AVERTISSEMENT.
J’ai commencé dans ce v(fltime l’histoire des poissons dè la
famille nombreuse- ét utile des cyprinoïdes ; je n’ai traité
dans cette première partie que :'cfês' cyprins à barbillons.
Gëst elle qui comprend les1 éspèces Tes plus grandes et les
plus'estimées, et'celles sur lesqueilesles hommes qui vëffiîërit
encourager l’agriculturé et‘une de ses branches importantes j
doivent portedteur attention et appeler celle du Gouverne-
ifrètàt II y aurünt de grandes “jef? de fructueuses tentatives à
faire sur l’acclimatation de feès: espèces. Le barbeau'est ihdi-
.gènë de-iios ’cdntrées; la carpe n’était certainement pas* connue
dans l’Europe septentrionale du temps des Romains :
ô’ëst une des pliis précieuses acquisitions en« Ce gërire ;% c’est
vers la 'fin siècle ou le commencement du xvi.e qu’elle
à'été introduite seulement en Angleterre. Les poissons rouges
ou nos dorades'1, qui viennent, des provinces assez chaudes
Je ''l’a - Chine, É t sont naturalisées tout récemment dans nos
climats.rGet exemple nousîdonne.la preuve certaine, que si
l’on portait sesWues vers cëîgenre d’amélioration de nos eaux;
douces et -.des produits qu’elles* peuvent nous donner, oii
aurait de grands avantages ai y introduire de nouvelles espèces
de poissons d’eau douce. Les lacs de l’Inde, si abondans en