I 8 6 JUGLANS.
jeunes Noyers, doi\c m avoir si
tout dans les terres < 1 lurcs, et i
les uns des autres, .1 le milieu .
» Cet arbre porte son fruit .
le seul engrais qui le
nain ; il s'élève toujoi u-s en bat
point, non plus <pie tous los a
d oter lo bois mort < )u trop co
pluies s'ogonlto et TIC puisse les
« Queiquelhi, „„ si-iiie les
racine so li\re h son iiicliiialio
fentes des rocliors ; 1 •arbre auss
pour le former, la w
qu'on ne le greflé ah ,rs uu pei
on doit toujours obsc r , e r que 1,
point k être abrité ni d orniue par
l'isole doue, ou bien ou eu l'ai
: pieds do lai
s doivent ene
etre
n milieu ».
ans être grefTé. On p
Son troue robuste n
te tige ; on ne l'élagu
•bres de pareille statu;
ifus , qu'on coupe en
gâter, après quoi on
lois il demeure pour
1 naUirelle de pivoter
devient plus droi
•c, on est sùrd'avoi
N O Y E R .
trois de profondeur, surcspacès
il cinq ou six toises
. id qu,
peu:
u t , si l'o
les cendres sont
réduit en arbre
le taille presque
e, auxquels on se contente
tains, afin que l'eau des
n'y touche plus «.
garnir des côtes; alors la
, ct de s'insinuer daus les
plus h a u t ; e t s i l ' o n a c h o i s i,
de beau bois. Rien n'empêche
- nt au fru
rant d'air, n'ai
lal en massif :
» Il est bon d'avoir creuse
Noyer, se plai.sant dans le
autres arbres, et n
:îes avenues n.
quelques mois d'avance les trous, ct de graud(
•brcs qu'on veut planter à demeure, et qui doivi
ème plus : on ne leur coupe point la tête. C
ur les bords ou daus lo milieu dos terres de rapport
ibles, et (pii s'étendent horisontalement quelquefoi,
suffisante, pour recevoir les .
avoir de sept ii huit pieds, i
à tort qu'on plante ces arbres
parce que leurs racines considè
i plus de -vingt toises, direction qu'elles d.
pivot, affament les cnltnres, embarnisseut et effri
leur ombre n'est pas uu)ins nuisible aux plantes el
Olivier de Serres prétend que c'est à cause de ce gn
porte le nom de T o r e r d u mot latin nocere, nuire
:st
ns doute a l'amputation di
nt la terre ; d'un autre cùti
L)x moissons qui sont voisines
;l inconvéuieut que cet arbri
• Ceu veule
les greffer. I.'expéri.
de Grenoble, de P.
extrêmement fécond:
fait en fciito, plus o
il faut avoir la main
de dessus l'espèce q
particulière du boni
bientôt il poi
ou placera ui
âge ct un certaii
par vieillesse ou
tout le bois ».
» Loin d'être
chasser par la f<
éloigner des auti
On ue lui connî
rarement, ct pr
grosse branche n
» M. De la Bret,
Vers la mi-septendir
it cultiver les Noyers pour l
ICO a enseigné aux cultivatei
iguoux, etc., que c'était u
peuvent supporter cctt
^ greffe
lin vol
s frnits, feront très-bien de
de la Suisse, des environs
moyen assuré de les rendre
opération à tout âge. On la
linairemcnt eu flûte; mais pour réussir dans cette dernière,
exercée, attendu la difficulté d'enlever comme il faut la fiùte
i fournit la grolTe ; difficulté c.iusée par la conformation
eon du Noyer. Au reste un vieux Noyer peut être étèté ;
1 grand nombre de jeunes branches, .sur chacune desquelles
. Cet arbre ue rapporte qne lorsqu'il a acquis un certain
âme ; mais son produit va toujours en croissant. Lorsque,
accident, il se couronne, il le laut abattre de peur de perdre
jet
de ! ule : l'arbre ne
lUX insectes
:leur .le ses 1
s arbres, en en
: d'autre maladie
.(pic senlcn;
il coupée, ail
luorie ne
tlit-il
, le Noyer, au contre
cuilles, ct l'on pourr
répandaut qiielqucs-nn
que celle de .se carier
nt dai
re, a la vertu de les
it s'en servir pour les
parmi leur feuillage,
'1 n'y a point de remède ».
lésapprouve point la coutume do gi
l'octobre, on K
rcuser, mais
provient de
•t de s
la
, ou le c
Ht point d'être bri
p.r les noix,
ibat à coups
lu bout de ses brauches à force
J U G L A N S . NOYER. I8;
d'être battu : il en repousse de nouvelles qui font ia couronne, et produisent
davantage une autre année ».
Miller n'est pas tout-ii-fait de cet avis. Ji
le puis adopter, dit-il, l'opir
qu'en abattant les uoix avec des gaules, on
iicliore les ai'bres, parce qu
ainsi, on cas.se et on détruit ordinaircnii
t les jeunes I:
très-difficile de cueillir ces fruits avec la main, on doit les gauh
de ne pas nuire aux arbres. Qnatid on veut conserver les noi.
les arbres jusqu'il ce qu'elles soient bien mûres, et après qr
mettre en tas pendant deux ou trois jours; en les étendant
.séparent aisément : après cela, on los fait sécher au soleil, et (
lieu sec, k l'abri des souris et des autres animaux destrnctcm
mettent leurs noix dans uu four de chaleur tempérée, et les y ti
ou cinq heures; lorsqu'ellcssontsèches, elles les renferment dan
d'autres grands vases, en y mêlant du sable : par cotte mothorle
lulant six mois ; la clialei
ive trop cLaud, les
i l é t r u i t l e;
loix so de?
ctl'c
•chen
, telle o l a No
s procur
dans d,
s leur ar
es de nu
nipêehe de pousser; m
>]), ct perdeni beauei
u- d'An
sable :
:otiqui
iTC q™ le Xojt
lisent ne soient
vaut mieux se h
uùrs et emballé
n les plante apri
,ou les tient nettes mauvaises herbe,
a que lenrs brandies soient rempli
ittesou quelques paillassons légers, pot:
eurs tendres rejettons, cc qui forait per
LI fr,i
qualités.
Lcs espèces de N
do la oionie maiiièi
fruits qu'ils produi;
leur pays natal, il v
doivent être bien ni
traversée; plutôt on
plantes ont poussé, (
fin de l'automne, <
couvrir avec des u;
gelées de nuire à l
branche avant le priutems. En le.-
fortifieront, et seront plus en état île résistci
sont délicates dans lour jeuuesse, il f.nit avo
tems hors de l'atteinte des grands froids, su
après quoi elles seront assez dures pour rè
Ces arbres réussissent a.ssez bien dans
trouvent uu fond a.ssez cousi<lérable do bon
vu le Noj-cr noir produire, on Angleterre,
assez mûres pour pouvoir germer; mais lei
valeur. Tantquc le .\aror Ik
quoi on estime boaucmip les
grand, son bois devient ca.s.sant, el no pr
OiismivATioxs. Quoiqu'il l'arlicley»o/,
d'étendue les propriétés et los usages dos
omis plusieurs qui méritent cepciid.iut une attention
conservé la rccette du fameux antidote de IMithridnt.
d'aprèscotauteur, de deux Figues, de deux Noix, de
ques grains de sel». Des vieillards, témoins oculaires
si grands ravages à Marseille, m'ont raconté, il y a v
•ommune,
•y prenant
is commc il est
ivec procaution, afin
X, il faut les laisser sur
l'on les a abattues, les
ensuite, les co.sses se
)n les coirscrve dans un
•s. Quehiues personnes
ienuout pendant quatre
IS des tonneaux ou dans
on les conserve bonnes
is si le four
•ip de leurs
: Pn. , rikori
il est i.
udité
llivent
Ire que los
dans
J pour les semer ; ces fruits
-)ur les conserver durant la
X ils réussissent. Quand les
>, ct si elles paraissenl sur la
;le sève, il est nécessaire de les
empêcher les premières
une grande partie de la
s pr
! est joui
C(
.C]du
i r soin de h-s lo:
r-tout pondant h
^sister aux riguo
nn sol mou, gn
110 lerre pour ét
. jicndant plus é
,irs amandes étiiic
sou bois est soupL
lie ses rejetions; i
guère servir
lifférentos jwrties di
, elles
?spèc
, pendant Jes premiers
leuxpromièrosannées;
do la mauvaise saison,
n pas trop sec, où ils
•ut pin,
leurs racines. On a
quarante ans, des noix
l peliles et de peu de
cl coriace : c'est pourlais
loiMpic l'arbre est
ux mêmes usages.
V ions expose avcc assez
Noyer, nous eu avons
•re ;i}. « Pline nous a
ont. Il était composé,
les de Rue, avcc quelil'rc
poste qui a fait de
ans, que l'on prenait
(i) ExlrJil «Is rUisluire des Pinnies qui is (l':lix. Gandhi, f. 33i.