semble «être d’aéeord aveeles assertions déjà si anciennes
dé Salviarii; touchant la rareté-de cepoissôn en ItaHe.
Ile plus j fê'! fie Vois pas le goujon cité dans richthyolo-
gipdfM. Risso, ni dans las auteurs des Faünes*de l’Europe
meirraiônàléi; Au contrairé Linné1, dans sa siieçika y
Nilson% Muller^1 * *, dans la Fauna danica; Pennant*, Klein-
ming V Jennyns6, le comptent parmi leurs1 espèces ;m*i
MM, Dbfeovan ^ Yarell8, en ont . reproduit« diexmïUentèr
aussi mn;e dans 1 eF&mphte
Ahglër de ; Waiton.9 ■
En Alëînl^aê©16çh*0 lavàitaussr figüiéymOnentrouve
^àîéi^St'âê^6ghi,éà''dài3É ifeS*î^éiàes de Duhamel11 et dans
l’Histoire àés pksébhs de M. de Jurine. »! ,
Il n&remonte pas plus auiNôrd‘que dans lespr.ovinces
méridionales de^là Suède; bar il n est/pas . qté ,dans là
Fauna groènlandica, dans à&Fauna orcadensis>bn dans
^Histoire des péSsé^ns d'Islande.
J’ai bîté 'plus haut la Fauna süecica; vuns ilofeuttf&ire
attehtioiiï que ^eàt dans la dernière édition Me Retzius
qtiïr je ïé
Pallâs lé: compté aussi parmi leSespècês-de
pÉà RossicalSf-ëi Éj? Nordmann fait dé même dans,4.so,n
Fauna ponticà. On le trouvé dans^-toutes les.mvàèresHde
la Rhsaid méridionale.
TotA céà'aUtetoS'S?acbôrdent pour fâipe du'goujon un
1 . Faun, suec., ed. Retz., p /Sö ^ /a.-io g . — ?."Nils,y p ^ S p n .0 îg- r~ 3-Mull'.,
Faun- dan.., (n,° *f f “?." ’W
Ami. Kïngd., p. 186., n.p 60. — 6 . Jennyns*Àrtn. Kingd.,’*pTP 5'. — 7. Don.,
—^ 'Tat . , ‘Bnt. fisji., jô'lâS/—n 9. & àk; Wallon et Colton,
Angl., ,p.42g3,-cW XV. — 1(k Bloch, pl. 8 .— 11. Traité des pêches, sect. 111,
XXIÜ> %• 7> -L Î2. Jar.) Poiss. dû kdLeiii., p.
poissoü #iyant en , pendant
l’hiver, (dansdes-grands-lacs;?,ejh passant par. troupes, au
printemps , dans les: cours d’eau pour sjy. reproduire n t y
déposèr 1 ses ceufs.
Le . goujon’ fraie, à plusieurs éprises, depuis lq m'ois
d’Avril/jusqu’à la, fin de Juillet ou,Je, milieu d’-Aout. Il
croît assea vite attéint sept? à huit-,poupes' à trois ans ; cinq
à<si» à ‘deux,.et {quatre §&, moins. à un anjles^pêcheurs/de
notre ‘Sèinel assurent même qu’il ne«.vit pa^,au-delà de
trois5 armées.1 On prend le'sHgbos^ dansJ dps- passes, v et lçs
jeunes , au carrelet et à la Arable,; mais on,rlesr *trouve
rarement de la.tailleMês-adulte,,fparfçq qu’ils-sont, vic-
times^dffi pi|;|és.que/des.hommes, ou les animaux leur
tendent,ïàr na-use, > de l a ! eur, | | p î .
i Le.igoujom^ttdirès-ndélicatàll^â^ê11^ ?8^ mangent
avd®; a«viditér»Qn l'emploie aussi avec avantage poup cqnqr-
Gér les haimS) parce .qu’il Æ la. . . $
c «BeSfnoms'ovjuslgaiijes , du^g.oujqn fsont, dans qpplques
langues, analogues à,celui qu’ijl porte. ;Dans notre,langue|
ou dans le ]\Iidi on le nommeHGaifp,nj jï le£u Anglais ..le
n«mm»nt^Gàd^eon^!pnî, Afioqjfgng-il s’appelle Grüpd-
GnimâalejtQp même;Gpie, cp^ qui semble
venir-de-ison/noin latin. Goè/nA-Lgs P^ngi^J^nomment
Grümpel ou Sandhest%,cêt je s Sué^s^idafttosjPçtzius,
■ Slàdng. Pallas > donne, .pour 1 noms, :pu^e;s-( Fiskar ;P.es-
■ J(m@èy où-#ux-environs-de. JS<migt3aLod.,et,.ajîle»^. M f
laètka~et Stolbetl'Æ
, Ja| soumis le gdmôn kà'"des pressions barométriques
très-diverses, et^e-l’ai vu„Y4Sfe pejqdanL long-temps sous
Ils,' rpeipièh&'tm l’air raréfié ne maintient plus le mercure
qu’à trois'ou quatre pouces, ét mêmë'^à un pouçe! A cette