1 5 0 LIVRE XVIIIt CYPRINOÏDES.
La portion visible des écailles est hexagonale : on en compte
vingt-sept le long ..4fc la ligne latérale, i^Àsept dans Ifch&Rteur.
Dans le haut Assam ils atteignent à deux pieds et demi,
et on les nomme Bokar. C’est dans'les plaines basses de
l’Inde qu’ils deviendraient aussi grands que le dit Buchanan.
L e Barbeau^ qr. 1
Le cyprinus tor de Buchanan i figurépar Af. J. McClelland,
pl. 39, fig. 2, esj; un barbeau à yayoh lisse,„voisin du
précédent. >
Il est comprimé et alongé; la tête, un peu, pointue, est, d§mi
ovalaire lissé, avec une saillie entre les narines.
K D. 11; L'sflé. ïè; P, 18 • V; 9. '
Les écailles sont/Ortçment adhérentes et très - gmhdes , et „ont
le bor(f|k)îiitillé j le uèssûs Brûle a’ün Beau Tert^fe** ét fë^dèfspus
^^aéhlâtfb ârgéntéj lés nàgeéWres sont éaéis tâbiiéàj-ïa #or§alééétffé^éât
pointillée. '
M. Buchanan a trouve ce poisson ‘dans la rivière lie
Mahanaiiday ou il atteint de trths a quatrq piedsl M. M’clel-
landhaussi obsérvé cette“espèce dans le psfys**d’Assaml,
ou on le homme Lobura. Il se plaît dans les eaux les*
plus claires desH grands fleuves ^ët il entre pendant la
saison chaude et sèche d^ns des afïluens. peu . profonds
pour y frayer. Dans le pays il ne croît pas au-delà de
deux pieds et demi. Comme le préèédent, il pourrait être
propagé avèc succès-jêt devenir un aliment délicat plus
répandu. L’auteur a cru devoir changer.' le nom de
Buchanan en celui dë barbus hexastichus.
chap. il barbeaux; 151
i' L e B arbeau mosal
(Barbus mosal, nab.)
est aussi un des cyprins de M. Ilamilton Buchanan, que
nous î trouvons figuré dans l’ouvrage du major-général
Hardwich, tab. 93, fig. 1, et décrit dans les Indians
cyprinidoe.
Celui-ci â'ia tête*pÉ>intuè!, oVâlë; plus étroite que le corps, lisse,
et avant, comme l’espèce précédente . un tubercule entre les yeux :
îl est seulement plus faible. '
ï)Mâ;A. 8’^G. 19 j P. l i t y.'9.
La couleur est verte et dorée en dessus, argentée en dessous;
les liâ^edires sont orângées.!j i
Ce m osai vient, de g la riyiàye Kosi, et y atteint quatre
ou cinq pieds.
M. M’clelland n’a qu’un seul individu de cette espèce,
présenté) ,à la société par M. Hodgson. Il a préféré lui
donner dans son ouvrage le nouveau nom de barbus
megalepis. La dénomination vulgaire varie entre maha-
saula eJt ’ mahaseer , et se rapporté, comme celle de
mosal, à la grandeur des écailles dont le corps est couvert.
Le B arbeau grosse tète.
I (Barbus macrocephalus, J. M., tab. 55, fig. 2.)
A ces espèces, qui existaient déjà dans Buchanan,
M. M’clelland en ajoute plusieurs qui n’étaient pas connues
avant ,lui..
L’une d’elles est remarquable par la grandeur de sa tête.