formes, et il y â unetelle ressemblance dans lef couleurs,
puisqu’il lui donne un- OU
dos Vert ; le vëntrfe argeütiéf le milieu u& chaque eètulëi : es t' dai^;
les yeux et les nageoires sont rougeâtres; HifeHFêxcepte cependant
la dôrsâlffjJ«
que je ne douté pas. de l’identite du rapprSohement. Il
regarde3le çjçprinus rçhita comme supjariçjir en goût a là
carpe, parce,qu’il est.,npn^se^eméltt^dupç^pssij.jfo^ile
digestion, mars qutàdes gopt -do. la ,chair .des 'muscl,ie§.vab-
dominaux est infiniment plus savoureux? qt plus-délipat.
Il abonde dans- les .eaux'dou'é'les de’ la’, p-roi^nce^u
Gange* e t: du royaume d’Ava. Gn le multiplie ;‘awc grand
soin dans tous les maraig dëjjçës contrées, parce qu’il y :est
un poisson trp§-.es;titn.é^.
M. Buchanan .jcî’qit
lesqalus petitçsitti#y§s« dont'de» cours-est plus. rapide.?
Le rohrtk'jattèint f#ëquemmen# à<'trois prêÔSPdo iong,
et il ést d’une belle forme.
M. J. M’clelland a yu^ac^i le-rphita dans l’Âssam Êet
ce ’ qu’il dit ^açcojd^e^^anssL l avec les observ|tiohs de
M. Buchanan. Il «croit l’espèce,’ rare damnes provinces
du nord-ouest, quoiqu’on pourrait;/la faire propager
daùs tou te lles plaines de l’Inde : il la regardç, d’ailleurs,
cpnime très-voisine du cjprimis calbpsu.
L e R oKITE KALBOSp. il
- {Rohita calbosuLjpr !êüt ilôùu, Ham. Buch.)
à- LeéqyprinÆgurépL*11 /^fig. 8%ristr*eàcore uno espèce
de cette division y car il ayr comme les autresi, ks lèvres
frangées , puisque dans ’sa^araetérfetiquerM. Bucbananidit :
labiis serratis: (Hit auteur dit q^e^e kalbosu a- une? grande
affinité av^ ljèjbarbea.p commun, mais qu’il a I^e corps plus
epajs^
La hauteur du *corps ést trëis fois et demie dans'Ba longueur
f totale; la, tgte, obtuse^et,petite,,jmanque de pçres et de tuberciffés
« sur, fescpjëls'éàux’ÿcr’sûnt p'ercés. ff)es quatre barbillons, tes deux
maXillâiëeS Sum lés ’-pluSvcoétts. vLfe prOfif^lît^lios ést^cmivêxe,
celui du ventre presque’droit. Lâ d'étsiite ^dbùx fa^bns* simples^
les pectorales * son t plus courtes» qué la * t ète p le£*v£bt rMSs^he' sôét
n guère »plus grandes -que»les ndg^oirersude!da .poitrine. »Les?deux
lobestîde ta caudale sont obtU^i*
^d. îeif igri/v.'b.
Le^corps est couvert d’écailles grandes/ solides, adhérentes,
pointillées, et i l n’y enfa pas de remarquable' dans l’aisselle de la
ventrale. La lign£dàtéralê''SuîÉ; 'pâr Une courbure“ 4e ba^- du véntre;'
la'Uouleur-'gënërâle e§ï un olive foncé ,^gfôlté*â-afgent yet passant au
jaune; sur' le ventre»,* où les écailles ; sont couvertes de points noirs.
Oie kalbosü nst très-.commun dans lés rrvi&W^et les
maraig du Bengale*, et, on lé trouve .atlÉi ckns ffeg provinces
dh l’auest. 'Sa longueur' djdinairë est ü’un pied et
demi ; îùaisÿon im voit quelquefois: d’iihe taille ’double.
Sa chair est estimai** quoiqu’elle4, "soit remplie ^arêtes.
ï)ans quelques*“éudroits, Vorfime1 VMm^gér, Sii l’eau' est
claire, sur un fond dé sable pur ou de rocliés/ïes'ecaïïfés
prennent sur leL côtés utae teinte ferrugineuse-, :et -on
«considère dans le pays-Ces poissons-Ôomme d’uner.^n^3e
particulière3 /kjreçpiyent meme, uu nom différent, .celui
de kundhana ; mais M. Buchanan ne douté pâs que la
différence dei*c€fforatioo he|^nyéj|| dess câtises»pprement
•aceiderfüelles; üsl ..." N *
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