Il a, les- mâchokRs traucbantesAsabs dentehires-senribks, àsuriace
' p§W# lAaUf^> très-l&rrés .-jpoHjj^ Mtfts- traces
: pefjte, épin^ppjntp^se. y oit à |M d f f la ,supérieure
da^s un individu et manque dans un autre. Sa caudale estuoupée
carrément; se§ écaillés sontllnement striégs-; les arhùscules de-âa
ligne latérale nont que i des, tige^ simples a 3 euînS^^^SiPpeSs ês
latérales côtirigÉistHl,
Dans»la liquteüivan pretnier eobp'd’crilyil paraîtttoqt d’un brun
noirâtre, mais ^ partie c^hée^e.ses écailles^est veinée deJtj|un'
sur un fondr iBlâÿLpliâtre.
MâiViduS^sôrît.lon g s cfl- cin q pôuOës.
; L e SCÂRB 'mblRAÏRRri'h
‘iu^wankgLhfenb. ): 'c
]\L Ehrenberg a ^ c u e illi d a n s ia rtfe r^otigo“ -due ésptbè
très-sem b lab le au s c a r e v e in é p ourde s ro ïtii'S. Il la ho'dîtire
s c a rù s tiïg r ic à n s . "
B Sa coulpur est d’un brun -ppiratre, tirant suri’Olivâtre : il a-l'abdomen
blanchâtre, la caudale violette0a lèViiÿsupérietrre bbid'éts
de couleur de <^ir ; l'inférieur^ de violet avée 'upe tache copieur
çfè -chair au milieu, couleur qui.s’étend aussi sons'k^xrâchoire
inférieure;>és pectorales sofit jaunes, ses ventralês'*1 <Übleur p .
chair, sa 'dorsale bleuâtre,’ avec deux lignes éouleur^è chair-
«dir anale a deux lignes-semblables sur un fond transparent.
Sa caudale est fort courte^ tronquée-otrafiénie un peu arrondie;
lés arbuscules de sa ligne latérale sontpeu branchus.; ÎXous n’aVons
. pas de.-details sur ses mâêhqiresi
L ’in d iv id u es?t lon g d e s e p t poiaoes. ,
L e S care de V ai&iW . ■
ijti t$(XirMËl^aigim s if x noh.^ .j
J o lie p e tite espèce: d u e à MM. Qnoy: e t Gaiaard;, qui
f o n t rapportée d e s ik s :d e V a ig iou e t d e Rawak, e t l’o n t
dAritOidmis fe p a r tie B o o lo g^w e.d u d^oyagende Kreyeinè t,
Ses formes sont encore un-peu plus alongées que dan§j te veiné.
$a hauteurest quatre fois ex ,|é)ni^dans sa longueur,; ses mâchoires
sont finementrf.^p^es,,fKs^s.,i Sacs pornte à l’angle,;■ $rs écailles
1 atA ^ S ^^alement lisses : îés- 'amusftules rie sa .ligna latérale ont la
plupart' trpii |)ran(mès/ëcar£éjes et, sitnpTes^xtu a „peu près; sa caudale
. e^t uh p ^ arrouale.
H pp à t o ut entier d’un gris ia^riâtre^avéc uüe tache d’un brun
roussâtre sùr chaqqe.içaifle;;: ses naeeoiTest,%riicales sqnt verdâtres
et; pAt des pôiftts 'bruns sur lès. rOTBaNS^i. ù^'k'ait 4Éruh sur ïa
base .de' la pectorale, qui est*gris&, afosFqueTa Ventrale,
La lon gu eu r nfest-q-ue d e trois rptjhdëk e t demi.
.Z # S ^ RE. .UE,R,TXT0 ,,
5 ^ iS ëa rü s h e r tit, EhreÉdb.) - ■
Parnii le§ ppi§§©ns- d e la mer b o u g e , d é c r its e t dessin.es
par Mv E h r en b e r g , il s’e a tr o u v i;H a q u i a aussi le :c o rp s
tacheté,"èt qur ressemble en co r e au 'p r é c éd en t
‘ par- safflomK ohloneue-, sa hauteur est Vrois fois et demie dans sa
‘ longueur; sa*.caudak^est ,c.oupée carrément; sa ’têt,e et, sçh dos
. sont fauves, ^vec £rois bandes verticales un pan plus foncées; les
flânes,-sont d’un fauve*plus pâle quefeylos v'et le ventre, an avant
de,l’anale, est Un peu rougeâtre. Il y sa à la bouche des lignes d’un
bleu clair, semblables à celles du scarus Blochii, savoir ! une autour
de la lèvmsupérieure, deus autour de l'inférieure, ü|ri d^c,riles-ci
allant de la bouche vers l’oeil. U s’en trouve eu§^i 'lie' petites qui
rayonnent autour de .l’oeil. Sur chacune dès écailles des opercules
et du ebrps est'une tache bleue ou verte ;-plus.4lles sont en arriéré,,
plus elles tirent au verts La-dorsale! et t’artale ;s!ont orangées, avec
une Ijgasr verte, sur kur, hase et une sw leur bord. La caudale
est aussi orangée et a -sesihgnes vertes aux bords, supérieur et