U a dès formes plus épaisses que Je sopbore^ j t #st plus éleyé
, en de^ug qp’en», dçssfkU,^ La .1^ éfLJieüte ||^pluf^étgqite^qqç le
corps; a «chaque aqgleg ,^e la bquçhe^il y a,,deu^ barbillons. "Les
écailles spot grandes et pqintillées. à. la racine. La couleur,,verte sur
le dos, est glacée d’argent, et.eette teinte s’étçhdj sur to,ut le blanc
du ventre. Les nageoires de couleur ■ olivâtre, à l’exception de la
ventralé, qui es^ orangée. La dorsale est; minces chargée de points
. réunis en taèhes de dive'rsesvformes. j j
Le chola se trouve dans le nord-est du Bengale; se tenant
dans sta'gtilra^^
Ce poisson esttfes-voisin du cyprinus sophore. Daprès
la description il en différé par un, cafeciere^essentiel, qui
consiste^éu'dé #t|uil a deux barbillon^ll appartiendrait
donc pâï ^ caractère aux Goujons ou aux Capôe’tH.:,n
M. J. M’clèllanda reprdduîrcette'espècè dan^s ses S jsto -
müs\ et, -coinine il affirihe’ aussi qu elle n’a qtië? deux barbillons^
il me paraît que c’est üri poissoh'qui rse rangera
dans le second des Méux genres que j’ai indiques^plus haut.
Il est très-abondant dans les étangs '3è l'Assam.
Ces trois 'espèces ont des rapports directs avec Ms cirf
rhines. Il me paraitprobabLe quelles prendront rang dans
ce genrja^.Cependant le museau me paraît plus saillant que
relni Ap^^uyliines dans ,la!; poUepttqn du
Muséum.
L e CypriNj LAyi.
' iLfprinüs Idtius, H. B.| p. n.° ||É , p. ’ 34S.| |*r
Cyprin de la division des garra, ayant
deux .barbillons ; onze rayons à la dorsale, et sept à l’anale.
:| B. 3 ; D. Mf
‘La tête est. ovale, obtuse, courte ?%t lès barbillons^fparaissent
maxillaires j car ils partent des narine sfqlspflt projetés au-devant
dé la boucht; ‘dèlle-fci estJpetifé'èt Bùverte' transversalement. Les
lèvres sont charnues : l’inférieureest^con^me dentelée,sûr les bords;
iS c^eus"e! peu au-dëvafâ1, «| la *ü$rsale ; les/écailles sont
' grandes;'^dos* e&^véVdâtrélét pointillé] lèVéntrë eiU’argébté; ’les
nâgémr^uîfériëùrëâ Sèfït! teinté'és’^'è
Ce petit poisson se trouve dans la,riyiàre dpTista : il
a la vie trèsr-tenacè? même hors de l’eau.
A quel groupe rapporter Les lèvres paraissent
^ ^ d u^Rphitp ; mais,|l,p’y a que deux barbillons, placés
probablement comme dans le§ Çirrhines^dest du moins
ce que l’on doit.juger , daprès. lai ù^ure dqnpée par
M. J. M’clelland, t a b - m a , i s Jps.deux auteurs
s’accordent à ne parler qiie de, deux barbillons seulement.
Comme. jL p ont. placés au bout du museau/.pp ne7pput
placer poison parmi les ^abéansi., c’es|. 4qoiç epçore
une e^pèpp incertaine. Elle est tres-répandue dans l’Inde;
c^cBI. Buchanan l’a prise au pied delà chaîne de Spkein,
sur la ; bontL|^ nord^du Bengale» jUt/M- Griffith,l’a trouvée
dans les lcütaradt;ès^d.u1 jBrahmaputra, à f extrémité .Sp, de
l’Assam. '. ’
Dans une petite .collection faite par le.-capitaine Han-
nay dans les rapides des différentes rivières de l’Assam, on
y voyait plusieurs exemplaires de cette espèce.* M. M’clelland
en a fait un gonorhynqug; nommé gonorh. mdcro-
somus : l’espèGe ne dépose pas (Cependant huit pçuces.