76 LIVREiXmilI: GYP.MSQÏDES.
La ligne; du .^fqs monte lentement au-.delà de la nuqueçm Q.e
profil e§t .assez soutenu,.La dorsale. §.’él,èy;e. sur la ,seconde moitié
de la longueur du tronc. Je ne compte que deux petits rayçms
avant l’épine déntel^e/en arrière. ,11 y en .a^aussi deux au-devant du
grand ràybü de l’anale ; mais le premier est excessivement petit.
La caudale est'- du cinquième * de - la lôngüéiir ‘tfitale.' Lb*péctorale
est courte ; .mais elleiëattântt&mçorelà la naissance de là ventrale :
toutes deux|sont: du ; sixième, de la. longueur, d'ut corps, j
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Il y a vingt-six .rangées .d’éqaille^le long de? flancs, et douze
sur la hauteur. Elles sont de moyenne grandeur, finement striées
et Formées dejcouches concentriques^superposées,. avec huit rayon^
à Fprçntau. *
La ctyùlêur générale de cfe poisson ; bien connu dé tout lèrtnoïide,
èst un roùgfe*Vermillon àvreflets dorés',’ qui' devient lirqüedquéFcjîs' ïôsë
tendre, surtout quand ,1e corps est glacé d’argent. D/autres dUdi'èiduS
sont blancs j‘ dfautres jsQn,t ,vèrdât,resi comme nos carpes. Il y&en’
a,.de-marbr.és; par de gràndçs taches rouges et jbkncbes;' d’^i>^^ ont
des marbrures, rougejsmtinoires, ou- quelquefois .le r.ouge^est rem-
pkcé par du blanc.,. Chez, d’autyes le .vert est.lgjfond de la-teinte s
ceux-ci sont moins sujèts à variér; çepehdam u^ndir^ÿ,,mele
quelquefois pa* gràttdés
LésiviséSfesif'èssêmblent, ëSTgéneVal | b ceux de la’carpe'; lçtaéfeal
intestinal et le foie étant très-semblables. La tésieüle'id,u‘*.fiel mi*
paraît cependant plus-grosse;,;la première vessie “aériennebesi plus
courte, - ee qui dahrend plus globuleuse; Je canal pheumatôpbôre
est plus court ethplus grêle. I1
. Je trôùÿév en-’étudiah^fcmtline, un: très-petit .suïiorBitaire, un
interphriëtal phMSvanOé sur le crâne, des -occipitaux latéraux - sans
'aucune: apophyse ;* les trous de l’aTrière du" ;pi'âne>jpliîs* •eéâr-tês ;■ la
crête^înterpâriétâle plus , basse ?en arriéré ; "l-apc»physe'répiriense‘,de
la seètfiele^ vertébré ^ lama plhs-étroite^ oell&'dé la tvoisiênaè , plus
basse ét plus: petite?; d’apophyse transversê- de* la secondé Veïièbfe
plus grêle et plus arquée; celle de la troisième plus dirigée en avant;
ttrsàslamés fefêiiétiPés.^n^ë^ofeesreï'.pld^petWesj'Fosselet de Webber
: ; eshpl^sfcourt,'ainsi que rapopbysë.dù basilaire,'dont la fossette est
plus oblongue. Il y a trente vertèbres, dont quinze portent des
• ■ çqtesjet douze .sont pour la- queue. - j
’ Gfe^dèrades’atteignent às-huit'êt m êm e ^ d ix ’pouces,
et je trbu^èf^Mfri lesrapport' deS missfôfrhàires efi’:Chibe*,
que darts le-jardin de femph'rètir b rieh conserve qui ont
lin pied? îf%n -pieW'et demi' et même plus j riiais' on n’en
â^jlcmMs^vii âëTOttë taille en Europe. Elles ne supportent
pas le froid démbs hivers daüs des' BassMê'peu prôfondsÿ
mâil^êirè’s^iqffi,,b 1 ^ ^ fà ’é'à en liberté dans de gràridâ-'etarigs,
rië'j^érissènt' que p ar tin très-grand froid/ ‘ÊlFèsVfraiént eii
abdfidaM^ au mois1 d’AVrff et ’dé'-Mai : elles la isse n t %ssez
vit et b!*
Quelques pêrsonii## qui 'élèvent lin grand nombre '*de
cès"*pbi^bris, m’ont *a§gtirél-'qulls ¥fâisJéïit rotiges;, quafnd
ils sofrf uniformément’d^cëLte^GÔuleur 5 que’ la teinte èst
meiné'plus vive que celle des adültes/et qu’en généfal leur
lluleur; d’ab'qrd viVl et laqtTéê,' pas^è insensiblement au
î%^é?vermillon quand le-poisson, deVénüriplus 'grànd,
prend sesteintés^ dotées5.- Mais-comme? Æës? animaux sont
sujets! à dê-nombréiîses-*variations de couleur; >dans- leur
étàL adulte^ on voit aussi quelquefois’ desAndividus qui
perdent? lêS’ tachés de leur > jeunèsse eh 5 jfî&rfdissant! ou
d’autres qüi ’en prennent po%fpdssêf7pàr exemple, au nbir
ô% àji blanc.
Dans' lès ’vivièfis p%,rdbs^rv^^âêa^ot^ôn¥ ïonges'- ayant
a Apeiùe uhVpbiïçé^db longueur ^qpSi-a - dire ^ ehèbre très-
près de Fétat dè frai. Toutefois il parait que 'dans les pre-
mièrès années!'ce‘ sônt de véritables petits protées^'et que
leur 'couleur ne devient fixe qu’à ï âge de trois ou quatre