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Aurélia melanospila. Péron , annales , p. 358.
Habite la mer du nord. Péron la dit tros-aplatie.
. Aurélie phosphorique. Aurélia phosphorea.
A- convexiuscula, lavis, adperiphariam fimbriata\tentaculisocto.
Aurélia phosphorea. Péron, annales, p. 358.
Médusa phosphorea. Spallan\ani , voyage en S ic ile , t. 4*
p. 192.
Habite le détroit de Messine.
6. Aurélie tyrrhénienne. Aurélia tyrrhena.
A . orbicularis convexa , lavigata, rubro maculata; tentaculis
longissimis ; brcichiis oribus^ue qu&tertiis•
Médusa tyrrhena» Gm e l, p. 3i 55.
Médusa amaranthea. Macvi, del polm. mar. p. 19*
Auréliaamaranthea. Péron, annales, p. 35g.
Habite la mer de Naples.
n. Aurélie crucigère. Aurélia crucigera.
A . hemisphoerica , suie amp anulata ; centra cruce rufescente ; tentaculis
brevibus numerosissimis ; brachiis 4 rufescentibus.
Médusa cruciata. Forsk. Ægypt. p. 110. et ic. t. 33*fig. A •
Encycl. pl. g3. f. 5—7.
Médusa crucigera. Gmel-p. 3x58.
Aurélia rufescens. Péron, annales , p. 35j .
Habite la Méditerranée.
S. Aurélie radiolée. Aurélia radiolata.
A» convexa , purpurascens , lineolis tenuissimis radiata j brachiis
quaternis.
Médusa: var. Borl. corn. p. a5j. tab. a5. f. 9— 10.
Aurélia lineolata. Péron, annales , p. 35g.
Habite les côtes de Cornouailles.
G É P H É E . (Cephea).
Corps orbiculaire, transparent , ayant en dessous un
pédoncule et des bras. Point de tentacules au pourtour
de l’ombrelle.
4 bouches ou davantage au disque inférieur.
Corpus orbiculare „ hyalinum “ subtus peduncula-
tûm et brachideum. Tentacula ad peripKoeriam um-
brelloe nulla.
Ora (judtuor Del plura in disco infêriore.
O B S E R V A T IO N S .
Parmi les mîédusàires à plusieurs bouches, les c'êphêes
sont les premiers qui soient munis en dessous d’un pédoncule.
Dans plusieurs , ce pédoncule est court et fort épais,
et ce sont les divisions de son extrémité qui constituent les
bras de ces radiaires. Ces bras sont au nombre de huit, tantôt
très-composés , polychotomes et entremêlés de cirrhes ,
comme dans les céphées de P é roA , et tantôt simplement bilo-
bés, comme dans ses rhizostomes que nous réunissons à
notre genre. D’ailleurs le nom de rhizostome ayant été formé
sur une erreur, nous ne croyons pas devoir le conserver
pour désigner un genre parmi les médusaires.
Les céphées sont distingués des orytbies et des dianées,
parce qu’ils ont plusieurs bouches ; ils n’en ont jamais
moins de quatre , ni plus de huit. Enfin on les distingue des
cyanées, parce qu’ils sont prives de tentacules au pourtour
de leur ombrelle.
E S P È C E S .
* Cépliées» Péron.
1. Céphéè cyclophore. Cephea cyclophora.
C. hemisphoerica, tuberculata , fusco-rufescens ; brachiis
octo dioisis, cotyliferis ; stylis inter brachia suboctonis ,
proelongis , filiformibus.