4 4 é LIVRE XVïi KIMojtoîBS.'
m’ësetite; dent! mexactitu^es àîîrectifîerüll ifhuÉtMreJatten-
tnmrqùela ligne l a t é r a l e à o t o r t Jmsmê
continue : j’ai vérifié Bq«ép.llë vMt‘> interrompue^ ^.jki ' àussi
examiné isai> les ®rqpnes in^vidip die: Mgg^ùoÿ, la’ nature
des deux premi^ rayons de la dqrsale; je. puis affirmer
qji’ils ne présentent pas Fanomalie que l ’on pourrait admettre
en ne cpnsultant que la ^gure^et qui serait unique
dans la classe Qes deux rayons sont moqs et
flexibles, mais simples et sSnS àkiculatiops n f divisions.
M éë • Jbftiï,up^riè^' qué la desMptibn de».M:
Quèÿ’^teüd lr bélïfirmèr
: M^ po^onsisont longs défluit1 poiiëës.
Conservés dans l’ea u -d e -v ie , ils montrent, 8je
l’ai déjà d it , les ràiés de la; jJou<Èf e t d e s "tàché^’blaïiches
en croissant siir. chaque f a i l l e ,\JmpOT^spondent au vert
du Tond décoloré. L a J^asp; de la cau d a le ’ est devenue
bleu e.,-,
: L e RASON; AUX GRANOJES: ÉCAILLES.
i^XyHchïfijs
, Je, placerai ic i, à cause de,sa ligne latérale interrompue,
le la b ru s m a c ro lep id o tu s, JBk (p l. 284) pmalgré le p eu
de Hauteur de sonch anfréin. ’Oette”ësp è'ce«jgt là précédente
lient ces deux gefires, d u ôiôins quant aux espèces'à joue
nufe’“' '
Elle n’a pas cependant les étrilles prQportionneflement plus
grandes que celles des,‘ autres; rasons îTépithète de|-]Bl^Ji:ne,,vaut
donc rien. J’en compte vingt et une rangées »entre l’ouïe et la
caudale. Une tache noire est entre le premier et le second, rayon
- de nos individus : Bloch l’éteüd jusqu’au quatrième. Unirait remonte
de l’oeil sur l’occrput, ét' un aüt#é và par l’articullftioh de l ’operOule
s’effacer sur la tempe. Quelques traits fins et obliques sont sur la
» dorsale. est arroûdie. ïll^ a une>tache noirâtre lu r, le
devant de^insertion des ventrales, qui sont: courtes, .*■
^ 'L ’ë sp^ e '^ ien t 'd e la mer des In d ë s ;’ Péron et Le sueur
l’en11 avaient déjàtoapportçé,r | t depuis MM. Q u o ÿ et G a i-
mardr, lqrs du ^oyage^de tG ranie ,y*o * re trou v éV près
de la Nouv e lle -G u in é e^ ,a,l’île W aigiou.
L a lpngueuif est; ^e.-q-uatre p®pç$§,»? ?
y j.Ce/poisson a be au cou p d’affinité avec Jess p ré c éd é e s ,
mêm|^pa'E *la disposition des couleurs. 1 - i ’y a pas dé
taches dans
'Apr.è%c,es,-espèc-es;,vje dois faiise/connaître/des, p o iso n s
que&Ton pourrait distinguer comme^genre-, si je- n’avais
craint de trop multipler lès^kmpês' § 1 ilë$ nôuis-, quand
une simple mention suffit pour le faire remarquer.
I Les deux' Xyrichthys^qué 'je p la f^m p son t en ltàus
points semblables a Jeux que 4eJuens de decriref mais les
trois premiers ray bps, de la dorsale* sont .distincts des
suivant Cerfont les labrdïifés^rinus 'jusqu’à présen t
que Ton puisse signaler comme ayant deux ’dorsales.
L e Rason ‘ m o n .
( X jriehtkfs paao, î rfob. ma I
MM. J. Desjardins et Th. Défisse ont envoyé S chacun
un bel individu d’ùpcespècë' nouvelle fie rason, noàrrie
survies cotes poiSsoüneuses de l’Islénie-France.^
■ Ce poisson a le front vertical et très-bombé} la mâchoire inférieure
renflée, l’oeil petit; la tète toute nue, quoique les osselets sous-orbitaires
postérieur paraissent comme de petites écailles ; l’opercule
terminé en angle arrondi; deux ou trois rangées de dents grenues