-ces deux lames est soutenu par des lamelles osseuses, «©> ^pÂ. i$ncl
là face- supérieure,, du pharyngign^pomplètement Jacu.n^®se ou oa-
vçrneuse. C’est v,ers Fangle des deux feeé& jdeaJ^ps que. sont développées
et insérées, les dents ..del'animal.
Après ces .différens appareils .osseux ^uipiennent à Ja»tête, il§pn
est1 encore une .antre; suite de pièces .qui, touchent. au crâne .par
l’une d’elles. Je veux parler de ,1a ceinture humérale qui soutient
la nageoire pectorale. :
L’apophyse externeetstyléale .du^niàstoïdien ;Eeçqix untteè,s-rpetit
sSurscapulaire, qui ne dépasse pas l’ajje de l’occipital daterai ,$et
|soutient l’extrémité supérieure .du, scapulaire. .Cet, os t^micype ml,
trancliant en avant, est.plié en gouttière ,en arrière; son extrémité
descend jusqu’à l’angle du' sous-opercule. La'pointe, supérieuresde
l’huméral est cachée, sous la face interne du scapuléûre, .de«tanière
à. ce que, l’extrémité'de l’huméral toucheiencorepà l’aile de l’occipital
latéral. L’huméral se^porte-ensuite., en se contournant pour
suivre k courbe de rouvertüre de Louiiei, en uxie .graiide laniei Siur
' laquelle battent les ouïes dans les^mouventens .r|spiratûires». Cette
larn^a, dans la parti®, antérieures qui est la plus larg.# nue (double
courbure;.oar -elle est .convexe sur le bordÿexterne efc-coucave sur
. ÿmttetei En dessous, l’buméi'al donne, une ecâte-ÿk seulcppriion
qui sôitiyisiBle à l’ex té rieur d e 1’animal ; et derrière làqja«|te^^i_
cule le radial, os court et petit, qui.,porte en avant le cubital,
,, et se trouve tout-à-fait placé à la face antérieure ^
jugulaire.de k ceinture humérale; .C’est une sorte de-Jame ,-mjnce,
concave en dehors, eoi#exe en dedans,.>et ayant demeaeôtérune
lame ou çpête apophysailte assez ssullantp difjéàFf! le grand trou
radip^çubital de-Gette portion du-membre antérieur. Ile %yléai,est
attaché, comme à .rordinair&,:à la face interne de l’huinéral, e u
j au-dessus, et en arrière.de l’^tâçbet^ià ' radjah? il est cylindrique.
Je compte trente-six vertèbres de 1a colonne vertébrale de la
carpe que j’ai sous les yeux 2 vingt appartiennent à; l’abdoiïten et
seize*» la «queue. Bes viugt. prémices , .les (trois antérieures ,' que
quelques zoologistes ont appelées cervicales, parce qu’elles n’ont
pas de côtes, méritent une attention particulière. La première à un
iféerpé trgs-étroiép'elilè sembie kvdir été arrêtée dans son dévélrippe-
! ment pfii%tsu?vàotfeî èndabie,
«C^fest un simpIeftluÉberéure ''qui 'nteÄäMpeijpäs même* à k* crête de
l’interpaifiétal. Elle à ,^p.e®Kfent uile(a|/qphyseî ira hs Versé efxéèssive-
■ mentf petite* La séciQfMvertèB re a%é' c oi.pssélhvékWptOnt en dessus,
et'donne ùné a'pophys® éjiimfiisd, qui devient'ici'une î#ge iâme
pltfë grande ifüb It^rêt’è int er parié è^îteelItriMéll agtândir
cétte portion- déda nuqnriö'ss'eukte dît poisson. Le bord "supérieur
de“ cette*crÂ.' s’étend^en 'aTrièrefâfiia hauteui? du ‘ciâfrfe, en dépassant,
par iäf$%ngle: saillan t , «J lé^Oafps' d e‘ ;laVertèbre.3 Aussi le Bord
jjteostérieur est-ihéobamaré, tandis qjue le bord 'antèri'eur^eSLdrefit et
Wàéaire. Cette «crête ajaophysaire -ne ’touche-pas:à la c'éête iîiter-
pariétale^^a-entrè elle un espace presque égal à la largeur. Cette
-seconde vertèbre à une apôp^ÿfe^rans^ra^rèmWquabl^, qui saille
hortzohtaleiéent en se*bourbant un^etren arrière0, eten étant meine
"un péu-pÆb(s1;krgë^que'l,a,d3f^é'd'ed*&ëGidütv'<é,Jc|elleflepasse l’ailë de
l’ôécijàïtàl ‘iafcératï« $0$
Hi^La «imsi&äQtf^Vei#bte1a«®#ö^#un*peir pltrs^tfOit que k p|§ikd e ;
»vertèbre/ktteejlporte en arrière pour se terminer énWe-poitttfriso-
lée, qui complète l’échancrure commencée par la concavité dtLbord
postérieur djeda lame de la seconde vertèbre. -
'Son, 'apophyse'’transversejgst en'Mjfe plus-remarquable q«e 1a
précédente ; elledeviferîtrpa-r sa eomplication et-sa grandeur, ut|'bs
»très-important. Se détachai duéttips vertébral par uneba^é épaisse
erkeuneuse, elle Sèpcfr't'ê's'ûr les bottés etJse*courbe pour dPéscerfdre
presque verticalement'sdds-lh'cdlonne fewtébihlfe, eiî1 divergeant
cependant -uu peu de Vligne médiatae. Grite pièce* devient Ud os»
fort-4 t pöSntu supérieurement; l’a-utre extrémité, qui va toucher a
la vertèbre^donne: en arrière '■ ünerkmètd’abdrdqéoUrbe poür-de*
venir horizontalepar-dèssus/ ét préë^ué^vérticale en.dessous., Gelte
lame va toucher àsa^c^ngenëre, et laisse', ‘ent-re'âo corps He>Ja vertèbre
et elle, un graâdytroiu’tisàlé', dfont 'le pl^s gr%nd diamètre est
hofizfental-l'Rfâts le bdrd ànféiieuri et' inférieet^de rcette lame se
contourne encore pàr- dfessôüS ' pour faire un antre trdü, qûicva