LONGUEUR ET LARGEUR TOTALES
DES TÊTES DES PRINCIPAUX ANIMAUX.
NOMS DES INDIVIDUS.
' . LONGUEUR
totale de la tête, prise
de la par lie la plus proéminente
de l’oceipital
et allant en ligne droite
se terminer au bord alveolaire
externe, entre
les deux dents incisives
centrales.
LARGEUR,
prise de l’entrée d’un
canal auditif au même
point du côté opposé.
Foetus humain de 2 mois de ges- Millimétrés. Millimètres.
tation. Foetus hum..a..i.n.. ..d..e.. .4... ..m...o..i.s. ..d..e. ..g..e..s.- o,o38 0 ,0 2 4
Entfaatniot na.u.. m....o..m...e..n..t. .d..e.. .s..a. .n..a..i.s.s..a..n..c..e 0o,,Io0584 o,o3i Enfant âgé de 3 ans...................... 0,166 0o,,0o851i Enfant âgé de io ans.................... 0,170
1 CO
Ut
OO
Homme adulte âgé de 3o ans....... 0,197 0 , 1 2 2 Homme âgé de go ans.................. 0,198 , 0 , 1 2 5 ONaramnagq-uOouist aânggé, ddee 3J5a vaan,s .p...a..r. ..M.... 0,214 0 , 09 5
OrDaniga-rOd.u.t..a.n...g.. ..(.t.ê..t..e.. .d..u... .s.q...u..e..l.e..t.e. 0,142
O05 OO
Orqaunig e-Ost uatuan Mg us( étêutme ).d..o..n..n..é..e.. ..a..u.
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PoMnguos.é..u..m... .p..a..r.. .M...... .W....a..l.i.s..c..h.. .)..•........ o0,,143- 0,094 3o3 0,1 o5 JMeuannde rimll aanddurlitlel....................................................... o,r4o 0,064 0 ,2 0 0 0,085 Loup adulte . ... ■......................... 0,282 0,075 LLiioonncceeaauu , ââggéé d de’ usnix amno..i.s........................... 00,,22 63 02 ’ 00,,000805 LLaiopnin a âdguél tdee.. .2.. .m...o..i..s........................................... 00,,308656 0,140 Lapin âgé de 2 ans....................... 0,1 o5 0o,,0o234i HÉliéppphoapnott aamduel ated..u..l.t.e......................................... oo,,6833oo o0,,5i6335 PCohuevlaailn a âdguél tdee.. 8... .j.o..u...r.s.................................... • 0o,,631205 00,,108270 CCaaïïmmaann àà lluunneetttteess atrdèus-ltjeeu...n..e.... ........ 0o,,067525
00,,017270 GGaavviiaall tarèdsu-ljteeu..n..e..................................................... o,t 33 0,024 °.79° 0,2l3
IDEE GENERALE
SUR LES ARERRATIONS ET LES MALADIES
DU SYSTÈME DENTAIRE.
P lusieurs desordres peuvent contrarier les 'op érations
de la nature dans le travail de la dentition :
l ’embryon humain est exposé, pendant les n euf
mois qu’il reste enfermé dans le sein de sa m è re ,
à recevoir, par une transmission fâcheuse, l ’impression
des maladies dont ses père et mère se trouvent
attein ts , et à apporter a in s i, en naissant, le germe
d ’un vice scrophuleux, scorbutique ou vénérien,
dont le développement est susceptible de produire
les accidens les plus graves.
Cependant il ne faut pas croire qu’il n ’y ait que
ces causes qui apportent quelques dérangemens dans
les organes de la mastication. I l est des exemples
o ù , sans aucune affection morbide de la part des
parens, des foetus ont été en proie à des phlegmasies
partielles ou générales, lors même que la mère avait
parcouru toutes les périodes de la gestation dans le
plus parfait état de santé et sans aucun malaise
connu. Cette vérité a été confirmée par l ’examen
fait sur des sujets dont quelques dents de la première
dentition étaient apparentes, et sur lesquelles on a