jeunes et >eia a de semblables
su* le des
bandes longitudinales jaïipÈes dansles
dorsale en a aussi, mais moins eompliquéeSÆt formantsplutôt une
bande ledongjde sa. baseÆetïnine,.prè$. de son bord ^parallèlement
apqiel régule ùrie ligne étroite-et vipleÈte;iky$ar une tache »jaune à
la base de chaque intervalle; d^ I rayons ; l’anale -a -a*tissir;cés taches
et la ligne' violette parallèl&au bord. L^pectorale a_le fond jaune,
les rayons violets et une. teinte violette à sa.base; les rveptralea sont
jaunâtres. Je, ne vois, sur-lfe;corps dzautrés marques, qu’une ligne
violâtre’, parallèle au bord de chaque éçaille.
Mais, nous le répétons; on ne doit prendiè-cettjè dês-
criptiôn que comme l’indication^du dëssjfô^-^noii comme
celle des vraies teintes de l’animal. ■
. Notre individu est long de neuf^èifee^
L e ARE|Aj.NÜQjUE, P^JfC^UÉÊ.'. .
t^Ç&cêhis fautMpüncffitüs /m ô l ^ * *
Nous possédons maintenant une eçpèq# dont, lès ^angles
de la caudale formwt^es pointes.plus o^noin&samantes.
Le Cabinet du Roi en possède une, venue anciennement
de là mer des Indes- et qui a beaucoup de Rapports avec
le scare vert dè-Blocfi.,
CependantMgs-iécailles semt-un peu rudes ; les dentelures des
bords de ses rmaehoires ne sont presque pas apparentes ; -leur
surface est lisse et il y a deux fortés pointes- à l’angle J e la supérieure;
les arbuscules de sa ligne.latérale orft très-peu de branches.
À I-état sec il paraît brun fohoé. Sa lèvre-supérieure est pâle
ët a une ligne verte, qui--entoure aussi l’inférieure, où 'il y en a
une seconde, plus en arifère. De l’angle part une bride qui se
rend sous l’oeil, mais pas plus loin; Sur la tempe est une série de
quatre points verts, qui-se termine par un trait plus alongé sur
45 d’ecaille suîrscâpulairéi La dorsale éf- Fanale sont d’un brun noir,
! 'un ipeu 'pourpre,iet ont vers le bôrd une ligne d’un vert foncé
f ;jsui^d|ufi liséré vert jaunâtre, La caudale-a les pointes de ses angltfs
£#po^es,'et- obtures ; ellç, êst brune 'cfjmine iLcoips, et a le bord
supérieur et l'inférieur yqrt^ydes* pectorales* et les ventrales sont
brunes,-et jè n'e vois pas, de >vërtvà leurs bords,
IL 2
Ses.machdires sont teintes en vert., ,
Il fo u t ,p r e s te , tpajours se spuvenk-^qia'èqce qui parait
vert dan§ le„pQissa^^*-‘a p ^ l# e bled dans le frais.
d L a longueur dë L%ndivMde§t de onze pouces et demi.
Il venait des Indes* hollandaises ,jCt était#'étiqueté caca-
toua ^mais sc’eût uainom g-énîérique.
. L e -Scare perrqque^.
^Mar-us psittacus, Forsk.)
.(He poisson. cWi% bien peu différer; du scare perroquet
{scarus psittacus de Forskal), qui1,«$eltm oet observateur,
iT'' ^qpomen pins con^xe; que cellle du dos, les mâchoires
crénelées,, trois épines de chaque cS p lfia supérieure, une
^^„Wnfêrjeure, les angles .(fc ‘l^. queue un peu saillans, les ,e^njes
i^^S-Cules de la ligne latérale ramifies , ^ x t iç p s ver-
^dâtre, qve'c des "lignes jaunâtres, dés’ caractères bleus à la tête, le
tour des lèvres bleu; un#*!ligne de la même couleur allant de la
| lèvre supérieure soqs l’oeil, une en travers’soup la lèvre inférieure,
une longitudinale squs le n^ieu'de%tl!e etmnejiu bord inférieur
dè l opërcme. Toutes ses' nageoires sont pourpres, bordées de bleu,
les pectorales seulement au bord supérieur; la caudale est tachetée
petits
et écartés. .
On le nomme en arabe durrat-él-barr; ce qui signifie
verroquet de terre ou perle de terre.