212 O bfervations
17, on voit qu’elle a retardé en 4 jours 2h clc
1'47 " , d’où Ton trouvé le temps vrai pour chacune
de ces difiances obfervées.
I I I.
Obfervations de Longitude, faites dans le pajfage
de Bacareau, près du cap de Sable, extrémité
occidentale de l’Acadie.
Le 18 Juin 1751 au matin, le ciel bien ferein,
nous fîmes les obfervations Jfùivantes, M. de Divers
& moi de concert.
D'flances de Tétoile a. de Pégafe au bord de la Lune
Je plus proche.
Ë Ü f | r
H i y J u i n .
H e u r e s
de la pendule.
T emp s
vrai.
î V A-LÆtU R
des angles mefurés.
Heures. Mm. Ses. Heures% Afin. Sect Degrés» Min, Sec. ~
Diftance. . 1-4. >5>. 22 i g di. 516 3' - 30. 414
2.* , i p 03. 13 13. 05. 41 31. 31. 40 f
3.«. . . . . . i f . 05. 2 33 i r p 07. 32 3 1- ' 3 z - ' g |
La clarté du jour nous empêcha de comparer
auffi ia Lune à « d’Andromède, comme nous nous
1 étions propofe ; mais le temps étant toujours beau,
lorfque le Soleil fut allez élevé fur l’horizon & la
Lune vers le méridien, nous continuâmes à faire
de pareilles obferyations fur ces deux aftres.
Ajh'ùnomiques. 213
Diflances du bord éclairé de la Lune à celui du Soleil*
qui en étoit- le plusp^oche.
H E U R T E M R s H t1' S b % E U. R 1
| i X ü I N. de la pendidi. i t des arigles uiefureS.'j;
Heures,, Afin. . Hevrésé Miii. 1 \Ses* '
1 .«« Diftan ce . . . * 9* ' : p 3 1 O4 v 6 $ ë 4 e* 3 8 1
2 .e '* l 9<; 1 3* 2 2 15, ' \ 55, H 38- 37 T
< .34 2 2 , *3 ip . 2 4 . 3.3 ï j dd>. i i i H
4-° . B 24 . 3? 9
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P * \ f - 9p 3 K 4 1 . xp. 3 4 . J4 ^ 66. 3 1 * I I
1 9* 33- ‘3 4 $ • ip . 3 6 - 08 I >■ 6 6 . 3 i>.;-
7 e À 19‘ 4 1 * i l l i p . 4 4 . a3 K 2 8 .
► 8-* 1 9 . 43- 5 3 $ i p . 4 ^* * d d . 27' 0 2 f
Le ciel ayant commencé à fe couvrir de nuages,
me fit craindre• de perdre, fauté d’avoir l’heure, le
fruit du travail que nous venions de frire, c’efl pourquoi
je me hâtai de prendre des hauteurs du Soleil,
mais les nuages fe* diffipèrent^, & j’eus un grand
nombre de hauteurs correlpondantes, dont je rapporté
feulement les fix premières.
Il plût le lendemain, mais le 20 j’eus encore des;
hauteurs que je rapporte auffi, Si qui achevèrent de
me faire connoître l’état de la pendule.