: CHAPITRE II.
D é s S cM lb ë s .'’
La sùbdivfeion des schilbés < a- mie épices assez fdrte
ët' dëctèléè a la dorsale, la nuqueéelëvéè, la tête déprimée
et large, lë: dë¥ps trèsWcomprinié' et des deûtS très-prononcées.
faons..^p^ppspnajsspns. treqs, espèqqs, confondues pasqua
présent «PBLSÎ les noms de schilbéet $.e siluru& my&tus. Mais
nqus retirom ,de^ce. ^ p re ?:à Q£3q§c <%sa
dorsale . le silure aurité ^qui^ç d’ailleur^ les plus grandes
a&nitêaavëc les espèces dmgffepe def scmlfe^
; 1 L e ScHlLBE - A LARGE!TixË',; SCHILBIJ SCHÈRIFiÉ DES
'E gyptiens '•
(Silurus rnystùs, Linn.)
'se^reeOnnait à toâcboitê inÊérieare proéminente,-'1 ^
têtedefjgepet aux? einquafiteMèièq; ou cinquante-six rayons
dë ‘SOnoànàlexG’est l’espèce <ÿde Mi Geoffroy Saint-Hdairë
ài feit représeitter dans le grand Ouvragé d^Égypte -(‘R A H
p i 1 1 , - fig.. 3§b Mais* é& n’est pas- iêelle qüe; :M. sdm fils »fc
d^ta%O'0©'n^eV;rép0ûdântià céttê #gme; ‘4 Jnb-di#érëncë
de dix taydns;en plus \ montre qu’iia eiï ieSp^cêlsiàivâtife
sous les îÿeux ijüând! il aiédnïposé soü article: tâta Côff trà^ •}
c’fest bien1 -fnystiis dë Linn^yJ'Êeb'dü’il l’a
décrit dans le Musée d’Adolpbe-ErédericP-'!
Sa hauteur aux ventrales êst un peu plus de quatrg fois et
demie dans sa longueur totoTeJlon épaisseur au même endroit
est du tiers de; sa hauteur. A compter de la dorsale, la nuque
4' 0 ® B Atn II» ÆLGBæLRfiRr K U h -V u . 27v£.
descend assez^àplieiment^wn
sur la.tête 'derient: conclave. La longueur de^, la têtfe est qinqfois et
demie .dans cellesèû ppissoé et stsdaEgfiù# nsftlclê toutïpr^ des deux
tiers de sa longueur,. Elle égale la distance du bout de la mâqhqire
infévieurèi^urpMopèr4üle.)Sahautèur^à l&pfetnli dâ Êbrd montant
du préopercukv est un peu moindqe.Le devant du muse^u est en
ârc très-ouvert,^OGCilpé'd.ans sa Margeur par la Bouche, qui entame
latéralement ,1a longueur de la tète d ^ , cinquième.,Les.xlents
sontt en larges bandes de velours ^ u de fines _^ardeSj serrees aux
deux mâchoires; en haut ,IaVcOnde bandé,aussâ. large que la première,
appartient au devant du |omer et au®' palatins. Le diamètre
^d& l’oeil peù moihS iÿa ciëqtitMe -de la dcfegueüh-de la
têtej il test placé au niveau ae la commis&iire^qetv.ent (est distant
diup peu; mwisi de, ^ph diamètre- Ü ,$:iSîl^
'& J&'q 11!1! Les orifices snpMÊeurs des .narinès sonrentijé les !|£r4s
antéiimps d-^iKeux, eti isit1ué&idatmahière( à laissé entre eux la
moitié,'et de l’un d’eux’ à l’oeilf le ( quart, d’e l’espace qui .est entre
les*deux borcls. L’orincè inférieur est un trou plus petit, près du
bord de la ihacKôirê^èt' au-devant de' l’autrel'L‘es'/barbillons dès
schilbés^obt grêles et pèuiàkfAgês; celui de la narine tient au bord
de l’orifice supérieur e laun pefiTplûs du tiefs de la longueur
dè-datîtête; le Maxillaire n’és| guère plus, long; fes^ajerank.
:>^e la mâchoiçéidnfÂri^^.lobL quelque cbosej'ffe .plus,j^ais^ les
intertaédiaires,sorq trois ^ s pluslcourts. Le pijéoper.çule est arrondi
et l’opercule obtus.; la fente dès dlfes va jusques entre les cq^nj
misswes des lèvres et à l’extrémité -de l’isttnie. Chaque inembrané
branebiostège a huit rayons, dent les premiers plats etfassez,forçs,
le dernier presqnf-nomme un fil. La pj^lcâ’aleJ^le'btûtième de la
longueur du corps, et natteint pas à1 la base des ventrales; son.
épine est’ forte/dtenteîée- au bôr'd'MfeiéiiAir et'pëntM^xer dans
une position, transversale. ( Les ventrales^, t at^chh^. aA tiers antérieur
j^në èfint ^guèf'fe5 que d’ùn ljuart mdiiidres lqüe lés‘pectorales ;
leur premier'!rayoin n^a- pôirit Me •Ifeél^^i.^prëhd • une
rigidité épineuse. La êîofsnlè^s® hn péèliplus en avant ; son iépine,
fin peu moins forte quft-odQs eitian^i’-d^itélée en