le milieu*1 de la
queue sur la douzième ranele; les- divisions* ou les ramücules deviennent
plus petits. '•
>Ce^biss‘ôny corïséryé dans FalcôOl,'-eSt devenu brun-f-ougeâtre,
, avec :un oü' deux traits • verticaux blanchâtres sur chaque écaille;
L ceMeslde- la tête et de- laj poitrine ' ont de nombreux- points; blancs ;
: sOus la gorge, ce sont d é so ssé s taches blanches en forme de
marbrure. Sur le devant de là1 tète et autour de f,oeil cinq à six
lignes blanches se distinguent au milieu de points moins nombreux.
Sur l’occipi&t lés rïvulations ressemblent a célles delà gorge, mais
elles soipt plus petites et plus nombreuses. La dorsale, l’anale, la
caudale et les vëntrâles ont leurs pointes vertes, les deux premières
nageoires-étant lisérées de blahc et'vermicellées de même eoüleur