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 Fig.  1 .  Tête osseuse d’une espèce de singe appelé mandrill,  
 sujet très-adulte, vue de profil et du côté gauche :  
 a , os maxillaire supérieur; b,  trou  sous-orbitaire;  
 c , os inter-maxillaire ou incisif ; d , mâchoire  inférieure  
 ; e, corps de  cet  o s;/, branche; g ,  angle  
 de  la  mâchoire; h,  apophyse  coronoïde; i,  con-  
 dyle : l’espace compris entre les lettres h et i forme  
 l’échancrure  sigmoïde ;  7,  trou  mentonnier ;  k ,  
 menton; 1,1 ,  incisives moyennes;  m ,m , incisives  
 latérales;  n ,n ,  canines;  0,0,  premières  petites  
 molaires;  p,p,  deuxièmes  petites  molaires;  q ,q ,  
 premières grosses molaires; s ,s , troisièmes et dernières  
 grosses molaires. 
 F ig.  2 .  Cette  figure représente  le  bout  antérieur  des  mâchoires  
 , vu de face, pour montrer les rapports que  
 les incisives  et les canines  ont entre elles :  a ,  os  
 sus-maxillaires ou incisives; b, maxillaire inférieur;  
 c,c, incisives  moyennes ;  d,d,  incisives latérales :  
 ces  quatre dents  sont implantées dans les os incisifs  
 ou sus-maxillaires ; e,e,  espace  qui sépare l’os  
 sus-maxillaire proprement dit, et qui loge la  dent  
 canine inférieure quand l’animal a fermé sa gueule;  
 ƒ/", canines supérieures ;  g ,g ,  incisives moyennes  
 du maxillaire inférieur; h, h, incisives latérales id. ;  
 i,i,  canines id. ; 7,7, première petite  molaire id .,  
 sur  laquelle la  canine  (ƒ ƒ ) supérieure vient glisser, 
  ce qui fait l’effet d’une paire de ciseaux,  dont  
 la molaire (7,7)  serait la lama inférieure,  et la canine  
 (ƒ,ƒ)  la  lame  supérieure  qui  croiserait  de  
 beaucoup sur sa branche inférieure, ce qui la rend  
 très-tranchante. 
 F ig.  3.  Maxillaire  supérieur  droit  d ’un  jeune  mandrill  âgé  
 d’environ  deux  an s,  vu  par  sa  face  externe,  et