Puis&aiiie.
Lydienne noirâtre.................................................................. j™
Pliyllade quartzifère rougeâtre.......................................... o™ 08
Phyllade a lté ré ....................................................................... o“ ,ii
Grès quartzeux avec schiste................................................. o,"'3(j
Grès quartzeux argilifère, ferrifère à sa partie supérieure......................................................................................
0“ 20
Argile schistoide grisâtre avec gypse, contenant des
rognons de carbonate de fer chargés de sperkisc
disposés eu lits à sa partie supérieure...................... o™,5o
Toutes ces couches se présentent horizontalement,
pnistpie leur section est faite dans le sens de la direction
; mais ici la disposition des lieux ne permet pas
de voir l’inclinaison. Il aurait cependant élé intéressant
de constater si l’argile gypseuse était en stratification
concordante avec les antres roches peut-être
beaucoup plus anciennes.
A 5oo mètres envii’on dans le S. S. O. de la première
falaise décrite, et à 3o on 35 mèlres au-dessus
dn niveau de la mer, une excavation profonde d’environ
8 mètres laisse à découvert ses deux faces, qui
nons présentèrent des roches d’une autre nature.
Sur l’une d’elles, une protogyne un peu quartzifère,
tout à fait analogue à celle de Lima, se montre et atteint
a5 mètres environ au-dessus du niveau de la
mer. Dans cette roche est un fdon peu épais d’nn
agrégat de quartz et de fer oligiste, et sur sa tranche
une assise épaisse d’un mètre, d’nne novaculite
pointillée violâtre dont la direction et l’inclinaison
sont les mêmes que celles des lydiennes et des phyl-
lades. Sur la iiovacnlile est une couche de gypse olanc
lamellaire avec nomlncux cristaux de pyrite éjjigène
et de fer hydraté; cette couche est fréquemment
(piartzifère.
De l’antre côté de l’excavation, la protogyne atteint
une hauteur plus grande que la novaculite, qui ne se
montre plus, et s’appuie sur un pétrosilex talcifère
verdâtre redressé comme elle, et qui appartient probablement
à la même formation. Sur les tranches de
ces roches se montre une assise d’mi grès quartzeux
avec schiste violâtre bigarré de ronge, sur laquelle repose
une seconde assise d’un grès quartzeux avec
veines parallèles au délit, de carbonate de fer jaune et
de calc.aire blanc spatbique. Enfin une couche d’nne
argilite tendre, jaune et grise, épaisse d’environ 3
mètres, s’appuie sur le grès, et esl elle-même surmontée
d’nne argile friable schistoide violâtre, surchargée de
gypse et couverte de nombreuses efflorescences salines.
Sur les pentes qui conduisent aux sommets dont
la ligne de faîte partage l’île, on retrouve, partout où
la roche est à découvert, un grès quartzeux grisâtre
surchargé de fer et recouvert d’amas de gypse. Quelquefois
ce grès est coupé par des filons de calcaire et
de carbonate de fer, plus on moins pénétré de chlorure
de sodium.
Jusqu’aux sommets des collines, le sol est tellement
recouvert de sable (juartzeux, tjue la suite des couclies
ne peut pas être observée. L’un des sommets, haut
d’environ 80 mètres, est formé d’nn psammite jaunâtre
que traversent des veinules de gypse et d’hydrate de
fer. O ¡jsammite semble disposé en couclies à peu