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G L E D I T S I A . FÉVIER.
CM arbrc esl originaire de l'Amérique seplenlrionale, partienliérement ,1e la Caroavant
dans I anlomne, Ini a lait souvent trouver plaee dans nos bosquets d'été
. Le Fevier a nu leuillage très-agréable, qui a une petite o,leur graeiense, aussi
.1 bien que sa Heur qui n a pas beaneoup d'.xlat et qui parait dans le mois de mai ou ,1e
• |uiu. La beante,le saleuillepeut engager ii eu mettre ,lans les busquetsde printems:
» "»|'i,«»"''"»s«<»ttres-biendanslesbosq,,etsd'été;ilsont,eommelefa;xAeaeia
. delatit de s eelater par le vent, quami deux brandies aussi , igourenses l'une qné
>. 1 autre forment un f o u r e l i e t . . . . Le bois du Févier parait dur et feu,laut ». DUUAI.E,,.
2. GLEDITSIA Sinensis. FÉVIER de Chine.
G. „S„„i,, „„„.i,, inf„loril,„ F. à M e , épiaes, à „ i f i c l l a , , alleroei relies
cu.puc.,, Ia,„lu,. u „ . E„o,d. vol. p.E. 465. pr..,i,ef..,oicalée,; le.folioles l i . ^ . e l l l p ' î e . !
• ; folhlis ovato-oblongis. Willd. Spec.
CLEDITSIA. ( h o r d d . ) ,pi„o,i,, „ijtl.
Plaul. vol. 4. pag. ,og8.
dis!;!'' ™ S"""!"«' « <1" m<?n,e port que le précé,lent, s'en
d SI ligue par ses loholes plus ilargics, plus obttLScs, par ses unes plus rameuses,
po.t,uit chacune trois on quatre petites épines latérales, alternes, il'im rouge brun
longiies de deux pouces, celles du tronc plus grandes et plus fortes, ayant dc plus lenr
r nnlications niuiues il'autres laines latérales, réunies <lenx ou trois ensemble en faisceau.
Les feuilles sout glabres, composites de six il huit paires de folioles ovales, ellip-
,pie , d un beau vert, un peu luisantes. Les fleurs sont disposées en petites g appL
elabre, ongne ,1e six a Imit pouces et plus , ihvisée intérieurement en plusieurs
cloisons transversales, renfermant dans une matière pidpeuse des semences solitaires,
petites, ovales, uu peu eoniprimées.
aufmr'tt" pi' "•'"•'i " 'l'P"» p"- -t«
pe d ses leu Iles tous les ans Cou,me il résiste aux froiils <le l'iiiver, qu'il se ramilie
T R T F " " " 'T'"""-'' " l " " " " ' " ' ' O " " " ' haies d'une
bonne delense, en le teiwnt bas. On le multiplie de g,-aines.
5. GI.EDITSIA monosperma. FÉVIER nionosperme.
GI.EDITStA. ( Carolmeasis ) lafmibtt, longt,, iltnpiioùmi, , Inamtiba, omlibas •
,„„o„„a,„, „ „ „ „ y „ , „ i . L».,. Eaojcl. ,„1. j . pag. 46S. el tll. Gen. lab. & , . Bg. 2.
6 M , „ V . tri.,caaa,a. Carars. d. r,-,ic,. el Sem. vol. pag. 3 , , . tab. ,46. Cg. 3. No„ Liattcl.
bipitmati,, .ilitiai, oralib,,,. M i l l i . . Dict. a'. 2.
" t f l ' T ' p ' ' . ™ ? ' ' " " ' ' '"»"f""- M'C«- Elor. Borial. Araer.
Gloilttsia ai/tiaficn. MARS. Amer. pag. g5.
Aoacia ..braooefolii.. „„„. , „ „ - „ „ „ , „ „ c W , « e . CATES». Carol. vol. ,.
pag. 43. lab. 43.
Cette e.spèee ne peut être confondue avec le GleMtsia triacanthos. Lin., auquel
Goertner la rapporte comme variélé. Elle eu estéviiiemmentdistingnéc par sesgousses
a nue seule semence, par ses foholes un peu jibis petites. C'est un graiiil arbre, ilout les
rameaux sont armes de petites épines très-aiguës, ternées, garnis de liudlcs deux fois
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