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4 LE M A N D R I L L . .
qui indique plutôt le Mandrill que d'autres grands Singes. M. Lichlenslein rapporte
aussi au Mandrill ces vers de Juvénal, sat. X , v. igS et suiv.
Adsjñce rugas
Quales, umbríferos ubi pandit tahraca sallus,
In vetula scalpít jam mater simia hueca.
Mais quoique les rides de cette espèce soient plus prononcées, on en trouve assez
dans presque tous les Singes pour qu'ils ayent pu aussi servir d'objet de comparaison.
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