Page 22^ , après la ligne 4. Nous ne lès avons
pas trouvées dans les lézards de notre pays»
( L/acerta agilis, etc. )
Page 3gi , ajoutez à la fin de la description qui
concerne Peslomac du cochon :
Le pylore a une sorte de valvule, danvS l’estomac 5
qui doit arrêter le passage des alimens: c’est un
gros tubercule parfaitement semblable à celui que
nous avons décrit dans l’estomac du lama , et qui
est figuré planche XXXVIII.
Page 447 , à la suite de la seconde ligne ajoutez :
Ce rapport est inverse dans l’autruche ; ses gros
intestins excèdent en longueur les grêles.
Page 55g , à la suite de la troisième ligne
ajoutez :
Le cloaque a d’ailleurs, 1®. deux abaisseurs
qui s’élèvent, en dedans du bassin , de la sym-
phise du pubis sur ses côtés.
2°; Deux releveurs qui descendent , plus en
arrière, de la base de la queue sur ses côtés; ils
sont hors du bàS.Vin.
5°. Deux rétracteurs y longs et grêles, fixés en
avant, de chaque côté de l’épine, en dedans des
psoas, et qui se portent delà sous le cloaque, qu’ils
doivent tirer en avant.
Additions et corrections au quatrième volume.
Page 29 j après la ligne 4 , ajoutez:
Dans, le cochon, le canal cholédoque est fort
grand . et s’insère très-près du pylore, à deux qentimètres
seulement de distance , tandis que l’insertion
du pancréatique a lieu dix ou douze centimètres
plus loin.
Page 55 , ajoutez au tableau de cette page :
Plongeon. P.—H. 2e. P.—C.
Page 1 iô , à la suite de la ligne 3. Voici une
description plus détaillée de ces estomacs, qui
sont cependant, au nombre de trois : l’oesophage,
après avoir dépasse l’anneau cartilagineux du
cou , se dilate et forme une poche considérable ,
dont les parois sont parsemées de grains glanduleux.
Il se rétrécit ensuite ; et lorsqu’il a dépassé
le foie, il se dilate de nouveau en une poche
mince et glanduleuse; celle-ci donne immédiatement
dans l’estomac, qui est aussi fort
et musculeux que le gésier des oiseaux granivores.
La seiche et le calmar n’ont qu’un gésier.
Page 248, ajoutez à la fin de la page :
Dans les vieux rumincins les parois de l’aorte
contiennent ordinairement un os , dont la forme
varie beaucoup : il est placé au commencement
de cette artère, et porte improprement le nom d’os
du coeur.
Page 212. Nous devons décrire le coeur de l’or-
nithorinque à la suite de celui des mammifères.
et immédiatement avant celui des oiseaux , dont
il se rapproche un peu.
Comme dans les mammifères et les oiseaux, il
est conique et composé de quatre cavités , ayant
entr’elles les mêmes communications. L ’oreillette
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