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M E S M U I S . NÉFLIER. ,55
cmq , l „ „ , „ „ . , c„„rte.,, aiguës; la corullo es, blaucl.c, odor.autc; les ,„=,ales arron.lis,
uu peu eoueave, ; les autheres rougeàtres, h deux lobes ; les suies yaiient d'un i, trois •
oe m e w ê L u - i s ™ " ' ^ " ' ' ' eeufertuaut d'uue h trois
eotumû'f '""S ••«s M e s . Il est fort
La douee odeur qu'exbaleut les lieu,-s ,Ie l'Aube-Éplue, a fixé uos regards sur eet ar
bnsseau, et uous a fait oublier ses ,Tiues. Noos avous eherehé à le ra.mroeher ,1e uos
I.al,„at,„us : u,,„s loi avous ,lo„,„i des soius pa,.,ie„l,e, s, et uous so„!,!,es parveuus i
eu ob e „ , r , es lleurs doubles , e'e.t la variété Daus eertalus ludivldus ces lieu,-s sout
Wancbes; ,laus daotres elles sout teintes ,fnne I,igére eonlenr ,1e rose; ees lleurs
renu,es en bouquets no.ubreux, „ l i e n t , au u.ols ,1e n.ai, un trésd.el aspeet, et on^
m r te a I A,d,e-Lp,ne nnepla.-e dans uos bos,|nets ,1e pri„ten,s : nous avo.ls aoLsi probte
de ses ep,ues pour la,re respecter nos propriétés par,le boouesbaics, plus propres
,,,, aucun antre a cet usage par ses ra.ueaux entrelaces. Couune il soutH-e , r é s ' b l eu la
ta,lie, d est f a d e de re„n,r, à l'avantage d.-s clùtn.cs, l'agcémcnt du coop-d',ell On
peut, a cbaqne ,bs,a„ee ,1e , p , i „ . e ou dix-bult pieds, suivant l'étcu.lue de la baie
bosser „ „ „ , , „ tn,e uge ,l,„,te, former i, son som.net nue tète a. rondle que l'on
a,lie an c,sea„. On pceC-.-e pour les baies les variétés i, plus pet,tes feuilles, p L e que
Cu-s brancbes cro,ssen, toitjoors plus serrées et ,,b,s rapprocl,ées les ,mes ,lcs aut, es
L ne ,1e ces varretes a petites feuilles croit ,bn,s oos bois ; elle s'élève peu, el ses feuilles
n ont ordinairement que trois lobes simples. On en cnltivc au Jartlin des Plantes une
autre variété v. i flenrs rougeitces, cmunc sous le nom <4, Ma/,on
L c s b uus ,lcl'A,die-Epiue sontastringens ; ils outétéreconimandéscontreiadissenterie,
ct employes qociqoefeis avec succès dans les affections catarrafes des teins ct de
la vessie pour rétablir le libre cours des urines. Les culiins se nourrissent souvent ,1e
ees Irnns qu, n'ont rien ,1c dinigerenx ; il sont ren,plis d'une pulpe molle, un peu élu
tnieuse, ,louce,-,lre, astringente. On peut donner les feuilles aux vacbes ani ebé,
et aux ,nouions. On peut multiplier par graines ceux de ccs arln i.sscaux <pii sont à
lleurs simples on les grelfersurl'Aube-Lpinesanvage;maisilfautabsol„mcnt greffer
ceux a fleurs doubles. ®
„ Les Aube-Épins sont des arbrlsseaox très-agréables dans le mois de mal tems au
» quel Us ,»nt en flenrs ; plusieurs <le ces espcc'es rép.iudent une odeur <ics pins -rà-
» cienses. (>,, poiu-ra, pour cette raison, en „,ettre daus les bosquets du printeans
» sur-tout 1 Aube-Lpin a fleurs doubles, qui est cl,armant dans le tems ,1e sa fleur '
» Comme les Atdic-lipins ont ,Ie grandes chines, et qu'ils souffrent fe croissant et
» le ciseau, ou en fait d cxcellcntcs baies qni sout Iri-s-jolics qoaod ou a soin de les
» wxdre. Nons avonsdesAubc-Epinsdontlcsflcn sn'ontaueimeoileur; leurs feuilles
» sonl un peu plus brillantes ,[ne cclb-s d,-s autres ». Dun ijinL,
i5, MESPILLS h-vigata, NÉFLIER bistré.
M. ƒ„ƒ,„ oc«,,. ,(c«„„',, ,„'«,„;.,. R. r,„i|fc, J
oU„„s:Jlo„l,u,„rj„,bosU, g-faS,.,-,,, Ic„r s,),,,,,,«; le, lobes obi,,,; fl,.„rs "labre,
e„ co, vn,b,.; Jeux „vie,.
JlhIsPILL S fcc'ç,»,. MU ,le„„.„s, „pi„ ,ribh,ti,: Clk; f,;,c„„,m glabro, ,lisp„„o
Po,n. hoccl. ISoiaii. vol. pag. .'i'!,,. /""'o.
A„ ( ovjacauibolJc, ) , gl,.l,er,:,„a ; faliis „,b,-o„,ado-ovalil„u, basi
acaas, brpvaer tr, spi, iji,t„qaehb,s; lobis rataatlalis. Paeu.L Flor Paris Edi,
pag. et JACQ. Flor. Ausir. vol. .1. lab. a,,a, fig. J, . a.
Celte espj-ce a le port dn Kéllicr-Aubépine : clic s'en distingue par ses feuilles plus
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