APPENDICE AU SEIZIÈME VOLUME.
La tète, ovale, est un peu pointue et de moyenne grandeur'; la
bouche est petite et comme dans la précédente espèce, une éçhan-
çrare de la mâchoire supérieure reçoit la pointe .çle la mâchçire
iflærieure, qui est^la’plus longue des deux. Les. yeux ^ont plus
grands, convexes; la papille est‘ circulaire. La ligne* latérale .est
i basse; les écailles sont grandes , peu adhérentes et pointillées -ou
striées comme, les précédentes.
La couleur.est verte en dessus, avec beaucoup.de petites taches;
le desspus est argenté. De chaque côté sont tracées -deux j,lignes
longitudinales^ .Contiguës et faibles;-l’une doijée, l’autre, inférieure,
poinrillée, ;d§.noir. La j($udaff:' jaune;,jon bord inférieur p-fin
Le Rasbora a la plus grande ressemblance 4vgë le Dani-
koni, mais ilh$t plus grand : il vuTdans les eaux du Bengale.
La figure, pl. X I , n.6 60, montre qupuc;’est parmi les ables
que ce poisson prendra place définitive. ?
, C’est aussi dans ce groupe quë l’a placé M. M’clelland ,
qui en a fait une courte description sur deV Exemplaires
apportés du haut Assàln p‘ar M. Griffith. ‘L’estoiiïâc^fet
l’intestin,' pris ensemble, ont. à peiné plus 3é longueur
que le corps. L’estomaO jetait rempli d’insectes.
L e Cyprin musiha.
. (Cjrprinus musiha3 H, B., p. 3cp, _ru° 66, p. 353.} ^
Celui-ci «est de la division des morulius.
Le corps est comprimé, sans barbillons, treize• rayons à la
dorsale et huit à l’anale.
B. 3; D. 13; A. 19; P. 16? Y. 9.
M. Buchanan observe que çetté espèce diffère du
Morala par le manque de barbillons; mais que ceux de
celui-ci sont si petits qu’il doute que ce soit un caractère
distinctif• suffisant. Il faut savoir, si l’auteur croit qu’ils
ontspu'échapper à son observation^ à cause' de leur petitesse
; car, si le Musiha manqué réellement de ces organes,
il diffère, sans àucun dôme; (^p Morala. L’espEcé menüon-
nee dans cet article vient du (Jange près de Patna.
Le * C yprin"
•Ce (poisson, de la divisiohdes Cabdio.,
a huit rayons a la dorsale, neuf à l’anale, treize environ aux pecto—
r^les, huit à'la ventrale, t t de’ chaque côté deux lignes latérales.,
’ J:B.''3; I>r8; A. 9'^a 17; P 18? y. 8.
L^t^tffvpètjte §t Qhmsg^ lçj^S|^U(pharhn? -avancé au-delà de la.
boupj^e,, qui est petite et arquée. Les lèvres très-minces; la mâchoire
. suEèl?^e P^;us sans échancrure; les narines près des
^ux^ceux-çi hauts, yeçs le milieu de la longueur de la tétç, de
grandeur moyenne. Les os de l’épaule écailleux. Deux lignés laté
supérieure, droi'te-’fautre parallèle à la courbe du ventre.
'Les 'ë-câilM petites et peu'adhérentes. La couleur, argentée,*'est
vérdâtrë'sur leJos, sans taches;sur lé corps où sur les-nageoires.
Les' yeux argentés.
On trouvé le Jaya danS les rivières du nord du Bengale
où il s,e maintient à deux poh.cèsy\le longueur.
.$ • M’clelland le ç|ôi| ]e même que le chola de l’Assam,
et il le place alors parmi ^çs L euciscus soqs le nom de
Lef f margarodes.' Il l’a. trouvé dans le Brahmaputra
sP^pla|fhieiQl‘ dans l’Assam supérieur,, -u