tin individu conservé >dans la. liqueur-, çt quelles sont
probablement toutes difféieiites: -dans le frais.
L’individu tist long de neuf poüceS»,
Le SGARE LARGE.
ÇSeàrùs fotf&.y.sEhrenb.)
À Npus terininerpiis cette li^^S^.: J^^^^Wl^ques-.piar'
deux espèces, de la mer Rouge, qui ont les pointes de la
caudale plus longues que toutes les,^présidentes,; et qui
nous- ramènent âinSi à'iïôs premières espèdes- d’Amérique.
Celle que' M. Ehrenberg nomme sâarus~ latus, "a5,la ligné de
l’abdbmen plus convexe*‘que celle^lü 'dos[, ét la hauteur* OTTmrps
comprise trois'fois et hernié dans' sa lOdgüeur." S'on nrbfirdéscejid
obliquement presque en ligne drbite, et l'oeil en éstM^-prêl^^au
milieu de la distanee deda nuqtie au museau, qui est aS^ez.akâncé;
les pointés de sa ^caudale égalent la longue^ ‘du! reste, d e cette
Ûàgeoirej'les arbusculès de sa ligne latérale! _sohtJâsâez. bran’çhus.
Il-a le corps rbug.e/la tête d’un rouge* plus, Jp nord des
écailles hrtinâtre^ S^s* riageoiiÿs' sorit d’un orangé pfos,;i>Ju moins
’ vif; là! dorsale eSti!hpr^æ de #OÎ;et TOrié -de bleÆ^IM^SIfeyWk,:
d un,f violet rohgeâèf-e ; Tes pèotorales , îeaË?ord', sdpenèur ^violet, et
les véntrales, le bord extérieur violet. La .caudale est rougë 'èt haïdée
de yiolet.
Llndividu est lQ%|g d’un pif^:/
Le 3 Ç.ARE MASTAJU
ÉÉÉ.Süafius Tn,4sjLax3 Rupp.)
Un- autfë, sçarus wurk,
d’abre^^sph nom arabel^ j^ qüe, Mf/Ruppel a décrit; et
figure * sqnsjfe npîn g#
i. Rappel, Atl., tab. 21, fig. 2.
■ a Jénèorpsi.et les pointes de la caudale plus alongés. Sa hauteur
y ; t/gç^M^a^jftBeri&Kiu^dbpQ4âs^^jRM^geaiBr^'>jhs».'^ngisiCes<’dgi sa caudale sont de
mokiélplusilongues, quele corps delà nageoire. Son profil descend
• •* «jpligneprès quedroite;>S0&museau'eat as§èz avancé; son oeil,
assez grand, voisin du profil, et plus hàht que le milieu. Les
* arbusculès de la ligne latérale- sontféteçtlus*et fort branchus.
' Seloii M. Ehrennerg, il est en dessus* d’un velx bleuâtre, en
dessous et aux côtés de la tete fougeâtrë; les éçailles du milieu'sont
FordéèSfféh-Ôhgë,; ses tèvtéë sont orangées, bordées ;de violet ; sa
.doasale et son anale orangées, bordées de bleu; sa pectorale violette
au bord Supérieur, o ra n g^ a u milieu ; jaunâtre inférieurement; ses
ventrales jaunâtres* bordegs extérieurement dé yio le t; sa ; caudale
rayée*de violet et d’orangé, et bo^çlée* de ‘blanc,
U Notas iSjqutarons, dlaptes M ;R u p p e l,
(^evtruis* !rails’ j àunes tra'vè'rsént là j oüè, dont lés deux supérieurs
sont? derrière foeil. Là 'dürsäle et l’anale, d’un jauné verdâtre, ont
y .le bord Ifleu et -une bande noire dans le milieu: Dans la figure de
1 .;M. Ruppel, la ékudale est bleue et bordée de jaune pâle dans la
concavité du croissant. Les francs sont bleu d’azur; il n’y a que
le dessous *du ventre qui smt rose.1*
L’individu est long d’un pied. M. Ruppel en a vu de
dix-huit poncés! à Mohamed : il ne cite pas le nom rapporté
par M. Ehifenberg.
Le ScJgllE H ARID. |
fScarûs karïdj Forsk.)
.M. BottaJ vient de* nous faite bien connaître dé' scarus
harid, dont Forskal à donné une description incomplète,
i ob la strueture des mâchoires surtout est indiquée en, termes, assez
; obscurs, et qui ne semblent Se rapporter à rien de ce que nèus
R eöftnaiissöns. NÔUs eroÿohs devoir les copier littéralement : Maxilice
eminentes, crenatæ, medio fisses ; crenis intterdum in maxilla infe