4 5 2 LIVRÉES V III. CYPRINOÏDES.
Elle fait, dans cette espèce, les deux'cinquièmes de la,longueur
du corps.
d. n V ’A. 7 f< 5 19; p.'f'eYv.'iè
Les yeux âont au -îiè^s ' âhtéfeur^dé'laf tête ; les lèvres sont
lisses; le iiombre des écailles, de Ta ligne latérale est de viiîgt-sept :
i l ' ÿ v
La lôBguçur. ordinaire est de ^ deux Ji trQisripied|. ,Pn, le
trouve dansles totrens de l’Assaut. M. Griffith .»en, a^vu
du poids de vingt livres--et même $e .trpntu«:. on J’y“
nomme bura petea. (^uâïid ils’' loht plus^efits ^ils^ont
confondus ave,c les autfesiSous le nom de. mqhaseer,. Le
seul individu observé. paçM. M’clelland avait ttfoisr>pieds
etfdemi <fe lo^e ? ^et avait „été p£i§ dans, unj coprapt^ès-yif.
Le Barbeau chélynoïdï!
-, (Barbus cheîjnoides, J, M., tab. 07, hg;,5 ï}s f
iCette autre espece a été aussi figurée dans le Journal
de la soeiëfé'^asïabipie, jpl. H6", 'frg.
La tête est large; le rapport de sa longueur, celle duècorps
est de 1’ a~2 { ; les lèvres*'ejpaisses^ et tisses. On ‘compte trente-troiÿ
1 éCaillés îs’ùruadongufeùr j 'et neuf dans la hauteur. ’
4 D. loj'JA. 7 ; dfl8; P.* 16;|T.4»., ’ '
“ Elle habite les. ruisseaux des montagnes d e Simfo ] oii
elje a été prise par M. *Macleod. A juger de la fa ille
* de cette esbèc^^parjes individus présentésà,la, société,
on la fixerait mitre „cinq( et ^si?,, poupes, .^épaisseur dps
lèvres lui donne quelque ressemblance aveefo icyppinus
chedra de Buchanan.
BARBE AUXtf. 1 5 3
Le B arbeau. d’A rabiej.
“{'CMp^ir^qs ^Kabicus’jT'Ehxr )
J’ai.vu parmi lesdessins de,M.; Ehrenberg la figure d ’un
pe tk pôissfon ; qui- m ?
le corps rériflé ’vers l’abaonfèn; * le. müseaü^petit Inr raté’courte •
^•quatfê barbillons àÜssi! très^courts*; deS^êcaffies^assèz* gra’éMà ; les
nageoires petites,’
d’un brun jaunâtre, avec une ta’ché d’ùh beau jaune à l’angle de
f opercule.
., Le dessin jàsïlong de* Arôis, pducegfet demiét est-ce b rein
un*barbfeau? j£
Le B arbeau sêtigère. " .
(Rambus ^setigëfüs, nqh,J ..
MM. Kuhl et 'Van’ Hasselt Ont envoyé de Jaya au Musée1
rôyâl d^Léÿde un barbeau très-rémarqüablm par la position
de sa dpr&afe reciiléÉ?sur le 'do sd e fe queue; jusqufau-
déss'us de l’anale, de; sorte que l’extrémité du corps le fait
ressembler à un brochet. Jnerpis que c’§£t à Cause de cette,
position de la dorsale que les jeunes naturalistes" crurent
dévoir distinguer^ génériquement cerpoissdn des autres
b a rb e a u x e t ils pensaient, sans doute aussi' trouver un
autre, caractère dans la faiblesse! du raÿôæf .épineux de la
dorsale. Ils donnaient à c.é%enrd^oinsi présenté, le *npm
de ilàbeobarbus^mais .cette- dénomination a pjàssé (depuis
à d’autreS; espèces fort di fférente&pet côrfime, d ’ailleurs, j<§e
caractère de bu dorsale n’est pas assez précis j que la;ê©n-
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