i i 8 A M Y G D A L U S.
ite d attei e Ja part de ia gelée et des animaux deslrucleu
doit piqi
des amandes germ,
suite il faut saisir 1
se sont alongés : pl
ou peut mettre absol
de janvier, et en févi
sonl moins àprcs et les arbres pl
A l'égard <lc la (pi.abté des ü
A M A N D I E R .
; plants Oii ne doit pas dissi
'.s n'est pas sans inconvénient
point de germination , pour
s ils sont longs, plus d y a d e
lument les amandes en terre
dans les pays chauds, cr
printamhers . . . .
audes qu'on veut plante
,]usqv
d c r q i
d'abord elle eu
le pas endorau)
iM,ue,l»„s I cr
ans autre fa(,-on
ïutomuf dans f
'au printems qu'on
c la iraiisplantalion
raine des soins, en-
;)gcrles germes qui
reprise. Cependaut
, sur la fm du mois
s pays où les hivers
dies qui sont ohs.
lemorks amande.,
•ein qui puisse l
it une pépinière d'o
aux dures, celles à co<iue bhuicht
amères . . . . Soit qu'on .se détcrnhi
ravaut, il est à-propos de choisir ni
eu proviendra, à moins que c
h l 'Amandie Il ceux q
neux, graveleux, caillouteux, grouètcuj
aient pourtant du fond. La fécondité de
terre ; et quoiqu'un terrein scc el pierreux p
même, il sulOt pourtant à l'Amandier, si 1
reste. C'est à l'art autant q " '
, pi.
i arl:
Les icrreiiis les phis propr
u ' à l a n n l u r e àd
ingrats pour des arb
ne homiètc subsist;
s'y étendent (ju'avcc proj
jcs nécessaires pour proc
c l'Amandier p.nnpe dai
parait même eu tirer dt
» Daus ces terrcius
vide, trouve encore i
justes bornes; elles ne
cju'avcc économie les s
» La nourriture qi
obtenir de la terre ; i.
persistent si long-teni^
» L'exposition doit concourir avec le sol ii
cela que le soleUlc viviJie ct le frappe eu plein,
vents ne l'eudommagont pas lorsqu'il est en fli
climat de Provence : les vents du nord et ceux
et y sont souvent furieux : ils y rendent mèn
encore de grandes variétés daus la tempérât
)' 11 n'est pas surprenant que la fin de 11;
venLs, comme l'automne est celle des plu
inégalité, l'espérance des jardiniers et <hi cultivaicur
» P o u r ce qui est de la
il n'y a qu'une bonne exjvais
effets. O n jilauiera le
couce, dans des plaines,
jamais dans un bas fond ii
du simple coup-d'ccd del
par l'exemple et les préceptt
préférera les le
, ct fou rejette
, ou .Mes faire germer
ijours convenir k l'arbi
DU doit les transplantei
;cs, légci
•uxcléchaunés parle soled
drcs
I les
.ipaqui
sablonsqui
I! 1.1
res dépend néces.sairemcnt de ccll
laisse devoir être peu substantitd par 1
labour et quelques amendci
icr la fécondité ii la lerre.
plus gourmands, fAmamlier, quoiq
e : ses racines y sont contenues dan-
IS font le
de
!t mesure ; elles n'y prennent
arbre une sage fécondité,
supplée à celle qu'il ne peut
secours, puisque ses feuilles
endrc l Ai
ilfaulaus,«
urs. C'est i
: d u n o r d -o
les hivers li
re de l'air,
or on le pri
iandier fertile ; il fat l pour
I faire cnsorte que les g
ur-tout il quoi est exposé k
icst y régnent frtxjuemmenl
js-froids. Les vents amènent
noms, qui e.st la saison des
tera.
il appliqi
établies.
» L'Amandier ih
toujours l'arrivée t)
riiiiii
S d oe ,
osition qui puis,
î Amaudicrs au
sur das hauteur,
i , l a u , , l c s l i , - u x]
arhre. Aprt'S tou
x q .
sujets à ;ulever, par lei
auquel d est diiïicile de parer :
n partie nos arbres de ses maumidi,
ut et au
1 poncî.
ides, si
: cultiva
, . J, ,..v;pnru.„
d son propre fond, l'aspect du soleil et
on avenues ou en quiuaut
(func colline, ou isolés, et
l'on est plus jaloux du fruit que
Leur doit moins se lai.sscr guider
qjo'rioucc parLiculièro. Il consul-
•limaloùilsoLrouve, auxquels
tldl ice les règles les plus confbrm,
Iles qu,
•rfle
irit su
print,
illir dn
il comn
du solstice d'hiver ou 1
JIOU d'ohso
iprcsse d'être le j
ions éparses (juc
anguetloc cl en l'r
n.lôl aj ; il n'attonrl pa
à fatmonccr. De o
si'ii't, f " saiL qu,
depuis la nii-janvie
A M Y G D A L Ü S .
A M A i \ D I E R .
sans nuin, à la d^^eZvaZ l Zh , ' " ' j lajhraison,
Dans le •„eutoire q,,e „ t , , s <ks ré„Uesct a la tfa ƒ , , „ « . .
à noyau plus tardifs,
retarder sa floraison,
mais l'arbre n'y perd:
«LcsabrisetlesexT;
Onpr.Tereroxpositio
c'est colle qui convie
arbres se font le mioi
semble dans s
variété étoim;
agréable provi
saison : la dire
.jmn
etpa
ait-d pr
:).sitions
ilmeotiers et jiruuiers, pourraient le morigi:_„
iseqiicutlni épargner unepartie desgeléesdii,
Je , „ e persuade que la greffe de l'Arnaud,er sur des plauts étraugers ou des arh,.,-.
s fruit
lats tompér
qui sont ici in,
dans des rogio
très-ddforeuK
a Onpourr
dul
eut le i
ux ,laus les e
s uioutagues, ,lans s,.s p L , .
ite pour la température du eh;
lee, 0,1 éprouve eu quelques jou
,tiou de,
ommod
-, lui faire
du cote de la dur.ie et ,1e la quijité dn fruit '
••cherchées influent beaueoup sur la veriiation des a,-bres
itdausle,paTs<-hauds,e„mmelaProvenee,ete„générai
Après cdleJà, c'est au midi que les
•s et les p a j s froids. La Pi-ovenec ras-
,r SCS rivages et ses côtes de mer, uue
>d et ,lu froid. En parcourant cette
. , S pour ainsi dire, imeliangei
jpere principalement ces mutations. Ces m,-TU,..
lisibles, ne le sont pas ailleurs. On obs
îutdo
IS doignecs, quoiqu'il la même latitude, la tenipér
ccqui,lepcndprincipalcmcnt,lcl'action<lcsvcnlsel,
itpeut-ètre parvenir iitronverle pointeonvenablep,
raison de l'AmamI
teurs ilii jardin.age
, en variant son exposilion. C'est nue diosc as-
" manquent pas de mettre en usage, qu'une me
- ililleremment d,ms un même jaialiu, selon les différentes cvn
plante les arbres tout étant d'ailleurs égal pour la culture ct p ^ n î'
noue mieux „ „ h uit, tandis qu'un autre coule; tel est plus hàtif c
.eve reste plus long-tcms ii se mettre eu jeu ,1
, larjlm, comme daus ceux qni sont plantés en te
isi d i e semble y subsister ipidque tems ,1e plus c
, la dudenr est un des principaux moteurs de la
ms le
aussi, j e I , _
cette chaleur active. P.
im nord, i
leur fertil
hâter ou rctariler la lloraison ,1c l'Amanilier,,
lenqile, des arbres plantés dans un' I
des forles gelées, pourraient ret
tout comme d'autres arbres expos,^s à l'actioi
vents et de la gelée, pourrai,-ut conserver assez
ivoir le tems ,ie nouer ct l'orlilicr leurs fruits, a
u mois ,1c mars vinssent le dét.acl,cr . . . .
d,er part.cipe ii tontes h-s saisons, il u'v a q
nér.il, la
nord d'il
ement ai
» Cmura
cn dlfct quo
u r c i c l ' a i r y c s t
cleursilirections.
ir retacler la lloirc'c
que les am.ime
Sorte de fruit
i oii l'on a
tel .arbre
lent. isn
qui sont
: reeiprori
ponrtai
précoces, e
et les vents
» L'An
f'gétation, on pourrait
, exciL.nit ou modérant
m terrein]>b,s froid on plus
ai der ce moment décisif de
, du soldi, ct g.arantis, par
long-tenis leurs fleurs trop
les gdées blanches
le d<iiouille.Pourcetleraison lepall
leplein-vcnt. Ilestde l'ait qu'un arl
que l'espalier, paiTe que le vent le seco
s'dèveiit de la teiTc ou il,.s piaules il'alc
n,,ager par dle-mèinc les arlircs quand
qui ivgne dans l'atmo.splière ou d,ms le
ages,
ait résiste
c si'clic,,
r 11 e.st V
est forte
cantqu
c la gdis
•elui.serliit n
l i a i
!.ssipc les 1
lussi ,pic
(h'pendan
qui l'engourdit et
noinsli.vorable,,„e
gcloe avec humidité
ipours humides qui
.1 gelée peut en<lommcut
de l'humidité
m