APPENDICE p i i E® ZIÈM Es ? V O LUM E.
hè C yprin" moSariô.
Cyprirms mosavho, H. B., p. n.° %i, p. 346*) *
Celui-ci est de la divîsibù dés Gaffa1.
Il ii’a pointrde barbillonsj les pectorales spçt a)nçgées en pointe
par Ifâ ràjops yupènëm'^ les e§fes n’b'rit pas ,cjç tâches nuageii&ès^
dix'fS^ms.a lâ pf^lpé rei sej^a'jj&nalë.
' B. 3;‘i ' j 9 ; A. tj*C? P. 13? V?9-
M. Buchanan, regarde ce. potsSfmhQOmmert^Sï-peu,
différent’ de \so^Garru la tiu s ;d’après laj;ld!es{a,iption,
l’abseuGe «dg ibîKillons est le sent carael^re distinctif.
Cette petite espèeUi viei^jt de la^dylèrie Rapti^ da district
de; Goçakhpur,, jg
H Le C yprin sucate.
I » C (îfjf'priuusr sucatio, H. B., pv^Q^iÉi%il§|ÉlBI 8
Gaçra sans barbillons,
à pjpqiiles arrondies ;. les .côjfcéi coiasef ts ,dë taches É^^ÉÉSpi
neuf raÿpns, sa l^dOT^e et ®çpt ji r§pfjpc i
D. 9 ; A. TjjQ. 11} P. 13*. Y. ,&> .
‘La têteÆSt>obtuse,-courte, déprimée; pointülée'et aussi épaisse
que île „corps ; le museau «dépasse, la'bouçhte j Ja^t^^ ^ f l petite et
à fente transversale; les mâchoires, protractiles., ;pÇ(t çles leyreSiCharr
nues1; les yeux, reculés sur les côtés^iie laa£te, sont cqnvexes; le
doSj. ^ £ e S licombé^Jest plu^saijj^t ‘quelle ventre, qui est glffi ; b
queue finit en pointe. La ligne latérale suit le milieuelu cote Les
écailles sent grandes, fortement adhérentes et striées Sa centre vfers
le bord.
Le dessus du corps est verdâtre, avec des petites taches éparses;
cyprins. 345
suif lep ,jc^és, elles sojat réunies en nébulosités ; le dessous du
trqiic^est. blanchâtre et.GOrçtme,transparent. La dorsale, la caudale
. pectorales sont poi^ffl‘^ Les -.^ux sont bruns, avec un
cëjrcle doré autour pe 1^ ’ pupille.
M>. Buchanan a trpuve^çe poisson., long du trois pouces ,
dans les rivières du nord du Bengale, Comme il dit qu’il
a de grandes, ressemblances, avefc l^k^obdti's, et qu’il n’en
diffère que par l’absehce des barbillons, je présume qu’il
appartient .au groupe desr Vérohs. L’auteur * il’a pu voir
les rayons de la membrane branchiostègef; mais on ne
peut admettre qu’ils n’existe^ient pas:.
M. J. M’clelland a mentionne cette esp^e et la suivante,
mâ^l en en« faisant un '»geitire particuliernommé/Vr/o-
r/^ncAny. Voiçi> comme il le caractérise I
Museau alongé et aplati; yeitoc placés en arrière; les
opercules étroits; la bouche petite et propre à sucer;
voint de barbillons : les nageoires comme dans lés gonp-
rhynquesj mais plus élevées.
^V'Cès^gfârds ont été établis d’après les dessins d e :M. Buchanan,
qui avait classé lés poissohs rèpVéséhfes', d’abord
parmi les Stoléphores sous les noms de StoL sucatio et
Stol. balitora. Or, comme les. Stoléphores, ou mieux les
anchois.,.spnt de la famille deschipépïdes, et que les pois-
sons dont. il s’agit ne peuvent y appartenir à. cause de leur
forme déprimée et de leur anale courte,,et que, d’ailléurs
M. Buchanan a rectifié cette erreur en les décrivant parmi
les cyprins ‘ dans son Histoire des poissons du Gange,
M. M’clelland a cru devoir séparer en un genre distinct ces
espèces,v dont le museau és't.tres-prolongé au-devant d’une
petite bouche qui n’a pas de barbillons. La minc.eur du
corps, la positiop reculée\dçs,yeux, le développement des