formes j^d^kproportâons^ des-nombres de rayons sembla-
blesï' La variation consiste .dans les écailles. iCes poissons
n’èn ont généralement- qtie trois “rangées4 ur .le.iddrps, : une
de chaquèëôté de la ^ une;par le milieu
du côté Je long dé la ligote latérale, une .troisième le fopg;
du ven tre ; il y en a quelquefois d’épaves ;sur la cçi$&nre
de l a * Itrlnf j sur la queue ; .j’en, ai. vu pâcher un individu
dans l’étang de Saint-Gratiemd e, la vallée de Montmo-rency,
près Paris, qui navait aucunes^ écailles sur J#;/vÇQfr)g%)f i
La fixité deSiformes ne peut laisser de douces, sur |&den-
tité spécifique de ées,poissons.. Lesecailles dans-ces yariéfeS
deviennent très-grandes; j^ ù a i un individu, sur lequel ou
peut en prendre qui ont ui^ppiieje cinq dignes ; dqÿitwit*et
dix lignes de làrgej*aur cesmcailles la portion décojlyc-rte,
est de beaucoup plus grande que la portion radicale. Les
stries èt les granulations sont toutes irréguli%es.; l u sq|ié?u
letté ,^absolument semblable, a^le même nombre <de te r-
tèbres!, ! e* aucun organe "des viscères n’offre la plus légère
différence.
. On rencontre plus fréquemment cette monstruosité do
la c a rp e e t ; on la trouve ^figurée dans^SchæfferJ, < dans
Meidingerfj dans; Bloch??- et autres.-. Celui-ci la eonsidé«a
d’abord , comme une ■ espè<5^|dfeûncte spps le nom ||^||>
cyprinus. rex jcyprinorum, et il .pomma ensuite la variété
nue et Sans écailles de la dénomination de ejrprinus nudus,
niais qui, dans son édition posthume, ne parurent plus
que comme de simples variétés du cyprinus carpwÿ®&:qui * 2
1. JEpist. de sl, içhth. meth., &%. x , 2, 5,
2- In pisc. Aust., n.° XLI,
ri’empêcha, pas Lacé|Dèd&!i dèccompter- ceS deux^yariétés,
parmi, ses;/^cÿp-FÎns^ ; en ■, changeant Jês noms de Bloch en
çeinc -dévieÿp^in séculaire' (-cyprinus specuMr^s) I et (de
cyprin ^^nv^fyprinus c'oriacejus, ^ .Méidingeft*, qui les;
regardait aussi;îc||pme, une. esuèM^disti^ct^', les nommait
cyprinus macrolepid&lj^f/Al
'■■'Maïs il 'ƒ a ettebrë paiffii ê é ¥ c y ^ iin ^ |l^V a ria tio n s !qui
tiennent' àM ê l^ d iffé fé ^ o ^ d a n sd ^ p ro lib rtid n s^ e t la plus|
g iéh d ë'hau téü r du* corps' ne 'dépend" |>$s' ici de la pfêni-
tTO^ dësindividus'^âu?*m b in e h ü * u frai/i’Lâ-%e'tefelf‘ àussi
proportionnellement plus1 p”e<lHte.^ffia- longueur b arb illon
»les fait terntide la c a rp e ^ ^
J l I lP differéif^ p 'dàuP'ms TOrmes dut ptç ^pp^étMfeès Tps§r
M. le priri^ çph’alle^B(^aparté.»de C a^ iâ^ e t ont donné
lieujt l’établisseirient des e|pècé§jsuivantes.
La Càrp1:
j { CyprinusljÆatus> P. Çh. PoriJ . |
en-est un exernplp,. Les Garantè-res>Ade l’espè^^que le prince
Charles Bonaparte de Laninofe/figrifée^sous Je nom que,
nous Citons d’après lui; consistent* «
".dansla grande Hauteur'du mBiAsurp'assant le tiers de laïongûfoP
totale; dans la brièveté de là rêl^dèux fois plus courte OT^ahau-
teur du tronc : le’ dos;is t*wè^^oss’u' ta longueur deslllrbillons
égale presque celle de *,©es ?organes : de la carpe, six elle riesï pas
I plus 'grande | les nombres sont«»
D . 230p . 16; V t T f A - 9j"C?. 24.
Sa p^uleur ressemble a celle de notre carpe; elle pofte
1. Lacépède, p . 528«;