
riams d’ un lac qui réfléchit, ta voûte azurée
des deux 3 ou sur l’immense étendue de
l’océan agité par tes vents tumultueux; sans,
cesse la Nature nous environne, elle nous
parle toujours un nouveau tangage, qui tious
Séduit nous entraine et nous attache constem-
ment à son culte.
* ff ‘-‘•‘V
Qiie l9homme prévenu traite cette science
aimable y d’occupation frivole ; que le vulgaire
éf persuade qu’ elle n’est utile , qu’à la seule
.classe de ceux adonnés à l’art des guérisonsj
elle n en sera pas moins une douce occupation,
pour celui, qui fait consister sa Philosophie
dans l ’art d’être heureux.
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Si tels sont les sentiment, qu’éprouve celui
qui cultive l’ étude des sciences naturelles, s'il
en recueille pour son bonheur particulier des
jouissances si pures ; de quelle nouvelle ardeur
cette noble passion ne doit - elle point être
stimulée, lorsqu’il l'envisage sous le rapport
des secours et de l ’utilité dont sa nature la
rend susceptible pour le bien - être du genre
humain: oui, c’est alors qu’ échauffant te génie,
entraînant avec un charme inexprimable, on
savoure les délices, dont nous fait jouir l ’idée,
d’avoir bien mérité de nos semblables. '
He ! ne serait’■ elle point eminément disti-
guçe cette science, qui, conduit l’homme à