cevoir.. Je compte quarante-cinqrangées d’écailles entre'l’ouïe
et la caudale : elles sont fort lisses" et assez adhérentes. Le poisson
est décoloré; on voit du noirâtre à la pointe de l’anale, à celle
du lobe inférieur de la caudale ,et à. l'extrémité des ventrales.
La ligné latérale est tracée comme un trait délie.
Çe poisson vient de Pondichéry M. • Beschenault %e
nous a donné aucune particularité sur lui.
C’est dé tous ceux que j ’ai comparés au cyprinus
Jimbriatus celui qui s’y rapporte assez bien.pour jg.q|jvoir
être donné, ’cpmme il e$t représenté dans nette figure.
Bloch dit que son Cyprin manque de barbillons; j’ai.fait
remarquer quils sont tellement petits, quils ont pu échapper
à l’observation. Mais il faut aussi noter que la bouche
représéhtéè sur lé dééèih de Blbfch, -ésit mal "faifqf jôjlt
qu’on la comparé"a un rohite, ÎJpit qu’on prêrine^un
autre, groupe, celui des labeons, pôtir/pèint de’ comparaison,
La description des parties molles de la bouçhè
donnée par Bloch, ne peut, laisser d’incertitude.
Je ne puis; juger si la coloration du poisson desséche"
que je décris est semblable à celle de l’individu de Bloch :
cet auteur la donne violette sur le dds-étjsur léà'îîag’ërdifies,
blanchë'sbus le Ventre, le trpnéfétan^^^sérné ae points
rouges; mais la forme du corps et les"nombres de rayops
s’accordent. .
Bloch avaif recp^ce, poisson dé la côte Malabar, et le
missionnaire John l’avait accompagné /d’un dessin .e;t:.de
notes, qui apprenaient que çe poisson est connu à la côte,
ép lapgpe tamoiilejqp,s le nom JâËy Solk^ndei,r e t que
sa. ct^air, est bonne à prapger., ;
|H Le B o h iïe . • H§8Ss e l ï«é**
, Lïiqmta Hasseliii non)
C’est encore une espèce^, que Kuhl et Yan Hasselt
avaient>lcqn!fenduâ(ldai|S leuj: geùre< Labeobarhus^:, elle: a
auSèf dé raffinil^'avec"le cyprinus Jim.briatus;~Bl.‘de* l’ai
décritq<à Lèyilej'.vï
La forme générale*est celle d’un gard'on ;* le. »profil du dos afqué ;
dos:comprimé,• -ventre* plus^pais. La* hautëurhrois'^rois' et trois
quarts dans ïla longueur, et l’épaisseur deux fois et deux tierswSs
la*hauteur.-.-L’a të^j petièë, est cinq,fois et *demiej)dans la longueur;
le front,'est plat et)large;rl.’ôeii fmé4ioqrg.- La pièce postérieure du
sous-orbitaire'.étroite et longiÜë; mais rantférieü're ’est large et atteint
presque le bout du museau. Le préopercule'as’s.ez grand et arqué,
couvrant" la j'ôüé'; ! l’o percule triaugulgiréJ :lisse. ;
‘ La bouche pètite,'jpëu fendüé, ouverte'en déisous; ,les lèvj’es
très-charnues et’ra&gées : ilfiÿ’ a quafré bk'rbillons', dont cèùx$ue
la commissure ^ont ' les' plus Visibles, J
La dorsàle’'ùâk un>peu ‘etf ïtirifeÿè’ du tiers »die la longueur totale ;
elle ésc basse; mais longue': tous''ses rayons: Sont flexibles.
L’psVde- l’épaule est petit, triangulaire, mb-pointe mousse.* La
pectorale médioc re.tfpointuë.
' - M ventralçg, attachées sous le quatrième rayon de la dorsale,
Vrati?:gràhdés.‘
L’anale Commence soüs lé dernier Cdÿon de la,dorsale : elle est
rnédiobYe'.*’ -'
■ La1 qtteué ;est en croissante à Jobéè^gâùÉs^
D. 1 6 ^ 1 4 ; V-. 8V'Â. n / ' If# iiJ'‘ " fi' ' l_
La ligne latérale-droite par le milieu dmcôŸpsiXes écaillés sont
moyennes, lisses à^lçur bord,.à peine striées'àjâ‘-surlâc©,rtrente-
deux dans la longueur et neuf dans la hauteur.^ |
t Couleur générale d’un brun -verdâtre. : il paraît. qqL’il y avait
16. " .2-7-