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PISTACIA. PISTACIirER, -.5
Lorsque l'on ]„•(,le le boisck, Lenùsque, il répand uue odeur aromatique t rL
ag able. „ L e Lenusque lorme un ,„1, arbre, qni ne quitte point ses feuilles pendant
,, 1 Inver, ,na,s d est trop debeat pour être n.is dans les bosquets de eette sai ou. Ou
» apporte des pays ehauds le bois du Lenti.sque , il doit être nouveau sec .lifficile i.
rompre, pesant, pomt carié, gris au dehors, blanc au dedans, d'un gotu L l r m , n t
, Comme on lu, altrdrae la propriété de fortifier les gencives on en fait d e r d u e
.1 dents, et on use de sa décoction pour les gargarismes. 11 entre comme astrin.ent
» daus plusieurs eoniposilions pharmaceutiques. ''
. L m i s ™ ' ' ' " " ' ' " ' ; ' ° " l ' P-- » l ' ^ s i o n avcc les fruits du
» lont entrer dans leurs mcdieamens ,1. DUIUMEI,. Mais le plus grand mérite dp cet
arbrisseau cstceini .le fournir cette résine, connue sous le nom d^ W „
produise cette substance il faut qn',1 croi.sse daus nu climat très" „ I t q e
I exposition lui soit favorable. La culture ai,le bc.ueoup cette opération de la na u
eest dans cet e vue que Ion cultive le Lentisque dans f i l e ,1e Seio. Cette culture ne
consiste qn a e prov.gner. On a par ee moyen beancoup de jeunes pieds vigoureux qni
fo„r,„ssentrlnsderesuicqnclesvienx;eestpourcela,,„elc.!LcntisqnesderiledèLiô
dit Tournclort ne suiitpoint ras.semble's en bosipicts ni plantés en haie, on en n Z !
conee mais qu ils sont répandus par buissciis dans les caitpagnes. On ne les laboïi e
qu en hiver ; pendant l'ete on se contente de tenir le ilcssons des arbres net".ll.erbcs
et de leuilles ahn ,p,e le mastic qui tombe i. terre en soi, plus propre. On I n t e
en Turqine, les |ennes Len.iques ,lans 1, mois de novembre. Ils flLrLeut en avril
On leur faitdes mcisions au mois de juin. L a résineeoule ordinairement jusqu'il terre ^
mais 11 s en condense en larmes sur les branches : eette dernière est plu estimée „ é
l a u « . Ou commence a ramas.ser cette résine vers la fin de jnill t. Cette récohe
purs do moi daoot; le mastic continue i, co.dcr jusqu'i, la fin de l'automne On le
ramasse tous les huit,ours, et après ee tems la récolte n'en est plus permise.
P<»>rq'>»l"»oltesoitbonne,dfamq„cletcmssoitsecctserein;earsilaterr e vient
a e^e detrempee par la p l u i e , elle couvre les hirntcs ct les perd. . On passe l é m a 2
.. d=»">»tam,sclan-,p,,urens,pa,erl,.sor<hires,laph,s6.;mdep.rtiedecettcréc„ltê
. » r t a p a j e r l c t n b u t a u G r a n d - S e i g n e u r . L e m a s t i c l o i l S t r e p a r p e t i t s g r a m s cl.i
» transparens, Imsans, d'uu blanc jaunâtre, .l'une odeur a g r . M e „. D e n i s t k Les
Lentisques qu, croi.sscnt en France, même ceux que j'ai observés en B.arbari; ne
doimentpomtde resme,n, naturellement, ni même par incision. On n'en obtieutque
de la variété a plus grandes folioles. '
« On emploie inténenrement le mastiepour fortifier l'estomac, arrêter les diarrhées
a et les vomissemcns. Il entre dans plusieurs baumes ct emplâtres; on l'étcnd sur
.1 un morceau .le talletas, et .,n l'applique sur la tempe pour calmer les douleurs de
. d lits, et comme ,1 se ihssont ais,.ment, il peut entrer dans la composition de
. plusieurs vernis Les Turcs et les dames dn sérail en mâchent presque L t i n n e l l e -
' .Tcnî^r D M " M E L " " ' • "
4. P I S T A C I . i Atlantica. PlSTACIIIEIl Atlantique.
P./»;™ i c c i J , , . ƒ „ ; , • „ ; ; , ,„„. p. ,1 faille. c.,l„.|i,„, . i l f e .vec «ae i»,p,ir=.
Nous sommes redevables il M. Desfontaines de la découverte ,1e ce grand et bel
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