qui dans lest du 9 au 10 Janvier, dirainuoit de
y i ", comme on le voit dans la Connoififance des
fjefrips , doà? j’en déduis
La longitude . . . . ; ..........................H •2$J 3' f z ' j
La longitude qu’on vient de trouver par les tables,
étoit moindre que celle-ci de 1! 22"-, ainfi l’erreur
.des tables êtdit en défaut de cette quantité dans la
longitude de la Lune.
ObferVrttiôrt d u i r Janvier.
A Greenwich , M. Bradley àvoit obfervé ce jour-là,
ou 3 Décembre , vieux Jlile.
Le pàflâge du centre dè fa Lune! 7h j / ' } dçIapendlfc
£t celui de l’étoile Procyon, ? . . . 7. 27. 4 ï$
J ’ai calculé le lieu du Soleil pour le temps du
pafiage de P r o c y o n > & iafcenfion droite .apparente
de cette étoile étant connue de 11 i d 34/ 25" £, j’ai
trouvé l'heure de fon pafiage au méridien , temps
vrai, à 1 i h 53' 10", & enfuite celle du pafiage,du
centre de la Lune à Greenwich à 1 z ti 09' pou, aufli
temps vrai, -en réduifàpt en temps moyen les iÿ ,
5 2" j dé temps écoulé à la pendule, entre le pafiage
de l’étoile & celui de la Lune.
J ai chérrfié enfuité le lieu de la LuiVe pour cette
heure a Greenwich, ç ’eft-a-djfe , pour i 2*1 18r 20'b
témps vrai au méridien de Paris, ou I2K 27' ût" J
temps moyen. Lès tables m’drtt donhé,
La longitude de ta Lune . . . . . . . . 25 24** ®i9 4 ®*
La latitude auftrale . . . . , . • . V . . . 2 - 4 ^' 39
Le.dômi*tKam^re.jfignzion^l , tWtdïl * tf
Et, la parallaxe : koriz^ftfôte ». | .. hë. • Lu «i | dgvi • , . & ;
J’ai conclu de l ’obferva^ipn «, Ilafcenfion droite
du centre de la Lune de • ÿ ff jÈff
déclinaifon feptentrionale de -dont
j’ai déduit
La longitude jJe Ja Lune . . . , . . . .’ 55 {24^. o f f î Jïô"®-
Et la ratitude auftrale de . . . . . . . . . 2. 48. 4'(T £
Par conféquent les tables Convoient être regardée^
comme exactes. dans cette occafion *puifgu’qn trpuye
qu’elles faifoient feulement la longitude trop grande
de m-M & la latitude trop petite dé 7"
Cmclujî&n 4e$ .erreurs des Jabke ,pmr{e tmyd\
de T'0Qcifify3tiôtï..
Erreur -en longitude.
Par les réfidtats des calculs des differentes obfer^
vations qui viennent d’être rapportées^ on voit
que, le 9 Janvier, i erreur en (longitude reconnue
par l’obfervation de Paris & celle reconnue par
l’obfemtion de Greenwich, ne different que d’ürr
quart de minute r & qu’ainfi on peut s’arrêter fijrêtmo®t:
i c i tîr d’erreur dont les tables, firifeient Ja longitude:-
trop petite à environ rpll| du, fsùr; & puifque le*
ÏU^.ian fosir à minait un': «paîMdnîyrj
d erreur, je conclus que le 10 à K'heiue dé l’occulta-
tion 1 erreur étoit de deux tiers de minute en défaut
■ L ’erreur reconnue par l’pbfervatiqn de. Marfiijle,.
du . xo Janvier,. étantfuivant la proportion ' dm