dit de si positif,sur la nature de ces poissons f^t qui peut
nousj les ;fairèÆecQnhaîttfe. ■
. Je: -dQ^ i f e i r f i ; ici qqil.. faut la leepiodu
pète : Hardouin, et ne ; pas regarder pomme une ; troisième
citation du ej/crmiLS, la spule qu’ait doanée Artçdi jd’ap.r.ès
Sédition de/Daleclaamps;i II ££$ clair - qu’i^y^^Uy^^oé^
leçon, une faute. qu’on nes peut^gupre porriger autrement
que Mlon lujvpisiqn du pire JJardquin.5 ;
-. Toutefois,jsi nous ^admettons|que |lÉ^aaBfefeid e}lt,uw§b°,s
soit: celui so.u$; lequel les ancieusg;désignaientlag.parpe,
.nous, devons faire remarquçiaïque ce mot ne se trpiÿf
pas! dans Aùsone g ce qui me. fait supposer qqe^è^son
temps ; cps. poissons que l’pn , croit .venir .clés ••’Contrées
orientales, de l’Europe ou de l’Asie, ne, s’Jtaient pas encore
avancés jusque dans les ,Gaides. |i(^çt3t.e, remarque
s’accorde .assey bien avqc ce que nous ^;ayonS positive-?
mônt, que,c’est presque de nos jours, ç’e s^ d ire ,.soucie
règne de Henri Y I I I , que la carpe-a été introduite fCO
Angleterre.
CHAPITRE PREMIER.
Des Carpes, et en particulier^, JC areè^ cqiM müïs je
'^Qpprin uÈ^ârpMÿ.-i-i t
LeJaom de canpe$ ssjtis léquej<mpus„désignons vulgaire-;
ment un cbs poissons d’eau* douce de plus-commun, et le
plus*connu* dansetoute #Eur©pe^)yiCnt-sans ÿau-oun doute
des môtS '-carpoy carpa, iëtç.yqu-ë; l’on tronvefdans; les
auteurs11 du 'moyen ^âge qui ont parl-^h Indifférents êtres
naturels. Paul Jovej eh rS^^d-Onne le îri&x à^tcarpena
pour la dénomination de la carpe-AWz ^ riverains, du
Pô 5 mais il dit que les Vénitâgns 1 a f p$nna-issai,en t sons le
nom jà^reïna, Elle ^s-t devenue primitive d ’un
gr o upe* de* cyprin oides*, caractérise* par que longue^dor-
sal e,' ^a-y&ïÿt - trois -rayons1 poignans,' dont le»-troisième, le
plus- longv^e^t soùveM dentelé^en ardèSe^ et-ressemblant
àicertains rayons^dç -^luroïdes. «} §
r. -L’anale fà^deux rayons^fptts etf#qïidgs,j les dents pha-
ryngiennes^ftâttacb^sn^ l’os que M. Geoffroy a pommé le
cricéal,, ,s$nt $i$i qonjire ,<fec|pq‘. une^ trpSp-gfQjsse, dont
les deux bop^^sont^courbes vet semblent ^etre ©oncen-
triquesi, a la;SuïÊM5e.sb^iss*^e.,>iie trqis.jcollines d’émail parallèles,
un peu sinueuses,-,஧*sépaRées.gn deux pazgâgs par un
sillon lohgitudinal. En- - de cette
de fit jd'èux^Mi tresf a- "couronne platé et usée j aveo^cinq, ou
six collines d’emmrairigéës<'!dans le mêmé Sens que cilles
de la grosse dent :‘ees tiefïx dedts ne sdnt pas moitié aussi
grosses queja première. .En Avant de celle - ciOine seule'
dçiilPmpaire,, à,couronne arrondie, mousse et sans trace
16. g ' i ■’ 1 H 3