ip o Obfer valions
I X.
Aux ruines de î,ancien Fort, à l’entrée du port Dauphin,
dans l’ijle Royale.
M - o i s
&
J O U R S.
A ST R E S 1 » B S E R V É S.
H a u t e u r s
méridiennes
apparentes.
L a t i t u d e
, de l’entrée
du port Dauphin.
l75 §
Juillet 29. Bord fupérieur du Soleil. . . . 6 z d 4 2 ' 50* 4 6d 2 0 ' j.,8"
X.
A l’iflé d’un Petit port, h trois: lieues deux lier s au nord du cap
de Raye, dans l’ijle de Terre-neuve.
M 0 1 s •
J ç u tt s;
A s t r e s . 0 b s e r v é s .
T1 I
H a u t e u r s 1
- ntéridiennes ....
apparentes.
L A T I T'U X> £ -j
<Tun pètit port, .j
-.à 3 ^ Jiëues'îI<?ï>Htiers
au* fiord ƒ '
, du'ta^ ‘feRâye.
17 5 1 , ï
Juillet. 3 1 . Bord fupérieurdu Soleil . . ..
. : 0. ' |
g g ■
- 47-1 J a,'. 3 3 " ,
X I.
Au port des TrépaJJes, près du cap de Raçe , dans l’ijle de
Terre-neuve, tout proche des établijjemens
de pèche Anglois i
M 0 1 s '
&
J O U R S ..
A s t r e s o b s e r v é s .
H AU T EU R s
méridiennes
apparentes.
. .La TJ T V. ©-JS J
des ëtabliflemêns
■ _g Anglois:,
au part des Trëpafles.
V B jm Degrés. Mm. Sec. - Degrés, filin. Séc,
Août ■ 17. Bord fupérieur du Soleil . . . 5 7 - 36. 4 6 . 4 3 - « f
PH Idem . . . . . . . . . 56. 4 1 . 16 4 3 . 29 |
îdefn : ’ 0 2. 03 4.6. 4 3 . 28
AJlronomiques.
C H A P I T R E T R O I S I EME .
Ohjetvàtions de Longitude.
‘S i avec la détermination de la latitude des lieux,Tort
avoit encore celle de leur longitude, il ne manquerait
rien pour affigner fur les cartes la véritable pofition
de chaque pays ;• mais ces dernières obfervations ne
font ni auffi fréquentes, ni auffi fimples que les autres,
elles dépendent de phénomènes moins fréquens
demandent plus d’inftrumens & de connoiffances |
elles -ont par conféquent plus de difficultés; & moins
d’obfervateurs: d’ailleurs, à moins qu’elles ne forent
bien décifives, on ne peut guère s’en promettre
des réfui ta ts auffi exaéls, & comme il arrive fouvent
& même le plus Communément, qu’elles ne le font
pas, on fe .contente ordinairement d’en faire dans
des lieux dont les méridiens font un peu éloignés;
afin que l’erreur à craindre foit moins -fen (îble, en fe
partageant dans leur diflance..
Ce n’eft pourtant pas une raifon de négliger les
occafions qui pourraient fe préfenter de faire de
pareilles obfervations dans un endroit voifin de.celui
où l’on en aurait déjà fait parce que fuppofànt
même qu’elles n’euffent pas le degré de juftelfe
néceffaire pour donner la diftance réelle dés deux
lieux, du moins elles fe ferviroient mutuellement de
vérification pour affurer la pofition du pays.