La couleur est uniforme ffi&.la ^ 3 et lp ventre, et, il y a le lpng
des flancs une petite bande verijç, Il y a trente-sept rangées d’éqaijles
entre l'ouïe et la caudale.
La longueur de l’individu est de trois pouces.
Le Barbeau dqr$.
-'[Barbus deauratus, nob.)
Nous ayons reçu de la Gochinçhiiie un barbeau
à quatre barbillons, dont lé museau est obtus; la tête, lisse et
Charnue, et qui ressemble à quelques égapds à une carpe;.le rayon
de la dorsale est grêle, lisse; la. ddrsaie est pointue. Il en est de
même de l’anale et des lobes de la caudale.
D . 3 / 8 ; A-. ''2 / 5 / ;e tc . -
lies écaillés sont de moyenne grandeur ; il y en a vingt-neuf le
long du. «ôté. Jba coriénr est tout-à-fâit celle de nos carpes. JIn
vert rembruni sur le dos; jles écailles bordées de plus foncé, céqui
rend lecorps réticulé. Le ventre a des.teintes orangées, et~Ie,tout
a'des" reflets dorés, qui doivént rendrejçë poisson très-brillant
pendant sa vie. La caüdàïe, la dorsale- etd’InCfa^ônt du'nqnatce';
— les autres nageoires, sont bla'n'cjïès.
Ge barbeau vient,. <|é- Cochinchine1 : it. -ést lon^’.de
quatre pouces et demi.
L e B arbeau goujon^ier,
(Barbas; g ob io n id e s ,uob.|fféi
IVf. Jules Verreaux a rapporté du cap de Bonne-Espérance
un petit poisson j ayant;
quatre barbillons; le corps arrondi; le profil supérieur rectiligne;
l’inférieur assez soutenu; la tête courte; le museau obtus; l’oeil,petit;
chap. î l b a iibêAüx: 44 5
les écailles granulées, dé médiocre grandeur : vingt-sis à trente le
lôtig du côté. Les lobes de la Caudale arrondis, peu fourchus; les
autrés nageoires petites et rondes; le rayoii de la dorsale lissé, si
grêle qué le poisson serait un vrai goujon s’il ti’àvait que deux
barbilJôns.
D. 2/8; A. 2/8; C* 20; P. 12; V. 7 ., t
La couleur est' un vert rembruni pointillé de noir. Le dessous
du ventre est blanchâtre.
La longueur de de' petit poisson, que |e ne.Vep’onnais
que par Ve seul exemplaire desséché, ;est de-quatre pouces.
Ge n’e'st peut-être pas un barbeau, malgré ses quatre barbillons.'
I
L e B arbeau tambra.
(Barbus tambra-, npb.pW/
J ’ai d’e ssin éiL ey d ëy en 1824, un grand cyprin dtesséché
f e p s g o ^ â ^ ^ e r t de grandes écailles,.dpnt le profil peu
§f§leyé monte jusqu’à là dorsale. La hautelu’ fait le quart de ia
longueur totale ; les quatre barbillons S’ont lôtogà : ils Vont toucher
à l;oeif,-1f^a-ÿOÜ épihëux de la dorsale, fort et lissé, n’a pas de
dentelures; la dôrâale;"pointue de l’av&fit, a le bord édhaheré■ l’os
de l’êpaule, affëiidi, soutient une pectorale pointue. La ventrale est
médidferèf ïanalè est airoftdîe; la Uahdahhest’ fourchue, se's deux
Tobes *ébnL ordinairement poifitus. Cependant sur le grand'individu
de Leyde le lobe mféîiéür'de la caUdale’est tronqué et arrondi et
ce n’est pas l’effet d’tyne cassure- accidentelle.
D. 3/8&OA. 2/5 ;'G. 20; P. 18; y. 9.
fLa ligne latérale, presque cfrottè,’ passe .par le milieu- du ,'corps.
Les écailles, très-grandes et minces, ont les bôrds membraneux et
le disque Couverts de' âtfiés fines ôfldulées et anàsfdknosées. J’en
compté vingt-deux dans la longueur et sept dans la hauteur.