fort confidéfôbles, , gui font encore aujoutd’huf
tracés que fiiivant des routes grofiières, Ton ;reconnort
tous les jours qu’il y a beaucoup de caps aux latitudes
defquels jl ne faut pas-; le fie f, quoiqu’elles foient
déduites d’une obfervation faite fur un vaiffeau qui
étoit à la vûe de ce§ caps,
II, forait donc à de tirer qu’on eût des obforvations
de latitude faites à terre le long de toutes les côtes»
avec de bons ipffrumens, & l ’on ne fournit trop les
multiplier ; car étant fufceptibles d’une grande pré-s
cifion, elles fuffiroient pour rendre parfaitement dans
les moindres détails , les côtes qui font fituées du
nord au fud, & dans celles qui nés fuiyent pas cette
direction, elles contribueraient beaucoup à rectifier
les moyens géographiques par lefquels on lùpplée au
manque de déterminations de longitude :.ç'eÆ/ <$$$$
vûe qui mVconduit dans tous les endroits où j’ai pu
m’arrêter, & lorfque j’y ai fait quelque féjour, j’ai répété
les obforvations, afin d’éviter parla détermination
de là latitude lur divers réfiiltats , le défaut d’exaéli-
tude auquel une feule obfervation aurait pû m’expofon
On a pris dans le livré des Ioftitutions Aftrono-
miques, les déclinaifons dés étoiles, pour toutes
celles qui y font reftituées, les autres ont été déduites
des obfervations qui ont été faites à Paris; & lorfque
le terrein ne permettoit pas de mefurer des bafes
a {fez longues pour donner une échelle proportionnée
à l’étendue des cartes que je ievois, j’ai fait ufoge.
des; différences en latitude, en ayant1 égard, pour
plus de'précifion, à l’aberration en déclinaifon.
On a foivi ». pour les déclinaifons dii'Sôfelî f le livre
de la Connoiffance des Temps, pour fheurq de. midi
des lieux où tçs obforyations ont été.foites, & l’orç a
tenu compte de la .différence de. leurs méridiens avèc
celui de Paris* On- soft-pareillement réglée fur la table
de la Connoiffànce des-Temps ; pour lès- réfiaéfcions;
Si les parallaxes du Soleil & fos demr-diamètres.
I.
Obfervations de Latitude, faites a la. ville de
LoziiJBourg,
Ha première dé çes obfervationss fut: celte'
de la hauteur méridienne du bord, fupérieur:
du Sofeib, du 20 Août t y i P i qur-fut au, 1
quart-de-cerele ... . . . . . . .. ... . ... .. jd 4 49-', «MF
, Moins 7 départies du micromètre qui valent. «?. 2; 47*-
. Done . . ... .. . . . ... . ... jd. 47. 03».
Mais, elle fut douteufe, à caufe que. te
cheveu, ne battoit pas exactement fur te point
de la divifîon.
Erreur de. l’inflrument à fouit mire . . . . — 0; ? °*
Hauteur apparente du bord fupérieur .... . jd.. 4 ,d., ï -3>
Ea réfraét. moins la parallaxeaufïî à fouit raire. TT.. 0. 3 3 *
Hàutetir vraie du. bord fupérieiir . . . . . 5d. 4 .j».; 4 0 *
Demi-rdiamètre à fouftraire . ... ..., — 15. 54.
Hauteur vraie du centre du Soleil . . . . jdf; | | g j 4dl
Donc fe diftance au zénith . . . . . . . . 3 3 * 30. 14.
Ea declinaifon.à ajouter ........ -j~-12. 23. 52-
Eatitude. dé Louifbourg . . . . . . . . . 4 Ü m