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 sier). 
 4°. Muscle canin, petit sus-maxillo-labial (fig. i ,  
 n° 7>7> 
 5°. Muscle transversal du nez, sus-maxillo-nasal 
 (% - 
 6  . Muscle petit oblique,  ou  oblique inférieur de  
 l’oeil. 
 7  . Muscle releveur de la lèvre supérieure, moyen  
 sus-maxillo-labial ( fig.  i  ,  t). 
 8°.  Muscle  buccinateur,  bucco-labial (fig.  i , m,  
 71,  o;  fig,  2,  n° 3). 
 Muscles qui s’attachentsur la mâchoire inférieure chez l’homme. 
 Les  muscles  qui  viennent  s’attacher  sur  la mâchoire  
 inférieure  ou  maxillaire  inférieur  sont  au  
 nombre de  treize  de  chaque  côté,  savoir : 
 i  .  Muscle  carre  du menton,  ou  abaisseur de  la  
 lèvre inférieure, mento-labial(pl.  ix,  fig.  i , n° 3). 
 2°. Houppe du menton, ou muscle incisif inférieur,  
 portion du mento-labial (fig.  i ,  n° 4;  fig.  2, nos n  
 et io). 
 3°. Muscle triangulaire des lèvres, maxillo-labial  
 ( fig.  1 ,  nos  5  et  65  fig.  2, n° 4). 
 4°  Petite portion  du  peaucier,  thoraco-facial. 
 5°.  Muscle  buccinateur,  bucco-labial (fig.  x ,m ,  
 n , o;  fig. 2,  n°  3). 
 {3°. Muscle  génio-glosse. 
 7°.  Muscle  génio-hyoïdien. 
 8°. Muscle digastrique,  mastoïdo-genien. 
 9°- Muscle mylo-hyoïdien. 
 io°.  Muscle  masséter,  zygomato- maxillaire  
 (%•  1 5  l, j ,  k ,  l ,  l,‘  fig.  2 ,  nos 2,2. ) 
 11  .  Muscle  crotaphyte  ou  temporal,  temporo-  
 maxillaire ( fig.  1  ,  e, ƒ , g , g-, g ■ fig. 2 , n°  1 ). 
 12  .  Muscle pterygoïdien externe •, petitptérygo-  
 maxillaire. 
 i 3°.  Muscle  ptérygoïdien  interne,  grand pté-  
 rygo-maxillaire. 
 Ces  vingt et  un  muscles  ci-dëssus  énumérés  ont  
 déjà  ete  énoncés  dans  la  description  ostéologique  
 des maxillaires.  D’autres  aussi  concourent à  l ’acte  
 de  la mastication;  mais  comme,  dans  ce traité, je  
 ne m’occupe spécialement  que des  instrumens  diviseurs  
 , des  os qui les logent,  ainsi que des nerfs qui  
 les vivifient,  et non des ressorts qui mettent ces  instrumens  
 en  mouvement,  je  m’abstiendrai  d’en  
 faire  la  description,  avec  d’autant  plus  de  raison  
 que  cela m’entraînerait dans  des longueurs  que  ne  
 comporte pas le cadre que je me suis tracé pour mon  
 travail.