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S-. Nui Jughius, liferu. C. Biui.. Pin. Tor,,ni. Insl. K. Herb. 5Si. DVIIAM
V ' f t Inst. TOURNEF. Insl. l\. Hurb. 58i. DUIIAM.
so, erecto; ( fructu tenero aut penluro. )
.ni. 3. piig. 5i. Il", g.
Kiivcr bîC-re, ipii il,nne ses beii, il.ns fois I',,,,.
J. IV„A- Juglm„,f„,au mtim,. C. II.,CH. Pin. 4 , , . TorasBE. les,. B. Ilcib. 58,. l)CI
Arb. vol. ». p.g. à„. „ . , ,i.
.;„g/»,u rrgiu, ,c;;,li,m. Dcrosr. CaOïl. lion. Paris. „ , . . a„o.
Sojcr .i fr„i,s larJifs, ou . T o r e Je la S,.Jean.
C. - W Jugl,,,,,, fruclu minium. I!,c„.,s. H. Heg. Uomf. Doiu,,. Arb. vol. 2. pag.
,1-. 7. Too.str. Ii„i. II. IlcrI,. 38,.
Aoycr a petits (hiils.
». iru.r Juglun,, folii, lacimilis. lif
Aib. „,1. a. „.. 5,
Koycr à feoillc, ,Iécoii])c,s.
e. Aux JugUms, sioe régla, fruetu
II, H.™. .\rb. voL a. pag. .Ti. n". 8.
Soyer ,p,i porlc si-, frai,s r„ sri|,p,,.
L,. \ o y c r est, parmi nos a,-l,rcs frnitiers, nn ,lcs plus beaux que nous counai.ssions.
II se fa,t rcmaripicr par la liauteur ,1e sou troiir, par uue belle cime li.aice et touffue
par ses leu,lies nombreuses, ,run vert agr,v,ble, et qu, pro,Inise„t un bel ombrage'.
Son eeoree c.st It.sse ,lans les jeunes arbres, i^jiaisse et gercie clans les ,>lus vicu.v 'les
,-amc.a„v s.mt cvlin.lriip.cs, trJ.s.glaWs, <le couleur v i c l à l r e ou ceu.béc ; les feuilli,
alternes, pétiole,-s, ailées, couiposeVs de s,.pt i, neuf folioles, quelquefois cinq et
m,.nic trois, ovales, laiic,W,=cs, sessiles, oppos,ies, glabres ii leurs ,le,ls faces, t k
utiercs raiTuiem un peu ,le„ticulecs, aiguës, pre.sque aeuminces ir lenr soimnct;
,^spetl,, csconiprnn,,, legei ciiicutansulciiî; 1 , , b,,,irgc„ns c<,urts, obtiis.pnbescens,
h u i i ô n t l s "" Parallacs,
Lcs flcurs .sont monoïques, situi-es ,l,ms l'ai.ssclle ,les feuilles; les Ileuc.s mjiles
• .sposees en cbatons siniples épais, cyli,„lri,p,cs, ver,litres, peu,lans. solitaires ou
eunis plusieurs ensemb c; cbaq.ie fleur comenant environ quin.e étamines. I.es
fleurs Icmell,.s sont asilaires i, Pcstrémité ,les raun-auv, réunies <Ie,ix ou trois
,-nseiuble, meiboerenient peiloueulécs.- ,.llcs pro,luisent ,les ,lrnpos géminés ou
ternes, ra.T,,,ent solitaires, globuleux, tré.s-lissi-s, enveloppés ,rm, brou ferme,
épais, ,Iuue belle couleur verte, ipii brunit cn , icilli.ssaut : la noix est composée
de lieux coques ligneuses, ri,l,xs ir.xgulii.re.ncut, aigiuL, a leur sommet, 0001™,«
une a„ra„,le .lune ebaic blancbc et ferme, ,livis,.e .H sa base en quatre loi.es sépariss
par . es ,lcm,-cl„isons nicnibeaneuses. Ces Iruit, varient ilans lenr forme, leurs
qualités et leurs grosseurs, c, vari,«». ainsi ,p,e nous allons Pexpose;.
I .es f oyers , anent peu ,lan, leur port et ,lans la forme ,1e leurs feuillesi i„ia„moius
l o u r n e I o n et Dubamel „te,11, il après lliincanbne. une variété très-remarquable 'î
leu,lies ileeoupees ,pie |e ue comuiis point, et ,lont fort peu ,rai,teurs ont parlé depuis
ces prem,ers : elle est ,1 autant plus cu,-ieusc ,pie les folioles ,lu -\over sont e n t i i es
rarenu-nt ,leuticulé,, ilnue nu.uièrc sensible; b-s va,iét,is suiv.an'tcs ont bien plus
dmteret, eta.u rcl.uives à la g,,,.,seur et à la ,p,alité ,Ies uoiv, ,I après l^quellés le
eultnateur don se ,l,Vi,ler pour le eboix ,Ies indivi.bis ii cultiver di pr,1é,4,ce aux
autres. '
I.a p,.,
iriple ,1e,
nioii
fait ,pi
along,TS. I.
dite ,1,. Jauge, offie des f,aiits ifiiiie gros
,mmunes, approebant quclipiefois il'uu ,euf ,1e poule il'hule, mal.;
desséebaut leu " '
sout point ,1e j
'ii r
f î t i l l i i i i ^ ' - . i t t - i f ï î î i i t t V H i l a ï V Î Y Î i ï ï h ^ r t i ; i ï t i M Î 1 i î ' î f H i s n
NO Y EH. tfj
=lc,vcs ctcroisscijt plus promptenient
J U G L A N S .
indiTÏdns (pii les produisent sont enir<;néi
<pie los autres; le liois n'a pointautànt de durcie <pic celui du No'yer commtm; K.
feuilles sont plus amples, el si l'on ne eberchait que la beauté de l'ombrage, cette
variété serait à préférer pour la culture.
La seconde variété la Noix Mésange, ainsi nommée, parce «jne son écaille est
si tendre que les Mt-sanges peuvent aisément la percer à coups de bec, et qu'elles
se nourrissent do l'amande dont ccs petits oiseaux .sont Irès-friands. Ces fruits sont
de forme oblongue, bien pleins, plus délicats (pic ceux du Noyer commun, et se
conservent plus long-tems : ils foiirnis.sent une plus grande quantité d'huile. Celle
variété csl la plus rcchcrcbée, quoique lu moins féconde. M. Traltinik, botaniste
allemand, dit avoir vu un individu dn Juglam /vf^çt«, qui ne donnait jamais de
des, et qui porUit tou chatons s les ans une grande quantité de noix à coque
tendre.
La tro
Angle usi
en Pr.>v(
difficile i
t'ariéléy. que l'on nomme vulgairement Noix Anguleuse on Noix
;M[nelqties-uus apjièlenl au.ssi Noix bocage ou bocagère ( Estrechano
livanUiaridel ) tire ce nom der(:j)aisseurctde la dureté de sa coque,
; elle renferme nne amande dont les ]ol)es sont enfoncés dans les
et qui
çal, SI
caviK^s des ('caille,s; on l'eu extrait avec peine. Quoiqne celte .sorte de noix soit peu
esluiice, iK^anmoins l'arbre qui la j)ro(hiit mérite d'être eullivé à cause de son bois
plus (hir, plus fort et plus agréablement veiné que celui des antres espèces. « Je
conseillerais, dit M. Dclaunay, de planter ccs noix de préférence; on eu grefferait
lo plant, et alors on obtiendrait à-la-fois abondance de bons fruits el qualité (lu bois
Mais si cet arbre n'est qu'une variété dn Noyer comnum, serait-on assuré dc l'obtenir
avec los (jualités qui le rendent iwommcndablo? C'est une (picstion que je soumets
-iiltivatcxirs que l'expérience peut avoir éclairés.
Quant à la (]ualrienie \ariete d. je
ent particulier sur la sim
letix fois l'aimée. Pline c
Italie dans les campagnes
environs tl'Aix, dit que c
des friiius
observée •
plaiitt-s dt
l'e.spèce de noix que l'o
nomiuer niux proecox;
l'anmie. 11 est possible i
et donnant des l'ruits f
j>ar consi'qucnl ilans une
La ciiKjuième variété
le la connais pas, et je n
alière propriété qu'on It
1 fait mention, et l i en
duPadoiian. Garidel, d.
;'t arbre v est assez cimin,
altcmion toute ])artieulière, sur-tout d;
Ce >ioyer ne pousse dc feuilles qu'au ui
li iMi obtenir aucun
i attribue de porter
Lolaus a.ssure l'avoir
lis .sou Histoire des
l u , et qu'il fournit
_ de en Provent^al nouslent]it. qu po
lis il ne dit pas qne cet arbre donne des Iriuts deux f
nmioins que les lleurs se montrant de très-l)onne beure,
ifs, d'autres lleurs se montrent plus tard, et fructifient
;ùson plus avancée,
dite Aoix tie la Saint-Jean; Noyer tai-dif, mérite une
les contiH'cs sujètes à des gelées tardives,
juin, et ne lleurit que ve
'abri des
scjue
froids du pn
tems (juc les
m guère l e s ,
: ses fri
; il arri
lis que
la Saintniirisseut
assez
issi qu'ils sout
la lin du mois
petits fritits. Kl le pa
•eux du Nover comm'
iosité. J'i"nore si son
•ait peu importante; ses
n, i;lob>ileux, arrondis:
bois a ([uelquc qualité
nantité de fruits. On le