i * .
d'ailleurs Laiicoiiupl.isdcsoln, parer qu'il ne peut rés
qu'il faut le ])réserver du froid. « Comme cet arbre i
» hivers, ou le cultive eu caisse; mais dans cet état il
1, I I,
er aux rigueurs de l'hiver ct
peut supporter nos grands
prodiut que trè.s-peude fruits.
exposé au midi, et qui !
Ile ou par des murailles .assc;;
niisson plutôt qu'en espalier :
:c bon
rité la
IS la troisième
e exposilion, i]
ouclie repou.ssc
t mieux planter le Figuier sur un coteau l,i(
I couvert dn nord et du couchant par le coteau mi
élevées. Il est préférable de planter les Figuiers en
ils ilonneut alors plus de Fipies, et elles mûrissent
» Si l'on se eontenlc de tenir ainsi les Figuiers ii ui
de teins cn tems que les branches gèleront : il la vt
les nouveaux jets ue donncionl des Figues que daii
venir ces accideus il faut tenir les Figuiers Irès-i
parvenir cn rompanl, l'été, l'cstréinité des jeunes pousses : jc no bli\nie poinl
pratique que j'ai éprouvée; mais le mieux est d'abattre tous les ans, jusque
souche, quelques-unes des |ilus grosses branches. Pendant , ' '
médiocre grandeur donneront des fruits, la souclic produira de nouveaux jets qui
seront en état de friictilicr quand les autres branches, avant pris de la force, seront
dans le cas d'etre retranchées. Par celte praticpic, on n'aura pas ii la vérité autant
mais
mée. Pour prcqui
croient y
tte
, , . la
e les branches de
>1 de fruil i que si les arbri
» d'en èt
t p r i
fl l'attcmion de les couvrir h
» faire craindre de fortes gcli
talent grands, mais aussi on ne courra point le risqu
é après les grands hivers, pourvu toutelbis qu'on ai
•sque la saison et la disposition du tems coinmcncciu
Ou coniinencc par butter le pied de chaque Fi.o,l,.r
> on rapproche ensuite toutes ses branches les unes des antres, le plus ,,rcs i
I peut : on les lie en plusieurs endroits avec des liens d'osier ou de paille • ou les
I enveloppe de grande paille retenue avec de pareilles ligatures; enfin ou file un Ion»
i .en de paille, g,-os comme le bas de la ja.nbc, avec lequel on co..vrc le tot.t dcpui"
e pied jusqu'il la cime, faisant toutes ses révolutioos les unes immédiatement contre
les antres, ahn que la gelée et le verglas ne puissent pénétrer. Un Figuier ainsi
empaillé représente un cône on une pvrami.lc. Vers la mi-m.ars on d.îcouïre le pied
des F iguicrs, et ii mesure que la saison s'adoucit, on continue il les découvrir successivement,
réservant à découvrir l'extrémité lors.pi'il n'y a plus rien il craindre des
pelitesgeh.es et des pluies froi.les, e'est-ii-dire au coramencemem de mai un peu
plutôt ou plus tard, suivant la température de l'année cl le i.rogrès des Figuiers •
» car lorsque le ils ont environ trois lignes de diamètre, il faui les accoutumer i!
» l'air, sauf à les
.-rir de draps ou lie pa
11 nuits trop froidi
de peur .pi'ils ne s'étiolcnL se
)) ne les fasse pér
Drir..viEi..
A Argcntenil, près P
des champs .
font une partie considérable di
iltiv
s la
m est men.
lille, ct (pi
iiticrs .
teurs é
•é de quelques
usuite le soleil
Figuiers, et leurs fruits
ce canton. Yoici comme
W. De Launay, il.ans son Bon Janlinier, parle .1 iplojéspour
mettre ces arbres ii l'abri du froid ; . Dès l'arrière saiso
me et fouille la le.
autour de chaque arbre; et, sitôt que la gelée a J'aie de
leur .sens naturel, autant qu'il est possible, tontes les brânclics du Figi
rcconvrc ensuite d'environ six pouces de terre : cela suffit pour le d.ifendi
gelée. En f,lisant cetlc opération, on a grand soin de d.q.oiiillcr tmites les lu
Ibnillcs quipourraicnt j t e . i i r encore, ct qui, s'écliaidïaiitdans la terre, fcraiempoui
I prononcer, on couelie daus
lies de..
u pourrissant elles-mêmes. On a aussi l'atteulion, lors de ce coucha
le branche par sou exlrémité, ct de (kicbir pctit-ii-petit .avec les prée
;nt rempèclier de se rompre, c'esl-ii-dirc en posant la main ou le gei
.s branch
de saisir chaq
ions q1u i d 1 . V'"... e, c ejL-a-.nre cn posa
mr la partie qui fiit le plus de résiilance : ce qu'i tout
pi
teller cl eu lime
imp défriché c
i. Cetar
.e il quatre
re le Figui
; le lave et le
le butte. On e.st é
:iiii
cr dans la terre
l inégal, des côtes inimen.se
c, et on l a éprouvé, peutrcst
ingt jour.s dans cette situatio
r pour lui faire prendre l'air
, mais on rccommen
nouveau. Malgré tant d'attentior
atteint quel.juelois leurs Fignicr
repoussant du pied, no fait perd
POU.SS0 est extrêmement sensible
lué do voir ressembler k un
cille, étaient des forêts do
, sans souOrir do dommage, soixantc-
. Dans les jours doux de fliiver ou
tant mieux si uno plui
: l'entcrrage, si la goléc
de la part des cultivateurs d'Arijcnle
: .lions les branches seules
qu'une année de récolte.
c chaude ot
menace de
•lil, lo l'roid
il la gclc( i;in(hî pJi
i ponssent.
mais aussi
s de précauti.
et l'a
s l'a
O loiquc déjit ce ne soit pas sans difficulté qu'c
s le climat de Paris, on a encore voulu force.
il ne pont le faire naturellement. Pour obtenir c
sorros-chaudes ot aux châssis : on plante les Figi
l'on enfonce dans des couches de tau ou de funiie
puisse réussir kconser
cot arbre à donner sos fn
it <le janvier, et vers la fin du mois on comn
r le Figuier
lits plutôt
Figues précocos, mi
ers dans des pots ou des caisses
: ces coucbcs se préparent dans
•nce à chaufCor les Fi-uiers, cn
leur donnant depuis vingt jusqu'k trente degrés do chalon
sur-tout dans le commoncemont. Los arbres qu'on cultive (K,,
promptement : aussi Ikut-il, lorsqu'ils ont donné leur récolte, les
uneaunée, ct avoir soin de les rencaisser avcc de la terre nouve
Toutes les peines, toutes les dépenses nécessaires pour faii
le cours ordinaire des saisons, n'abouti.ssent cependant ([u'à i
médiocres : ceux des scrres-ch.iudcs ne valeut même presque i
goût désagréable; ceux qui viennent sous châssis sont moill.
ils sont bien rarement aussi bons que ceux qni ont mûri en
lonjourshien loind'approclu-rdugoùtct delà savcurdclicie
De toutes los nombreuses variétés du Figuier, on ne euh
que celles qui sont les plus hàtivcs dans les tlépartomei
blanche, la Couoonrolle blanche ou l'Angélique, la Fiyue
ot la Figue-Poire ou la petite Auhi.pio. M. Re
ot la Scrvantiuc pourraient très-bien
à cc sujet, on parlant do la dernière :
commencement du mois de scpteml:
Heaume : là, le terroin est élevé d'onv
la mer ; on y cultive quohiues vigi
étaient fort belles ot excellentes ».
lomens,
•puisent
:t de frécpicnsa
nanièrc
:r reposer pend,
priutcms suivant,
t-auccr atix l'igues
donner des fruits
et ont souvent un
à la vérité, mais
, ct ils seront
deProveucc.
doi
fies Fi.
-0 d;
lo, climat de Paris,
méridionaux, la Figue
Ictto ou la Mouissoune.
i pense qu
sir dans les environ;
ai ou occasion de m
au plau A'Jups, a
iron quatre cents loises
, mais les raisins v niûi
)ucourelle brune
ris. II nous écrit
:1e CCS Figues au
is de la Saiiite~
sus du niveau do
mal. Les Figues
])e la Cnprijîcation et des Insectes <],
Les anciens croyaient que le Figuier ne d
imaitp
quccctarbre,.soildumesti.ruo,soitsauva"o,
ne (lem
L'Yeuse, le Piu, le (iénévrior, passaioni aus.i, au:
pas de neurs, parce que cellos que portent ces arb
mt sur le Figuier.
: fleurs. Pline dil positivement
, pai
l'oolal des couloo
partagé cette opin
Figues, ol qui soi
ob.-,orvations plus
démie des S< iouc
li-mclles. M. Do I.
t pas, ct qu'il débute parle fruit,
yeux dos anciens, pour n'avoir
es n'étani pas remarcpiahlcs par
vuo. Les modornos ont long-icms
l'rapp,
is fui le qui ob
ontenus dans les
eu donna k
, cependaut,
lospi.su]sco
M. Do la Ilirc, en i
los; ot, dans los Méii
ioscnptio
ic fil i[U(
I ct la f,g
voir tout
poussa sos
•es de l'Acalinsi
que des
choses, ct i! i,