B L e L abéôn f rAtfeip-1
A v (L a b éo f im b r i a t ù s nob.) g
Mous avons r eo îd u Bengale im I^éoq qui pa^ît. .avoir
quelques affinités avec le cjrprinus jîmbriatus â e Bloch ;
mâis'Oii ne pë.iit Iqrr^tder^qoeiîhie^de la ,miêmiB..>€SDè^à%.
a cause de la dorsale/^
Notre poisson a le profil du dos; régulièrement-?ébbVéxe'depuis
le bout du museau jusqu’à l’arrière de la dorsale} après laquelle
il devient légèrement, concave,- Le profil ü^^entrp,,appartenant
à une courbe d’un.rayon plus grand, est aussi régulier. La hauteur
du tronc, est 40ubl6. de celle de la queue, égale à la longueur
de la tête, et comprise quatre fois dans celle du cotps. JLe
museau est tronqué à l’extrémité; les lèvres sont peu épaisses et
fr#bgées; un très-Court barbillon existe à l’angle de là commissure.
Là dqrsale , aussi haute qùe longue, l’est moins que le tronc
sous elle. L’anale est pointue, ainsi que les autres nageoires! paires.
La caudale est fourchue.
Les écailles sont lissés, sans5stries*ni;veinules : il -|^%FjFqua-
rante et une rangées entre l’oùïé et la caudale. La Ir^nénâtérale
est fine et droite. La couleur est un bronze dBré; ' plus çjàiiôt
plus brillant sur le ventre que sur le dos; le bord de chaque écaille
est noir; les nageoires"sont noirâtres.
Ce poisson, long de six pouces, fait, partie dçs collections
de M, Reynaud, chirurgien à bord de lauGhevrette.
Il nous Fa donné sous= le nom bengale de Coui-mas.
L e ,La^QN," A NAGEOIRES ROUGES.* ^
^ L a b e Q Aerythroptǣii$, K. V. H.)
J ai dessiné à L e yd q , en 1824,. un grand labéon que
K u h l et Van' Efàéselt.ont 'S ^ ‘caivei‘t ^ jfàva, ët que
ces ^naturalistes*' Croyaient d ’un genrej particulier^* {qu/ils
avaient Fintëîition de nommer d i p lo c h e ï lo s , à omise des
doubles lèvre? qui ferment lg bouche.' C e poisson a eyi-
demment tous les epacgères d ’un labepn.
I l ressemble aux pÊëoëdenè;."?
mais 'if paraît manquer *dé barbillon^, tan r^ sont courts, La hauteur*
est quatre fois eftrois cinqmème.s dans la longueur; Fépai^sgui
n’est pas "tout r a-fait deux lois dans la hauteur. Le profil du dos
est presque rectiligne et peu élevé.
La tète e^tid|ntènue six fois, dans là longueur.. Son /rqnt, large
et convexe, ’ se termine en avant par un°muse.au ^obtus,, percé, de
pères très*grosV
La bouché etles lèvreîrbomme auk autresïabéons; les joues et les
opercules ïrécôuverts .par. la peau eharnup! e^episse, qm semlxle
s'étendre du museau, désorte quefoh ne distingue pas cesàos.
La dpprs^lej au tiersdu.corps* éSAh,assé;^eijiétejndûes'.et coupée'
en qr^is^aîn.
L’os de l’épaule, petit çt.triaitgulairie, donne attaehetà desl pee-
toMieà| ordinaiîres4.cQUEbé^s^en croissant:; les • ventr|désihgrandfes,
along||S en pointesLn’atteignent pas 1’anale; celle-ci 1 «pefite, mais
haute, est coupée eu croissant; la caudale, fourchue, a des lobes
grffs et égaux; la ligne latérale p^ir4 e milieu du corps," un peu
infléchie par en bas, < ?
D. 1 2 P. 14; V. 9; A. 6; c. 19.
Les écailles, moyennes, rudes au moyen dg stries granuleuses,
longitudinales, inégalesTs^t au nombre dé quarante-deux rangées
dans la longueur, et de douze seulement oans la hauteur; une