(c c) sont deux branches osseuses qui tiennent
lieu de cornes postérieures.
Fig. î i . Celte figure représente les muscles propres
de la langue de Yêchidnè ( echidna-his-
trix. ) {Poy. tom. III, pag. 1261 et 265. ).
Le mylo-hyoïdien, composé d’une portion
accessoire (b), ainsi que le génio-hyoïdien ,
dont on voit une portion en (c), et legénio-
gîosse ( d ), avec sa portion accessoire ( e ),
orrt été jetés de côté. On a séparé le feuil-
letinférieur (f ) dumyloglosse, de la membrane
palatine à laquelle il s’attache, de-
sorte que l’on voit le feuillet supérieur ( g )
du même muscle. C’est entre ces deux
feuillets que s’avance le sterno-glosse ( h )
qui a été mis a découvert et développé en
( h’ h’ h’ ) afin que l’on voie la manière
dont ses faisçeaux se terminent successivement
à ceux du muscle annulaire (i), dans
l ’intérieur duquel pénètre le sterno-glosse.
On a coupé pour cela une portion du muscle
annulaire du côté gauche , et on en
a écarté les deux lambeaux (i. i. i. i.) -, ( 1)
muscle annulaire du côté droit 3 ( k) membrane
linguale.
P L A N C H E X X X V .
Trompe et langue d’ ùn buccin. ( Poy. tom. III >
pag. 542 et suiv. )
Fig. 1. La tête du buccin ouverte pour montrer
la trompe dans un état de retraction.
Fig. 2. L a même trompe dans ^on état de protraction.
Fig. 5. La trompe ouverte dans sa longueur pour
montrer comment les muscles retracteurs
s’y insèrent. On y voit aussi l’oesophage
qui en parcourt toute la longueur , avec
les canaux excréteurs des glandes salivaires,
ainsi que la langue et ses muscles.
Fig. 4. La langue avec ses muscles rétracteurs et
protracteurs, et l’extrémite anterieure de
l’oesophage ouverte.
Fig. 5. Les deux cartilages qui soutiennent la
langue.
P L A N C H E X X X V I .
Estomacs de mammifères.
Estomacs shnples. ( Poy. pour cette planche et
les deux suivantes le tom. I I I , de puis la page
5y5 — 4oi. )