naître l’espèce quelle peintre^a^eue^sotfs les ye.ux, et je
n’âiirà’îs ’pu la déferminèï 'àVéé^eWitude, êf 'Ml Geoffroy
Saiût-Hilaifë n’avait eu la gênfr5siï#'de ^uffardin
qu JVoi les^prigînaüx rapportés 'd’Egypte par ses soins.*
, 0 C’est jaypç,le ^|rn4Ændiyidu qriginal de la figure donnée,
dans,l’oi^yrage d'Egypte qqe,^.j^u\jier à, établi le
genre Labépn ,• et, qu’ap.ijès lui, M.>ls&d“0 G e o ffr oy ;Sai®t-
Hilaire^ publiant le travail de sou pire suèdes, poissons
d’Égypte', a. donné üne description faite comparativementj
à'bèll'ë du bynnî, de Sorte Quelle manque^â^jâ'dune cer-
taine^^^llüî^ Il *ÿ à en outré’ unl^âtjr^iücprlfmpn,
il a négligé toüt-à-fait lejbarbillon labial.
M. Ruppell n’a fait que, mentionner le labeo niloticus
dans son,catalogue des poissons du Nil, et il a doi|®ë la
description de deux autres espèces.-;
■ Moici la deSiCription que j’ai faite sursl’individu examiné
par M’.-Isidore Geoffroy, et qui est rècbpnaissable à cause
mutilation de son ànale.
t €e 'poisson, remarquable par l’épaisseur de son-inuseau; études
I parties charnues qui le couvrent, a ünt.-peu de la. forme .«le noire
barbillon.- Le>corps est cependant plus comprimé ; la hauteùr -est
f comprise quatre-ibisî et demie dans la longueur totale-,. et l’épaisseur
réest que deüx«fois" et un quart dans la hauteur. La longueur
; : de la tôte-ég^le-à-peuîde choseîprèsd’élévation du tronc. Dürboutdu
1 museau la ligne.- duiprofil monte par un^houfcbe régulière, soütenue
derrière la nuque, jusqu’au pied du premier rayon de la dorsale,
d’où, cette ligne descend doucement^ en devenant tiès-légèr.ement
É concave, jusqu’à la queue. La ligne inférieure est peu concavf,sde
lîèoicfe que la hauteur, du. tronçon de la queue égale à peu ipçès la
moitié-de la hauteur du tronc. -Toutes les pièces osseuses défia
tête sont' recouvertes d’une peau épaisse, qui ne laisse distinguer
que l’opercule. L’oeil est de grandeur médiocre ; son diamètre n’ès't